Spinoza Traité Des Autorites

hypothèses 7 B. La critique du kantisme 8 1. Le problème de l’égoïsme 8 2. Les sentiments moraux 8 3. L’eudémonisme d’Aristote 8 4. L’utilitarisme anglais 9 III. L’éthique de la vie et de la joie 9 A. L’éthique de Spinoza 9 B. La philosophie de la morale de Nietzsche 9 1. La vie, source de toute valeur 9 2. L’évaluation des valeurs 10 3. La généalogie de la morale : morale des forts et morale des faibles 10 4. Par-delà bien et mal 10

conditions, hypothèses 13 B. La critique du kantisme 13 1. Le problème de l’égoïsme 13 2. Les sentiments moraux 14 3. L’eudémonisme d’Aristote 15 4. L’utilitarisme anglais 15 III. L’éthique de la vie et de la joie 15 A. L’éthique de Spinoza 15 B. La philosophie de la morale de Nietzsche 16 1. La vie, source de toute valeur 16 2. L’évaluation des valeurs 17 3. La généalogie de la morale : morale des forts et morale des faibles 17 4. Par-delà bien et mal 18 a.

DESCARTES ET MONTAIGNE   Sans avoir jamais été ses maîtres à penser, Descartes et Montaigne ont largement alimenté la réflexion de Pascal. Il connaît bien leur œuvre ; il a même contribué à la publication posthume du traité de Descartes sur L’Homme. Il ressent pour ces deux hommes une estime certaine, qui n’exclut pas de sérieuses réserves.   Pour Pascal, Descartes est le « docteur de la raison », le type de ce que les Pensées appellent un dogmatiste, qui accorde la plus grande confiance aux

On se base sur les Expériences (base de toutes connaissances) Empirisme ! c) Philosophie & Idées Galilée : revendique autonomie de la recherche scientifique par rapport à la religion. Descartes : Remets tout en question sauf la foie Spinoza : Remets même la fois dans le doute. CCL : On critique toutes les idées religieuses. d) Diffusion des idées des lumières 1 : Arme de la littérature Lettres ; Critique société & nvx idéaux. Théâtre ; Se moque de la bourgeoisie. Roman ; vente

étrangère: ce sens usual du mot liberté ( du latin liber ) rejoint d’ailleurs son sens original. Aux sources de notre civilisation, la liberté est la libre condition de l’homme qui n’est pas esclave ( servus ) ou prisonnier. Par opposition à l’esclave, traité comme un outil inanimé privé de droits, le maître ou le citoyen dispose librement de sa personne et participe activement à la vie de la cité: c’est la liberté politique au sein de la cité. Ainsi la liberté fut d’abord un statut, c’est-à-dire une condition

Au commencement de son règne, c’est un monarque aimé des français, il gagne leur confiance grâce à ses succès militaires pendant les guerres contres les autrichiens, vers 1740. Mais après sa victoire, il décide de leur rendre leurs terres durant le Traité d’Aix-la-Chapelle en 1748. Le peuple, à l’esprit nationaliste, ne lui pardonnera pas. Le roi subit une tentative d’assassinat le 15 Janvier 1757. Il sombre peu à peu dans la dépression, sa confiance envers le peuple est sérieusement ébranlée. En 1769

veut prouver que la vérité donnée par Dieu n’est pas dans les Ecritures mais dans la nature qui doit être étudiée. Croire, c’est adhérer à une opinion, à une pensée, sans réflexion, sans mise en cause, sans preuve. Cf. Connaissance par ouï-dire de Spinoza, premier stade de la connaissance. La croyance religieuse relève, parfois, de cette définition. Alain : « La religion consiste à croire par volonté sans preuve et même contre les preuves… » Savoir suppose un effort de réflexion, une recherche, des

30/01/14 Introduction On distingue la politique du réel et la politique de l'imaginaire issue de la philosophie grecque puis de la théologie du MA ( avec notamment St Augustin). La politique du réel est un sujet traité par Spinoza qui a dit : « il avait semblé plus approprié d'aller droit à la vérité effective de la question plutôt qu'à son imagination ». A partir de la renaissance les auteurs qui réinventent la pensée politique vont avoir pour préoccupation 1° de débarrasser de la politique

en effet bien voir qu'il y a une unité profonde des problèmes philosophiques et de la méthode philosophique. Il ne faut donc pas voir l'instabilité des méthodes et des thèmes philosophiques comme une faiblesse de la discipline, mais plutôt comme un trait caractéristique de sa nature. Ainsi, la philosophie est une sorte de retour critique, du savoir sur lui-même, ou plus précisément une critique rationnelle de tous les savoirs (opinions, croyances, art, réflexions scientifiques, etc.), y compris philosophiques

politiques et religieuses est reliée à aux appartenances sociale, familiale, ecclésiastique ou nationale. La morale n’est au fond que l’ensemble des valeurs et des règles qui font consensus dans une société et qui sont transmis par le biais des autorités sociales aux individus. Cette incorporation de la morale (des mœurs communes) assure l’intégration individuelle dans la collectivité sociale et ainsi la stabilité et la continuité du groupe (« L’éducation morale »). Certains autres sociologues s’intéressent