Spinoza Traité Des Autorites

en effet bien voir qu'il y a une unité profonde des problèmes philosophiques et de la méthode philosophique. Il ne faut donc pas voir l'instabilité des méthodes et des thèmes philosophiques comme une faiblesse de la discipline, mais plutôt comme un trait caractéristique de sa nature. Ainsi, la philosophie est une sorte de retour critique, du savoir sur lui-même, ou plus précisément une critique rationnelle de tous les savoirs (opinions, croyances, art, réflexions scientifiques, etc.), y compris philosophiques

Père pour les mêmes raisons, mais plus particulièrement en raison du mystère de la relation Père-Fils qui le rattache à Jésus-Christ. En général, le nom du père appliqué à la déité signifie qu'il est l'origine de tous ce qui est sujet à lui, une autorité suprême et puissante, un patriarche, et un protecteur. Dans plusieurs formes de polythéisme, le dieu au rang le plus élevé est représenté comme le père des dieux et des hommes. Les religions polythéistes L’Asie apparaît comme le foyer des principales

bonheur, ne peuvent dépendre de nous, il convient alors de se tourner vers des objectifs qui dépendent de nous et des désirs que nous pourrons satisfaire. Selon Kant, se rendre digne d'être heureux revient à faire preuve de vertu, tandis que pour Spinoza, la joie, en tant que participation et passage vers la perfection, est accessible à tout homme. Corrigé du BAC de Philo 2010 Filière S Sujet : Explication de texte de Hobbes « Léviathan ». « L'ignorance des causes et

quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l'homme, et c'est ôter toute moralité à ses actions que d'ôter toute liberté à sa volonté. Enfin c'est une convention vaine et contradictoire de stipuler d'une part une autorité absolue et de l'autre une obéissance sans bornes. N'est-il pas clair qu'on n'est engagé à rien envers celui dont on a droit de tout exiger, et cette seule condition, sans équivalent, sans échange n'entraîne-t-elle pas la nullité de l'acte? Car quel

telle expression est un oxymore, d’autres, au contraire, jugent que l’on peut légitimement parler d’une philosophie juive (au même titre qu’une philosophie musulmane ou chrétienne), à condition d’intégrer à cette définition la spécificité des thèmes traités. La pensée grecque, expression paradigmatique de toute spéculation philosophique, est née et s’est développée dans un milieu radicalement différent du monothéisme. Le paganisme ne part pas des mêmes présupposés que le monothéisme hébraïque, chrétien

eux-mêmes et s’ils vivaient en respectant la nécessité de la paix, ils n’auraient pas besoin de faire de la politique. L’ordre des états ne serait pas nécessaire et il ne faudrait point les tenir dans le devoir par une autorité publique » Hobbes. Spinoza = Traité Politique. John Locke : Traité du gouvernement civil. On ne peut pas imaginer les hommes suffisamment raisonnables pour quitter l’état de nature mais pas assez raisonnable pour choisir une situation qui est pire encore. Quel contrat permettra

5x18) ; L’Entendement, la Raison, L’Activité, La Sensibilité (42 pages, 11,5x18). Idem, du cours d’histoire de la philosophie, le résumé sur des feuillets 11,5x18 des notices consacrées à Socrate (3 pages), Aristote (4 pages), Bacon (3 pages), Spinoza (1 page), Locke (2 pages), Leibniz (6 pages), Kant (3 pages) ; des extraits du résumé du cours de Métaphysique : Le problème métaphysique de la connaissance, ou de la valeur de l’esprit humain comme instrument de connaissance – Le scepticisme,

de l'auteur Le Prince de Machiavel est un traité politico-philosophique qui etudie les différents aspects du pouvoir politique. L'ouvrage écrit en 1513 a été publié en 1532 à titre posthume. Il a dès sa parution entrainé de vives critiques, pour preuve il sera inscrit dans la liste des manuscrits interdit par l'Eglise Catholique. Cadre polémique: Les penseurs politiques et les philosophes ont discouru sur l’oeuvre de Machiavel, certains, comme Spinoza ou Rousseau, y ont vu un conseil s’adressant

pragmatique. Une autorité utilisée comme moyen d’instaurer une certaine discipline en vu de contrôler l’énergie des élèves d’une classe et ainsi rendre le travail scolaire possible. Autorité et pouvoir se confondent donc et prennent la forme d’un pouvoir moral. Une obéissance consentie émanant d’une puissance morale supérieure et reconnue. Il ne s’agit pas là d’un recours à la contrainte, contrainte qui tend à traiter les personnes comme des objets mais d’une simple demande en utilisant son autorité morale

que « cette proposition (la CECA) réalisera les premières assises concrètes d’une fédération européenne, indispensable à la préservation de la paix ». Jean Monnet de même ne manqua pas de rappeler lors de son accession à la présidence de la Haute Autorité que celle-ci serait l’ébauche d’un « Etat fédéral ». L’échec de la CED vint contrarier ces projets. Telle qu’elle existe aujourd'hui, l’Europe fonctionne déjà avec des principes fédéraux et il serait hasardeux d’oublier qu’une organisation fondée