Stimulus

mentaliste. Les processus mentaux, la boite noire, ne sont pas de l’intérêt des béhavioristes. L’objectif central est de trouver les conditions observables qui amènent la réponse à un stimulus donné (S-R) grâce à un système de renforcements. It views the mind as a “black box” in the sense that response to stimulus can be observed quantitatively, totally ignoring the possibility of thought processes occurring in the mind [ Brenda Mergel, 1998]. À partir des travaux des théories béhavioristes se sont

réaction est la somme des durées de chacune des trois étapes du traitement de l’information, soit l’identification du stimulus, la sélection de la réponse appropriée ainsi que la programmation de la réponse. En 1995, une seconde étude se basant sur les bases déjà préétablies de Sanders a démontré que le temps de réaction diminuait lorsqu’il y avait une période préparatoire précédant le stimulus, c’est-à-dire un indice qui prépare le sujet à réagir (Nandrino J. L., El Massioui F., 1995). Inversement, le temps

default outcome when binocular correspondence cannot be established. The theory posits the existence of monocular and binocular neurons arrayed within a functional processing module, with monocular neurons playing a crucial role in signaling the stimulus conditions instigating rivalry and generating inhibitory signals to implement suppression. Suppression is conceived as a local process happening in parallel over the entire cortical representation of the binocular visual field. The strength of

latence, la motivation est présente comme stimulus interne prédisposant potentiellement l’animal à réaliser la conduite instinctive. C’est un stimulus endogène et non observable. b) Phase appétitive Le stimulus déclencheur instinctif est un stimulus exogène observable, tandis que la pulsion est un stimulus endogène non observable. A telle pulsion correspond tel stimulus déclencheur instinctif. La méthode de leurres permet d’identifier précisément le stimulus déclencheur instinctif correspondant

cognitive de cet état d’activation dans un contexte environnemental précis. On retrouve ici l’importance de la cognition face aux stimuli environnementaux. Arnold, dans les années 50, parle du concept d’évaluation où le sujet évaluerait le stimulus émotionnel en fonction de ses expériences émotionnelles antérieures générant ainsi une tendance à l’action. Bower et Leventhal, 1981, ajoutent que l’émotion résulterait d’une succession de traitements d’informations affectives présentes déjà

apprentissage et habitude deviennent des réflexes lorsque le cerveau fait les liens entre le stimulus et l’action qui suit. Il fait une expérience avec un chien, il va l’habituer à prendre sa nourriture après un stimulus sonore. A la longue, la salivation de ce dernier peut être déclenché uniquement grâce au stimulus sonore. La sécrétion de la salive peut être provoquée par un contact direct avec la nourriture ou par un stimulus lié à celle-ci, tel un son de cloche par exemple. Pavlov décrit deux types de réflexes

entre l’arrivé du son à une oreille par rapport à l’autre indique l’emplacement dans l’espace du son (gauche vs. droite) : STEREOPHONIE BOUM Gauche Droite - L’information spatiale «emplacement du son» : N’est pas dans le stimulus qui arrive aux oreilles Il émerge de la rencontre: 1. La forme du système auditif 2. Une énergie physique - Cette forme particulière conduit à 2 stimulations distinctes alors qu’il y a qu’un son. - Et c’est sur la base de ces 2 stimulations

douleur sera d’autant plus forte que la montée du plaisir aura été rapide. En fait, la drogue est un messager chimique imposteur. Il va remplacer un neurotransmetteur du plaisir (dopamine, sérotonine, encéphaline…). Seulement, lorsqu’on stoppe le stimulus chimique, la concentration dans le sang peut tomber plus bas que la normale : quand il y a des imposteurs, les émetteurs n’émettent pas de signal. Les sites de recapture des neurotransmetteurs ne fonctionnent pas, ce qui provoque un dysfonctionnement

c'est-à-dire qu’elles doivent être transportées par l'air et donc avoir un poids moléculaire modéré. Les molécules volatiles sont alors de masse moléculaire entre 30 et 300 Daltons (1 Da = 1,66054.10-27 kg). Cependant, une molécule, pour constituer un bon stimulus olfactif, doit présenter d’autres propriétés. 2) Autres caractéristiques Pour qu’une substance possède des propriétés odorantes, il faut qu’elle ait une polarité faible (la polarité influence l'hydrosolubilité plus une molécule est polaire

des réponses, des réactions automatiques. Autrement dit, à chaque stimulus correspond une réaction bien définit. 8. Que pensez-vous de cette comparaison ? Expliquez et justifiez votre point de vue. Pour moi cette comparaison est à nuancé puisqu’en effet, certaines réactions s’apparentent à des réactions automatiques engendrées par des stimuli. C'est-à-dire qu’un être humain réagira toujours de la même façon à un stimulus. Par exemple, il rira si on le chatouille. Cependant, tous les