Soutane

au sermon + portrait dépréciatif des gens de la justice F41 : « leurs robes rouges, leurs hermines dont ils s’emmaillotent en chats-fourrés ». les magistrats usent d’artifices pour impressionner : « Nous ne pouvons pas seulement voir un avocat en soutane et le bonnet en tête sans une opinion avantageuse de sa suffisance. » • autre image caricaturale de la justice dans la liasse « Misère » « Trois degrés d’élévation au pôle renversent toute la jurisprudence . Un méridien décide la vérité. » La

Aventurier : A seize ans, il s’évadait déjà pour des fugues lointaines.Celui que Verlaine surnommait «  l’homme aux semelles de vent », partira dans le désert d’Abyssinie pour se faire trafiquant d’armes et d’ivoire. BIBLIOGRAPHIE Un Coeur sous une soutane (1870) Sensation (1870) Le dormeur du val (1870) Lettres de la vie littéraire (1870-1874) Ma bohème(1870) Stupra (1871) Les Mains de Jeanne-Marie(1872) Une saison en enfer (1873) Illuminations (1886) Reliquaire (1891) Poésies complètes (1895) Lettres

corrompre les cœurs purs. Nous pouvons remarquer une autre référence religieuse; Adam et Ève. Le héros se place alors dans la position du serpent tentateur en tentant de donner le Louis d’or (la pomme) à l’innocent. Dans cette scène Don Juan porte une soutane, une collerette blanche et une croix autour du cou, nous pouvons alors penser à une ironie pointue de la part du metteur en scène à propos de l’ambiguïté de la tenue cléricale. Puis, C’est un Don Juan perdu que nous retrouvons, il semble demander

c’est pourquoi elle ne s’est jamais prononcée à ce sujet. Au Moyen-Âge, les prêtres ne connaissaient pas le Graal, cette idée circulait dans des réseaux parallèles, occultes, hors du contexte ecclésial. 5. Les moines de l’Opus Dei portent la soutane (chapitre 29) intox ! Pour la bonne et très simple raison qu’il n’y a pas de moines dans l’Opus Dei ! Un moine est un homme qui se retire du monde actif pour mener une vie de prière, or l’Opus Dei n’est pas un ordre religieux, mais une association

qui s'affrontent. DQ tue quelques moutons, les berges ripostent et lui cassent quatre dents et repartent, pensant l'avoir tué. Les deux amis repartent aussi. Chapitre 19 : DQ et SP voient arriver dans la nuit des hommes avec des flambeaux et des soutanes noires. Il fait tomber l'un d'eux, lui casse la jambe. Il s'agissait en fait de prêtres qui allaient faire une sépulture. DQ et SP s'arrêtent dans l'herbe. Chapitre 20 : Dans la nuit, DQ veut partir chercher de l'eau et dit à SP que s'il ne revient

"assommer, à tour de bras", "piétinant avec frénésie, la pilant, l'écrasant, .... d'un talon forcené" (208) insiste sur le caractère démoniaque de ce prêtre que les villageois ne désignent plus que par une périphrase dépréciative : " L'homme à la soutane" On partage la haine du baron qui voit en lui "un inquisiteur" qui l'éloigne un peu plus de l'église catholique qui proclame l'image d'un Dieu "qui lui rapetissait la création"(204) et qui s'accorde mal avec sa foi en un Dieu panthéiste. En revanche

sur lui tout le fond de mon cœur. » Ces deux verbes « crever » et « déverser » à valeur métaphorique traduisent le flot de colère qui submerge le narrateur. Ses gestes sont d’ailleurs conformes à sa rage ; il prend le prêtre « par le collet de sa soutane » et sa révolte s’exprime dans « des bondissements de joie et de colère. » En effet il s’agit bien d’une révolte, d’un refus catégorique de la vision du monde proposée par le prêtre. Meursault remet radicalement en cause la manière de vivre et

scène représente une caricature de la société. Les personnages représentent les trois ordres. Au centre, un paysan avec sa bêche (le tiers état) est écrasé sous une roche (les taxes « taille,impôts,corvée ») où se tiennent un membre du clergé en soutane avec son missel et un noble en habit militaire avec son épée. Le paysan écrasé semble supplier le prêtre et le noble sans résultat. L’inscription sur le rocher « taille, impôts, corvée » et la légende « Le temps passé, les plus utiles étaient foulée

saison en enfer (1873) Illuminations (1873-1875) Reliquaire, poésies (1891) Poésies (1895) Lettres, Égypte, Arabie, Éthiopie (1899) Oeuvres, vers et proses (1912) Les Mains de Jeanne-Marie (1872) Stupra (1923) Un Coeur sous une soutane (1870) Lettres de la vie littéraire (1870-1875) Vers de collège (1932) Album zutique (1872) (collaboration) Voyelles, Oraison du soir, Les Assis, Les Effarés, Les Chercheuses de poux, Bateau ivre, Premières communions,(1884)

libéraux contre les catholiques, ce qui le place dans une situation intenable aux yeux de l’épiscopat et du pape, sans compter que le roi, Léopold II, et la bourgeoisie belge ne peuvent supporter ce trouble-fête. Rome lui ordonnera de choisir entre la soutane et la défense des intérêts des ouvriers: inutile de dire que ce dernier sera démis de ses fonctions de prêtre mais qu’il continuera d’œuvrer auprès des ouvriers d’Alost et de Belgique au cours d’un second mandat, jusqu’en 1907.