Statut Du Narrateur

soudainement renaître » jusqu'à «  Ô toi que j’eusse aimé, ô toi qui le savais ! » => Les répercussions intérieures provoquées en le narrateur par cet événement. Enonciation : Temps : imparfait (description du cadre de l’histoire) «  hurlait » ; « buvais », Passé simple/imparfait (v1 à 9) : « passa » ; «  Les étapes du récit : Vers 1 : Place le narrateur au centre du poème « autour de moi », décrit le cadre de l’action en mettant l’accent sur le bruit de la rue (« assourdissante» ; «hurlait »)

différence d’éducation mais il l’avait remarqué et passe outre.   Il change et suis la société en changement. Ce qui avant était impossible (l’association de  deux classe sociales qui n’avaient aucun points communs) est maintenant possible.    => Regard ironique de narrateur qui montre l’évolution des personnages notamment de  Tancredi.    b) Le déclin de la noblesse et des valeurs aristocratiques en mutations.  Valeurs aristocratiques en déclin, le raffinement d’éducation aussi. Ces valeurs  aristocratiques devie

l’église, mais avec l’exagération que se transformer -1 syntaxe en ironie. On remarquer remarque -1 que le narrateur externe a décrit l’arrive arrivée -1 des femmes prostitue prostituées -1 au village avec un récit drôle. Il décrit leur présence dans l’église avec une façon confronter comparable ? -1 à un état-major qu’ils ont un statut supérieur -1 syntaxe dans le village  : -0.5 « La troupe se déployait majestueusement comme un état-major en grand uniforme ». -0.5 (l

PARTIE II�: LA FAMILLE Question 1�: La famille du narrateur est compos�e�: *de son p�re Andr� qui est un instituteur d��cole primaire reconnu et appr�ci� par tous et un clown � ses heures libres.� Page 16�: ��C�est que mon p�re, instituteur de son �tat, traquait et prenait aux cheveux toutes les occasions de s�exhiber en auguste amateur.�� Le narrateur a honte de son p�re car il ne comprend pourquoi il aime tant se

peau d’un enfant et lui donner la parole de manière crédible, un écrivain ne peut pas se contenter de faire appel à ses propres souvenirs. Dans les coulisses de la fiction Bernard Pingaud construit un subtil jeu de miroir entre l’auteur, le narrateur, le lecteur et le critique. De L’Empreinte de l’ange à Prodige, l’enfance est pré- sente dans la plupart de ses romans. Elle occupe cependant une place centrale dans Lignes de faille, le dernier d’entre eux. Nancy Huston a voulu se mettre succes-

l’influence du roman picaresque espagnol qui est en vogue au début du siècle. Le picaro est un personnage d’aventurier errant, un gueux généralement sans foi ni loi, dont l’histoire à rebondissements connaît de multiples péripéties : il est en quête d’un statut social. En marge de ce mouvement, le Don Quichotte de Cervantès, traduit en 1614, a connu un énorme succès. Le Roman comique de Scarron (1610-1660) est une « épopée burlesque ». On peut voir dans cette écriture parodique la critique implicite

La femme: sa femme dont-on ignore énormément de choses soumise, citée en même temps que l’âne et le chat de la maison. L’intervention du narrateur: Le narrateur intervient, pour commenter et préciser quelques caractéristiques relatives à Bouchaïb. Cette intervention donne à l’incipit cet effet de réel, car nous avons l’impression que le narrateur connaissait Bouchaïb et sa vie comme il est capable d’affirmer ou de nier certains faits : « Rien de tout cela n’était tout-à-fait juste ; seul le

signes linguistiques à déchiffrer. I-Un narrateur tout puissant. a- Cadre spatial : La description de Saumur n’est pas menée dans le but de reproduire un Saumur « réel ». Le Saumur du texte est une construction, une élaboration rhétorique  b- Un narrateur omniscient : le narrateur est polymorphe qui s’installe et s’impose dans le genre romanesque. Comment le roman affirme sa légitimité ? Cette affirmation passe par un statut conféré au narrateur à la fois philosophe et poète, détenteur

structure fixe ou récurrente : ici, trois fois quatre vers, puis cinq vers, puis un vers final isolé. 2- Ensuite, l’abandon de certaines règles du décompte ; en effet, il n’y a aucun cas d’hiatus dans le vers libre, aucun cas de diérèse et seul le statut de l’ « e » caduc demeure un peu bousculé. Cependant, comme dans la prosodie classique : - la syllabe finale de vers en « e » est apocopée, - tout « e » devant consonne est compté, - il y a élision d’un « e » devant une voyelle. III-Le rythme

topos de l’inconnu : le narrateur, pour faire oublier qu’il contrôle le récit, feint de tout ignorer de son personnage. * Le topos du nouveau : l’évocation d’un personnage découvrant, en même temps que le lecteur, le monde de l’histoire, naturalise la présentation de l’univers fictif. * Le topos du dévoilement : la description de l’aube, du lever du jour, permet de dévoiler progressivement et « naturellement » l’espace de l’intrigue. * Le narrateur : statut et fonction .