Stichomythie

cette scène est une scène de farce et dans un second temps que Argan se fait ridiculiser. Tout d’abord cette scène suscite le rire par son usage des ressorts de la farce, qui donne le ton des échanges entre Argan et sa domestiques. Les stichomythies du début de la scène jusqu’à la ligne 367, donnent à la scène son rythme vif. Cette idée de dynamisme est renforcée avec des répétions d’Argan et Toinette, ils reprennent les mots de leur interlocuteur pour répliquer. Cela crée des parallélismes

monologue est une tirade prononcée par un seul personnage Le dialogue est un échange verbal entre deux ou plusieurs personnages L’aparté est une réplique prononcée par un personnage à l’insu d’un autre, pour lui-même ou à l’intention du public La stichomythie est l’échange rapide de répliques courtes et vives La structure du dialogue La manière dont un dialogue est construit donne des informations essentielles sur les personnages ou l’intrigue de la pièce. Les répliques peuvent : se succéder et

Théâtre, il en reste 8. Il à joué un rôle politique. P23 à 32 L’orgueil d'Œdipe le pousse vers « l'hybris » , la démesure. Il sombre vers la colère, il imagine des choses fausses et il s'en prend verbalement à un représentant des Dieux. Stichomythie : Chaque personnage à un vers, le plus souvent dans une dispute. On s'affronte, on ce renvoi la balle. Au centre de cette pièce : - « L'Ironie tragique »qui joue sur le double sens des mots. (Voir/être aveugle) - Savoir, ne pas savoir. « Quel

spectateur connaissant ce qu'ignore le personnage) et l'ironie tragique (le héros tragique ne discerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers; - un récit est une longue tirade rendant compte d'une action que l'on ne peut représenter sur scène (dans Phèdre de Racine, la mort d'Hippolyte est l'objet du récit de Théramène). Les formes

I. Une scène comique a) un comique de répétition Stichomythies +exclamatives Répétition qui conserve la même structure et qui relève de la farce du moyen-âge b) Comique de situation Orgon se soucie d’un homme qui finalement fait bombance sous son toit, en profiteur. Tout ceci au détriment de sa famille, de sa femme qui était très souffrante. (hyperboles nombreuses) c) comique de mots provoqué par la servante qui décrit dans une narration les attitudes de Tartuffe « dévotement » ;

dialogue didactique (les répliques s'enchaînent selon le mode question/réponse, comme dans les situations d'interrogatoire) le dialogue de confidence (un personnage se confie à un autre qui écoute et intervient pour relancer son discours) La stichomythie est un dialogue où les personnages se répondent vers à vers ou ligne à ligne. Elle donne de la vivacité à l'échange et suppose une situation extrêmement tendue. La tirade est une longue réplique d'un personnage qui développe une thèse ou contient

connaissant ce qu'ignore le personnage) et l'ironie tragique (le héros tragique ne dis-cerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). → les différentes répliques : - une tirade, est une longue réplique;  - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers; - un récit, est une longue tirade rendant compte d'une action que l'on ne peut représenter sur scène. Par exemple, dans Phèdre de Racine, la mort d'Hippolyte est l'objet du récit de Théramène

dialogue, le rythme est accéléré par des phrases courtes autour de mots clés qui vont cristalliser le conflit, « oui » et « non » à partir de la ligne 45 ce sont deux tirade suivies d’un déploiement de la parole. -L46-68 et L7-87 et suivis d’une stichomythie d’Antigone. -L70-73 et 89 -> position de rejet, de refus et qui mettent à plat les arguments de Créon. Mais ce conflit verbal est double par une interprétation sur scène. D’abord la scène commence face à face et ensuite comme indique les didascalies

c’est également la seule qui ne soit pas une question, mais une affirmation.   W Rythme, longueur des répliques (//) ⇒ Le rythme s’accélère au moment où le Loup voit le collier du Chien : cela montre que la vue de cet objet est pour lui un choc. Stichomythie (échange de répliques brèves).   X L’enjambement ( ) + répétition du verbe « courir ». ⇒ Pour le Loup, la liberté est un bien sacré : on doit courir où on veut. Or, justement, dans le dernier vers… il court !   L’énumération ( ) Contrairement

plaisirs ». Elle accède à la conscience, en étant maintenant capable de définir ce qu’elle ressent, et d’affirmer son amour avec force : « Oui, je l’aime ». De ce fait, elle s’affirme elle-même, en répondant point par point à Arnolphe dans la stichomythie. Elle a mesuré son mépris envers elle, et ne se laisse plus humilier. Au rappel grossier du coût de sa nourriture, elle répond à son tour avec mépris : « Non, il vous rendra tout jusques au dernier double. » Elle a également pris conscience de