Soupape

.................................................. 7 Le régulateur de pression ................................................................................................... 7 Soupape de sécurité............................................................................................................ 7 Soupape d'échappement rapide .......................................................................................... 7 Silencieux ........................................................

cloison, bardage. 1.5 Rétention La capacité de rétention doit être étanche aux produits qu'elle pourrait contenir et résister à l'action physique, chimique et thermique des fluides et doit être équilibrée à la pression atmosphérique·par des soupapes. Un évent sera adapté et dimensionné pour égaliser la cuve à la pression atmosphérique et dimensionné pour éviter toute surpression (aucune obturation ne doit être possible). Un bassin ou cuve pouvant recevoir simultanément des solutions ammoniaquées

contrôle ; alternateur, contrôle ; résistance de chauffage, contrôle ; température du bobinage de stator, Mesure/consignation ; tension et fréquence, contrôle ; vérifications extérieures. c-Au bout des 250 premières heures de service : jeu des soupapes du moteur, contrôle/réglage ; injecteur de carburant, contrôle/réglage ; capteur de vitesse, nettoyage/contrôle ; courroie d’alternateur et ventilateur, contrôle/réglage/remplacement ; niveau d’électrolyte de la batterie, contrôle ; additif

X S Page 6 LE MOTEUR Page 7 LE MOTEUR LE CYCLE A 4 TEMPS I– PRINCIPE DU MOTEUR A 4 TEMPS DIESEL : 1er temps : ADMISSION Descente du pistonè Ouverture de la soupape d'admissionè Remplissage du cylindre par de l'AIRFermeture de la soupape d'admission. 2ème temps : COMPRESSION Montée du pistonLes soupapes sont ferméesè Forte élévation de la pression (environ 40 bars) et donc de la température (environ 600°c) pour permette l'auto inflammation. Page 8 LE MOTEUR 3ème temps

les remontées d’huile. Les segments assurent également le refroidissement du piston. Les soupapes : Elles permettent de fournir aux cylindres l’air nécessaire et d’évacuer les gaz brûlés. Chaque cylindre possède une ou plusieurs soupapes pour l’admission et pour l’échappement. La soupape d’admission d’un diamètre plus grand est refroidie par l’air, elle est en acier simple, par compte, la soupape d’échappement est exposée au gaz d’échappement et on utilise des aciers spéciaux.

aucun vase d’expansion sanitaire n’est installé, c’est le groupe de sécurité qui déclenche lors de chaque mise en chauffage de l’eau, ce qui implique une perte d’eau. De ce fait, un risque de fuite permanente suite à l’encrassement du siège de la soupape est réel. Pour éviter les pertes importantes d’eau, il est recommandé d’installer un vase d’expansion sanitaire. Exemple : graph.bmp 2) Une deuxième fonction du vase d'expansion est le maintient de la pression dans l'installation. Quand celle-ci est

(D) Spring 100 - 120 V (D) 27 28 29 1 1 1 Bloc de soupapes (1,2,4) Bloc de soupapes (3) Bloc de soupapes J (1) Joint torique 8,76x1,78 Soupape ) 4 Joint torique 12x2 Coupelle haute pression Vis cylindrique M6x35 Corps Goupille filetée M6x8 Ressort Bille Ø 8 mm Joint torique 9,5x1,78 Corps de soupape (1,2,3) Piston distributeur (1,2,4) ) 14 - 16 Piston distributeur (3) ) 14 - 16 Joint torique 15x2 Joint torique 12,5x1,8 Vis Soupape antiretour ) 18 Joint torique 4,47x1,78 Ressort Vis creuse

THEME : MOTEUR A EXPLOSION FONCTIONNEMENT Culasse ArrivEe Air/Essence SORTIE ECHAPPEMENT SOUPAPE CYLINDRE PISTON BIELLE VILEBEQUIN Etape 1 : Admission Une soupape s’ouvre pour permettre à un mélange air/essence d’être aspiré par le piston qui descend. Arrivée du mélange air/essence Etape 2 : COMPRESSION La soupape d’admission étant maintenant refermée, le piston remonte et comprime le mélange situé dans le cylindre. La pression et la température augmente

monté transversalement au-dessus de l'essieu avant en position verticale. - Culasse en alliage léger. - Distribution assurée par un arbre à cames en tête et culbuteurs à rouleaux sur les moteurs à 8 soupapes ou par deux arbres à cames en tête et poussoirs hydrauliques sur le moteur 1,6 16 soupapes. L'entraînement se fait via une courroie crantée de distribution. - Lubrification sous pression par pompe à engrenages entraînée par chaîne. - Refroidissement par circulation d'eau activée par pompe en

permettant de transmettre les commandes de l'organiste aux soupapes qui commandent l'admission du vent dans les tuyaux sonores et donc la production du son. Cette transmission se compose d’un ensemble de leviers, de renvois en équerre, de tringles mobiles appelées vergettes, reliant l’arrière de la touche à la soupape. Le fonctionnement doit être tel que quand on enfonce la touche (et donc que l'arrière de celle-ci se lève, la soupape correspondante s'abaisse). Cette technologie (toujours en usage