Stichomythie

même d'une pièce. 2. lieu où se déroule la pièce.  Scène d'exposition : début de la pièce où sont présentés de manière directe ou indirecte les personnages.  Soliloque : discours d'un personnage seul sur scène. Il est à distingué du monologue.  Stichomythie : suite de courtes répliques qui accélèrent le texte.  Tableau : division d'une pièce qui, contrairement aux actes, ne coupent pas le temps d'une pièce.  Tirade : long discours ininterrompu d'un personnage. 

problématique permettra tout d'abor d'analyser le rapport qui se cré entre deux personnage indéfinis puis d'étudier la révélation du vrai nom de Zucco Tout d'abor, dans cette scene c'est un dialogue pueril entre les deux locuteur qui est constituer de stichomythies et qui montre certaines de leur similitude. En effet, ce dialogue est semblable a celui de deux enfants se rencontrant, ce caractere enfantin est marqué par les phrases simples et interrogatives. L'impératif est souvent sollicité par la gamine

formule ou une opinion de l'auteur lui-même. | Elle renseigne sur les idées politiques, morales ou sociales de l’auteur. | « un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal » (Beaumarchais, Le Barbier de Séville). | La stichomythie: il s'agit (dans une pièce en vers), de la succession rapide de brèves répliques d'égale longueur où les interlocuteurs se répondent vers pour vers, ou hémistiche pour hémistiche. | Ces répliques courtes ont pour effet de traduire une émotion

lieu de l’amour et des plaisirs à venir de Suzanne et Figaro -Un espace « commode » mais une commodité à double sens (à l’image des deux portes) -Un espace source de joie pour Figaro / rejeté par Suzanne -Un lieu sujet à un vif dialogue : stichomythies (le temps est compté : il faut aller vite + jeux de réponse en écho, répétition des mots et onomatopées, échange des pronoms = effet comique ! - un lieu symbolisant les relations difficiles entre le comte et la comtesse … un déjà vieux couple

effets recherchés sur le spectateur. I) Le jeu des acteurs D'abord, la force d'une scène de conflit réside principalement dans la manière dont cette scène est jouée par les acteurs. A) Le dialogue théâtral → répliques courtes voire stichomythies = rapidité de l'action → répliques plus longues = pour argumenter Exemple → Don Juan de Molière acte I scène 3 = présence des 2 types de répliques B) Les didascalies → elles permettent aux lecteurs de mieux visualiser l'affrontement mais également

au personnage en changeant l’être de papier en être humain. Nous pouvons, d’autre part, rappeler quelques notions indispensables sur le théâtre comme la présence de répliques (dialogue), de tirades (répliques longues ralentissant l’action), de stichomythies (répliques courtes accélérant l’action), de monologues (personnage faisant part de ses pensées à haute voix sur scène), d’apartés (personnage faisant part de ses pensées au public durant un échange de répliques), de didascalies (indications scéniques

| |Le Vicomte.- Maraud, faquin, butor | | | | |de pied plat ridicule ! | |La stichomythie |Succession de répliques brèves |Elle marque que le dialogue menace de |Roxane.- Qu’est-ce, | | |(limitées à un vers ou un hémistiche) |se rompre. |Cyrano.- Moi. Je

son rôle de chef de famille et de père. Les dernier vers de la pièce annonceront l’amour et le mariage. Ils sont sincères et terminent cette polémique sur l’hypocrisie, ce combat entre le vrai et le faux. Ce dénouement est souligné aussi par la Stichomythie des vers 1945 à 1947. Cette figure de style marque aussi le caractère extraordinaire de ce dénouement qui apporte le soulagement à la famille. L’expression « Que Dieu soit loué" est un jeu de mots de la part de Dorine en opposition au mot "ciel"

jamais, Le dialogue est alors impératif dans cette histoire. C’est le discours d’un personnage seul (ou qui se croit seul) sur scène. En exprimant ses sentiments, il souligne souvent un conflit ou une tension. Le théâtre est aussi constitué de stichomythie qui est une succession rapide de courtes répliques (affrontement…) comme le témoigne la relation valet/maitre dans Dom Juan, ces saynètes font avancer l’intrigue et on sait ce que pensent les personnages. La parole peut aussi faire rire avec le

garde une distance entre lui : Il la tutoie alors qu’elle le vouvoie. - Par ce tutoiement, il essaie de créer une affinité et une sympathie. Lyse évite le conflit en prenant les propos de Clindor à la plaisanterie. - La scène s'achève par des stichomythies. Lyse est réaliste. Reprise du mot « rien » : justifie le parti pris par Clindor. - Il propose à Lyse d’être sa maîtresse. Epouse = sujette, dépendante, pas libre alors que maîtresse = elle domine, plaisir plus grand. - Epouse = achète, argent