Stahlhelm

et soutenant la politique de détente voulue par Stresemann. —> Des associations paramilitaires regroupent d’anciens combattants de la Grande guerre, en grand nombre : par exemple les 500 000 adhérents, en 1930, de l’association Casque d’Acier (Stahlhelm, Bund der Frontsoldaten) dépassent de loin l’effectif de « l’armée des 100 000 hommes » de la Reichswehr telle définie par le traité de Versailles B)Vers les accords de Locarno: politique de conciliation La reprise des échanges financiers dans

droite (Verbände, Freikorps, Stahlhelm, Wehrwillen, Wehrsport, Grenzschutz, Kronprinz, Jungstahlhelm, Scharnhorstbund, Sturmabteilung ou SA, Ernst Röhm, Hermann Göring, Schutzstaffeln ou SS, Stosstruppe, Heinrich Himmler, Jungdeutscher Orden ou Jungdo, Arthur Mahraun) - A droite se trouve le « Stahlhelm » ou casque d’acier, fondé en 1918 ; il est politiquement près du DNVP et parfois du NSDAP ; ses actions sont paramilitaires et para politiques. - A côté du Stahlhelm il y a la SA (=Sturmabteilung)

sous l’image : “ Deutsclands Sieg, Europas Freiheit ”, que l’on peut traduire par “ La Victoire allemande, [c’est] la liberté de l’Europe ” Au premier plan, nous voyons un soldat allemand (on reconnaît qu’il est Allemand grâce à son casque, le Stahlhelm, et grâce à son uniforme, celui de la Wehrmacht, l’armée allemande) domptant un dragon rouge et qui l’étrangle grâce à deux grands éclairs blancs qui partent de ses mains et aussi grâce à une grenade allemande. Quant au dragon, il est couché, touché

„Amerikanische Veteranen und ihre Versorgung“, RB, 20.9.1932. 23 Die Bezeichnung „Kriegsteilnehmer“ spiegelt sich in den Namen der unmittelbar nach dem Krieg gegründeten Veteranen- und Kriegsopferverbände wider. Ausnahmen bilden der nationalistische Stahlhelm und der „Reichsbund jüdischer Frontsoldaten“, der durch die Betonung des Fronteinsatzes seine Loyalität zur deutschen Nation unterstreichen wollte; vgl. unten, Kap 1.2, S. 14/5. Der Ausdruck „Krieger“ wird nur noch selten verwandt; Der Kriegsteilnehmer

politique, envahir les pays de l’ Est et réarmer en secret. Les fanatiques de droites quant à eux continuent inlassablement à s’opposer au régime en place, sans être gêné par le gouvernement. o En septembre 1928 : Une section des Casques d’acier (Stahlhelm), un groupe extrémiste d’anciens combattants hostiles à Weimar clame ouvertement sa haine contre le régime. A ce moment là ces propos très violents, ne trouvèrent pas beaucoup d’écho. La situation était trop stable pour que les gens y prêtent

allemand et italien "l'Italie est le seul pays où le socialisme ne se rallia à aucun moment à la cause de la guerre" a bien existé, et on ne peut pas vraiment parler de "sectarisme" [49] selon l'expression de G. Mosse "en Allemagne, par exemple, le "Stahlhelm" ("Casque d'acier") réunit un million d'adhérents "[50], même si l'acuité de la question de la culpabilité morale en Allemagne et celle de la "paix mutilée" en Italie l'emportèrent largement sur ces mouvements pacifistes. Cependant, par opposition

traditionnels du sentiment national, les plus intransigeants sur la grandeur nationale : une partie de l'armée, les anciens combattants, etc. C'est en partie là que les ligues fascistes vont se constituer : ce sera le cas des Croix-de-feu en France et du Stahlhelm en Allemagne. b) Antiparlementarisme, antilibéralisme Seconde composante du fascisme : une réaction contre la démocratie parlementaire et la philosophie libérale, inspiratrice des régimes démocratiques qui ont triomphé en 1918. Dans les pays

gouvernements se succèdent. Les succès de la droite conservatrice suscitèrent un regain de l’agitation d’extrême droite et l’essor des formations paramilitaires subventionnées par de grands industriels. C’est le cas de l’organisation « casque d’acier » (stahlhelm) qui rassemble d’anciens corps francs (400 000 membres en 1927) et se réclame d’une idéologie strictement nationaliste et conservatrice. Le Parti national-socialiste (NSDAP) de Hitler est également organisé en groupes de 9 combat (SA et SS). Devant

aventuriers de tout bord, les « déclassés ». Ils combattent en Haute-Silésie contre les Polonais, ou dans les pays baltes contre les bolcheviks. Dissous en 1920, les corps francs sont relayés par d'autres groupements nationalistes : par exemple le Stahlhelm (Casque d'acier) financé par Alfred Hugenberg, nationaliste fervent, président de Krupp et magnat de presse. Certains de ces hommes basculent dans le terrorisme, les assassinats politiques se multiplient (Erzberger, signataire du traité de Versailles

groupuscule en 1920, veut avoir un ancrage populaire, emprunte autant au nationalisme qu'à des courants d'extrême gauche. Sous surveillance policière, soupçonné d'être communiste. Les Corps Francs : des dizaines. Le plus influents : le groupe des Stahlhelm, les Casques d'Acier. Fondé en 1918, un groupe de masse : 500k militants en 1930. Association, pas un parti, comprend de nombreux anciens combattants. Bénéficient de l'entraînement militaire de l'armée, menés par Albert Hugenberg, qui détient un