Souveraineté Et Suzeraineté

chrétienté, par le Sylvestre 2 le pape qui va pousser l’empereur. Ce rêve va être éphémère car la chrétienté supporte l’unité alors que l’empire va être confronté aux royaumes dirigés par les rois autonomes qui vont tenter de mettre en place une souveraineté qui s’impose à tous les ordres de la société. Cette politique va réussir mais au 13ème siècle avec le déclin de la féodalité, les monarchies vont s’affirmer. A. Le prince et son image 1. L’empire Le premier des princes occidentaux est

plus grands seigneurs : on parle de suzeraineté et non pas de souveraineté. Souveraineté : - Absence de réel pouvoir central - Permet au Capétiens d’êtres les seigneurs directs et indirects de tous les seigneurs inférieurs du royaume … Définitions : - La souveraineté : Notion plus forte et plus large : en effet, elle implique l’autorité d’un monarque immédiatement sur tous les habitants du royaume : il n’y aura plus que des sujets du roi - La Suzeraineté : Ne fonctionne que sur les chefs

prêtre du temple de Jérusalem. Celui qui est couronné est un messie, et l’héritier du grand temple de Jérusalem. Il y a une qualité « juive » dans le couronnement royal. On lui remet ensuite les régalias : objets qui définissent le contours de la souveraineté : l’anneau = mariage du roi avec Dieu, et avec son royaume ; le sceptre long = le bâton de berger de David (humilité des hommes, mais leur destin hors du commun quand ils sont protégés par la providence divine) et signe du commandement (crosse)

protecteur, possède des droits, des prérogatives sur son territoire et ses habitants. On appelle cela le droit de ban. Ce droit de ban est en réalité un pouvoir d’ordonner, d’interdire et de punir. Il n’est pas du tout conçu au Moyen Age comme une souveraineté. On parle d’ailleurs de seigneurie banale. C’est tout simplement la seigneurie lambda du Moyen Age dont le seigneur est titulaire du droit de ban (se faire obéir et diriger la population sur un territoire donné). C’est un pouvoir d’abord militaire

organisation administrative élaborée. a) Le concept d’état C’est une puissance de commandement distincte de la personne qui commande. La gaule et les peuples barbares ignorent ce concept. Rome a également défini les caractères de l’état : La souveraineté étatique à un fondement populaire ; le bien commun des membres de la collectivité était l’objectif de l’état, ainsi que de représenter l’intérêt général. La puissance de l’état est limitée car elle est soumise au droit. b) Une organisation

achevées, il n'a pas tardé à se créer une situation d'anomie due à la multiplicité des conflits locaux entre seigneurs, professionnels de la guerre. De plus, l'éclatement de la souveraineté en une multitude de principautés indépendantes a considérablement réduit le pouvoir du roi. Sa seule attribution demeure la suzeraineté qui en fait le « seigneur suprême ». L'historiographie traditionnelle appelle cette période de déclin du xie et xiie siècles l'« anarchie féodale » bien que l'État royal ne se

cohabitent sur un même territoire. Assurer un service minimum de justice influencé par les mœurs archaïque. Sous la féodalité : unifier le droit sans pouvoir centrale. Emergence d’un droit spontané fondé sur des coutumes centrale. Eparpillement de la souveraineté. Titre 1 : L’époque Franque diversité du droit et archaïsme de la justice. La période franque : 2 dynasties se succèdent : Les mérovingiens V VIII et les Carolingiens VIII X Mérovingien : Clovis 481-511 Le peuple de Clovis était les francs

restaurer l'autorité royale remise en question dès 1827. Sous prétexte de se débarrasser des corsaires turcs dans la Méditerranée, Charles X prépara, à la mi-décembre de 1829, une expédition d'envergure afin de conquérir l'Algérie qui était sous la suzeraineté du sultan turc d'Istanbul depuis trois siècles, sous le nom de «Régence d'Alger». La France mit à contribution toute sa marine, avec l'accord des puissances européennes qui renouaient ainsi avec les grandes croisades chrétiennes contre les musulmans

l'Etat c'est :  son caractère national : Etat nation, une population unie par le sentiment d'une destinée commune cf la guerre de 100 ans.  l'autorité, la puissance, le pouvoir reconnu à l'Etat : la souveraineté. A. L'idée de souveraineté. 1) les bases romaines et canoniques de la souveraineté. Le digeste a fourni un certain nombre de formule reprise ensuite dans les coutumier du XIIIème siècle. "Ce qui plait au prince a force de loi". Les glossateurs ont repris une distinction fondamentale

vassalique par conséquent il été le 1er des seigneurs les autre seigneurs jouissant en leur domaine des mêmes droits que la royauté. Cette suzeraineté est une idée qui ne convient pas a la royauté qui exerce une autorité limitée. Progressivement on se tourné vers la souveraineté. Jean Bodin « 6livres de la républiques » il va théoriser le concept. La souveraineté repose sur 4 caractéristiques * perpétuel * absolue * indivisible * sans lien contractuelle On parle d’absolutisme