Spinoza Homme Juste

Raison = faculté humaine *s’oppose à l’imagination. * peut se définir par le désir de connaître. *faculté de compter, régler, mettre en ordre. *homme raisonnable = agit sans excès. *discourt cohérant et universelle. *intelligence humaine = théorique, capacité d‘abstraction * déf d’Aristote: homme = animal raisonnable *raison égale en tout homme mais différence d‘usage, il faut avoir du bon sens (Descartes) B/ Qu’Est-ce que juger? *acte par lequel on affirme ou ni en arrêtant le contenue

à Leipzig) Les étoiles, on ne les désire pas. (Goethe) Le bonheur La Béatitude n'est pas la récompense de la Vertu, mais la Vertu même. Spinoza, Ethique, V Toute notre félicité et notre misère dépendent de la qualité de l’objet que nous aimons. Ainsi l’amour d’une chose éternelle et infinie nourrit l’âme d’une joie sans mélange et sans tristesse. Spinoza, Traité de la réforme de l'entendement Que la mort soit devant tes yeux chaque jour. Epictète, Manuel, XXI Ne cherche pas à ce que les événements

effet pour Kant on peut se rendre digne du bonheur en étant vertueux, le bonheur devient alors une sorte d'épiphénomène de la vertu. On peut concevoir la vertu comme la définit Aristote : en tant que juste milieu, un équilibre entre deux tensions, entre défaut et excès. Le juste milieu étant la raison. Dans son Éthique à Nicomaque, Aristote établi 8 arguments pour trouver le bonheur, à plusieurs reprises il conseille d'avoir une maîtrise rationnelle de soi-même, et de mesurer ses actions

du corps et de l'esprit, tandis que le plaisir ne concerne que le corps. En philosophie[modifier le code] La tradition philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne

aspire à la détente, au repos. Or le repos suprême, c’est la mort. De plus, selon Spinoza toute chose aspire à se conserver et cela montre que l'homme devrait renoncer à ses désirs pour ne pas s’autodétruire . Les hommes, en croyant observer leur intérêt, désirent souvent comme utile ce qui leur est en fait nuisible car ceux-ci sont illusoires et superflus. Quoiqu'il en soit, un homme sans désirs ne serait plus un homme. Mais le refoulement de ses désirs, provoque une intense frustration, c'est pour

Définition : • homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. • nature : 1° L'inné par opposition à l'acquis (nature opposée à culture, ou chez les

5. Le désir de conservation (Spinoza) 6. La volonté de puissance (Nietzsche) 7. Le désir d'éternité (Platon) C. Le désir de mort 8. La structure kamikaze du désir 9. L'agressivité introjectée (Nietzsche) 10. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 11. Le plaisir de se perdre D. L'indétermination du désir II. Le désir de l'autre E. Le désir mimétique (Spinoza) F. La structure triangulaire

est par obligation synonyme de souffrance, puis dans un second temps, que les désirs font partis de l'homme, donc il faut apprendre à vivre avec, et enfin que maitrisé, les désirs ne nuisent pas obligatoirement. Leibniz a dit : « L'inquiétude qu'un homme ressent en lui même par l'absence d'une chose qui lui donnerait du plaisir si elle était présente, c'est ce qu'on nomme désir. » En outre, on ne désire que ce que l'on a pas ; ainsi le désir s'accompagne d'un réel sentiment de manque. Ce manque s'accompagne

peut être considéré comme l’essence de l’homme en tant que puissance d’affirmation et de création d’après Spinoza. Le désir est pourtant négatif dans ce sens qu’il est volontiers agressif, voir destructeur, lorsqu’il rencontre des obstacles, le plus souvent étant l’autre ou le désir de l’autre. Dans ce que l’on nomme ‘’la dialectique du maître et du serviteur’’, Hegel explique que tout homme cherche la confirmation de sa valeur en tentant d’imposer son point de vue à l’autre. Et cette ‘’lutte pour

une des règles énoncées précédemment car il émane du désir une force d’agir qui guide l’homme vers la sagesse et l’accroissement mental et parce qu’il permet de nous libérer de nos troubles. Si l’on considère que les désirs sont, comme le dit Spinoza, « l’essence même du corps », on peut s’apercevoir que leur satisfaction peut constituer une règle de vie. En effet, il est possible de considérer que le désir est une puissance, une puissance d’agir. Cette puissance d’agir nous permettrait de grandir