Stichomythie

mesure de la pièce. 3- Le monologue et la tirade sont tout les deux de longues répliques écrites en vers, la seule différence est que la tirade s’adresse à une personne, alors qu’un monologue est une réplique qu’on s’adresse à soi-même. 4- Les stichomythies sont de très courtes répliques écrites en vers. Cela donne un rytme rapide au dialogue. 5- Un auteur de pièce de théatre est un dramaturge. 6- La double énonciation est quand le personnage s’adresse à la foi au public mais aussi au autres acteurs

compagnon attend toujours le "dernier moment" pour faire les choses et en tire une idée métaphysique sur ce dernier moment. des jeux sur les dialogues apparaissent, volontairement dans Godot quand Vladimir et Estragon passe le temps grâce à des stichomythies, ou involontairement pour les personnages, mais laissant deviner une intention de l'auteur de Rhinocéros de perdre le spectateur en mélangeant le dialogue d'un vieux monsieur et d'un logicien et celui de Jean et Béranger, renforçant la confusion

I) Les techniques du langage utilisées dans le mariage de figaro 1) Le dialogue Le dialogue permet d’attiser les conflits et de percer les intentions secrètes de l’autre [insinuation, question piégée] Technique spécifique au théâtre : le Stichomythie : échange verbe extrêmement rapide entre 2 personnages [spécifiques dans une pièce de théatre] - Dual verbal et effet comique 2) Les appartés : Pur artifice du théâtre. Petite déclaration qui est faite à « part » des personnages sans que

content du futur mari alors qu’il ne l’a jamais vu ce qui montre un manque de discernement .Le 2eme mouvement, le quiproquo (ligne27)Angélique annonce qu’elle a déjà vu son futur mari ce qu’Argan ne comprend pas et ne cherche pas à comprendre.Les stichomythies entre Angélique et Argan sur le portrait physique et moral du futur mari donne du rythme au dialogue Série de question qui montre le quiproquo ; Angélique et Argan ne parlent pas de la meme personne. Angélique parle de Cléante alors que Argan ne

informe par là même le public de ses sentiments). c) L’aparté : un personnage baissant la voix est censé être entendu du public, mais pas de ses interlocuteurs sur scène. d) La tirade : longue réplique prononcée sans interruption. e) La stichomythie : succession de courtes répliques syntaxiquement symétriques. Elle traduit un affrontement entre els personnages et permet une accélération du rythme. f) La double énonciation : un personnage, en même temps qu’il s’adresse aux autres personnages

déterminé de vers qui forment un sens complet et qui suivent le même ordre, adoptant une régularité dans la longueur des vers et les rimes choisies. Au théâtre, monologue qui adopte cette forme. Ex : Le Cid, Acte I scène VI, stances de Rodrigue. Stichomythie (n.f.) : alternance rapide de répliques très courtes. Ex : Cyrano de Bergerac, Acte II scène 9 : échange vif opposant Christian et Cyrano. Théâtralité (n.f.) : conformité d'une situation, d'une scène ou d'une œuvre, aux règles de l'art théâtral

valets et les maitres, le couple est compromis par l’attitude du conte. C ) Une intrigue vite nouée - Fonction référentielle habituelle aux scènes d’expo dépassée par la fonction didactique. On apprend la situation en même temps de Fig. (Stichomythies.) ≠ étapes traditionnelles. -Crise en place d’emblée + arrivée in medias res +efficacité et discrétion = la « folle journée » commence. II ) Un discours contestataire -> Les privilèges que dénonce Beaumarchais à travers la volonté de Suzanne

modalité exclamative, avec les interjections, telles le « Ah ! » qui ponctuent toute la première tirade. Les questions révèlent la blessure d’Arnolphe, et son ironie est très amère : « Le deviez-vous aimer, impertinente ? » Enfin l’on reconnaît la stichomythie, quand, sous l’effet de la colère, les personnages se répondent mot par mot, par exemple des vers 1520 à 1533.  Arnolphe semble découvrir une nouvelle Agnès, qui représente précisément ce qu’il affirmait détester au Ier acte : « Voyez comme

hypocrisie de DJ = rire Une comparaison avec Jourdain du BgH. Opposition entre le pouvoir et l’enrichissement de celui-ci et la soumission de Mr Dimanche. B°) Les comiques de mots et de gestes. Enchaînement prompt de répliques, proches de la stichomythie. Coupure de la parole sans cesse : « … ». Exagérations dans le discours et grandes civilités accompagnés de grands gestes. Jeu de scène des sièges. Ironie des paroles à double sens. Conclusion : ✓ Face à face entre un insolent noble

aussi démontrée par une ponctuation expressive « mon Dieu ! »(l 1), « Non, jamais ! » (l 3), « Eteins-toi ! » (l 4). La Reine se sent coupable « triste flamme éteins-toi » (l 4), « mes maux sont finis » (l 5). On note également de nombreuses stichomythies qui marquent cette tension dramatique. Dans les gestes, les didascalis, Ruy Blas implore la Reine de lui pardonner « joignant les mains » (l 2), « à genoux » (l 1), « levant les yeux au ciel » (l 14). La Reine exprime sa souffrance « le soutient