Stimulus

de leur succession dans le temps était concevable. Sa découverte, en 1850, de la vitesse de propagation de l’influx nerveux est fondatrice pour le domaine de la psychophysiologie car elle implique qu’il existe un décalage entre la réception d’un stimulus et la perception, et pose en même temps la question des processus d’élaboration de la perception consciente, à l’étude de laquelle Helmholtz consacrera également des recherches. Mais la mesure du temps mis par l’influx nerveux pour parcourir une

échantillon, elle n’est donc pas forcément extrapolable. L’approche béhavioriste (années 50 : une des 2 thèses qui s’opposent)  Principes : Vise à agir sur l’individu, travailler sur les stimuli et les réponses comportementales. Stimulus -> boite noire -> réponse Stimulus : ce qui nous interpelle afin de créer des réactions. Ici, peu importe ce qu’il se passe dans la boîte noire.  Limites : Que se passe t-il dans la boite noire ? Passivité du consommateur : réactions certes mais action ? L’approche

stimuli auxquels ils sont les plus sensibles : Mécanorécepteur répondent au stimulus mécanique, comme pression sur la peau ou étirement Photorécepteur répondent au photon de la lumière Thermorécepteur répondent à la température Chémorécepteur répondent aux stimuli chimiques II. La transduction du stimulus Transduction = Conversion de l’énergie du stimulus en un changement de potentiel de membrane de la cellule Le stimulus ouvre des canaux ioniques dans la membrane => modification du potentiel de

terrain de recherche privilégié, dans la mesure où il se prête à l'expérimentation Le béhaviorisme interprète donc tout comportement (humain ou animal) en termes de Il stimulus - réaction". Le stimulus étant ce qui provient de l'extérieur de l'organisme et la réaction ce que cet organisme fait après avoir été affecté par ce stimulus, Watson ne s'intéresse qu'à ces deux termes et laisse de côté tout ce qui se passe entre deux, dans le psychisme du sujet. La forme élémentaire d'apprentissage est

NON ASSOCIATIF l’apprentissage non associatif décrit le changement qui survient avec le temps, d’une réponse comportementale à un seul type de stimulus représente des processus connus sous les termes d’habituation et de sensibilisation L’APPRENTISSAGE: NON ASSOCIATIF Habituation: mécanisme par lequel un neurone diminue sa réponse à un stimulus répétitif Mécanisme possible impliqué: au niveau présynaptique: moins de Ca2+ entre dans le bouton terminal → moins de neurotransmetteurs libérés

lisible par le cerveau : c’est le récepteur sensoriel (Fig.1). Le signal sensoriel afférent va activer à son tour des neurones centraux capables de coder les aspects qualitatifs et quantitatifs du stimulus (à quoi correspond-il, quelle est sa force) et pour certaines modalités la localisation du stimulus dans l’espace (cas du système somatique, de la vision et audition). A la transduction, transfert et représentation de chaque modalité correspondra en retour un signal moteur qui représentera le comportement

événements antérieurs Ex : comportements de l’adulte et expériences de plaisir/aversion du nouveau-né, de l’enfant… Prédire/contrôler les connexions entre : Stimulations externes ou internes (stimuli) Réactions (réponses) Bruit violent Stimulus Boîte noire Individu Réponse Sursaut Hartley (1705 - 1757) : principe de contiguïté Stimulations et réactions sont plus étroitement liées lorsqu’elles apparaissent de façon répétitive dans le même espace/temps Décomposer les comportements

cubes joints et peuvent tourner sur un axe de rotation fixe dans un espace 3D. La tâche. Le paradigme. -Les stimuli sont présentés par paire -Le sujet doit déterminer si la paire est identique ou pas -Le sujet est averti au début de l’essai par un stimulus sonore. -500ms plus tard, une paire di stimuli lui est présentée -Le sujet doit appuyer sur le bouton identique ou différent le plus rapidement possible. I. Définition et identification des processus de traitement « Un système à mémoire

: Effet de surprise : Surestimation d’un nouveau stimulus intervenant après une série de stimulus identiques Différents phénomènes mis en évidence en évaluation sensorielle Effet de lassitude : Diminution de l’acuité sensorielle par suite de fatigue. La lassitude est fonction de la motivation des sujets, du type de tests, du nombre de produits. Effet de contraste : Surestimation ou sous-estimation d’un stimulus à cause du stimulus précédent (ex : Si un échantillon moyennement sucré

perception est: “le processus par lequel des sensations physiques (telles que les images, les sons ou les odeurs) sont sélectionnées, organisées et interprétées par le consommateur” L’attention est: ”Le degré d’activité de traitement consacré à un stimulus précis”: c’est une mesure de concentration de notre perception Plusieurs caractéristiques individuelles qui influencent la perception: * L’attention * La compréhension: subjective (ce que l’on croit connaitre) et objective (ce que l’on