Stimulus

atmosphériques ont communément prouvé qu’une relation significative existe entre les stimuli environnementaux d’un magasin et le comportement du client. Ces études ont également tenté d’identifier les variables qui peuvent modérer ou médiatiser la relation Stimulus environnemental (visuel, tactile, olfactif, sonore)Réponse du consommateur. Néanmoins, aucune justification du choix des stimuli environnementaux par ces recherches n’a été émise, puisqu’elles se placent uniquement du côté du consommateur. Dans ce

technique par laquelle un stimulus, qui au départ n’amenent pas l’apparition d’un certain type de réponse, en vient à provoquer cette réponse à la suite d’une répétition de présentation du stimulus, liée à un autre élément qui lui provoque la réponse désirée. La loi de l’effet de Thorndike stipulant qu’un comportement existe en fonction de ses expériences et le béhaviorisme avec les relations causales. En effet, selon Watson (fondateur du béhaviorisme), chaque stimulus conduit une réponse particulière

traitement peu modifiable, peu adaptable  l’habileté acquisse reste stéréotypée • On peut la moduler volontairement • Forte adaptabilité  traitement transférable d’une situation à une autre • Traitement en parallèle  les différentes unités du stimulus sont traitées simultanément • Traitement séquentiel  ex : le traitement attentionnel en lecture nous permet de lire des nouveaux mots en déplaçant l’attention séquentiellement Afficher • Efficace malgré fatigue, drogue, alcool... et maintien

par la suite . La perception : L’implication provoque le passage à l’acte de l’achat. Il y’a plusieurs facteurs d’influence de la perception : Le système sensoriel Nous recevons l’information avec nos organes sensoriels. Pour être perçu, le stimulus doit atteindre un seuil. La vue : Personne n’a pu passer à coté de cette petite canette bleue et grise avec son sigle de taureau. De plus les moyens de communication en adéquation avec les couleurs de la canette ont favorisé la mémorisation

phases surtout cognitives (recherche d’info) et des phases d’action qui se traduisent par l’acte d’achat puis la consommation proprement dite(l’utilisation) » 2) Modèle de base du comportement a. Schéma général b. Les stimuli Un stimulus est « la convergence d’un besoin et d’un élément susceptible de le satisfaire » Qu’est-ce qui peut provoquer l’apparition de cette convergence ? * Les produits ou services et leurs caractéristiques * Les communications interpersonnelles

d’actes bien distinguables, les actes réflexes, instinctifs, et volontaires, et l’énoncé ne peut pas s’appliquer à tous. Le déplacement de la tête de quelqu’un qui évite un coup de poing est un acte réflexe, c’est en fait le corps qui réagit à un stimulus du monde extérieur, donc c’est un acte qu’on ne peut pas consciemment contrôler. On peut donc tout de suite écarter ces actes réflexes, car bien qu’ils fassent partie des mouvements de notre corps, ils ont généralement assez peu d’importance, ne

est de pratiquer lanalyse rflexive (le cogito. Le Bhaviorisme est fond sur lapproche comportementale des activits psychologiques et sur le principe dconomie explicative, qui limite le recours des entits ou variable intermdiaire entre lentre, ou stimulus (variable de situation Le Stimuli), et la sortie, ou rponse (variable de comportement Les ractions ou les rponses(motrices)). N vers le dbut du sicle aux Etats Unis (Watson en 1913 dans la revue la Psychological Review) La Gestalt thorie (Wolfgang

proposé par les behavioristes : Le conditionnement classique ou répondant : consiste à associer par répétition un stimulus neutre et un stimulus inconditionnel → étudié par Pavlov (1927) Le conditionnement classique repose sur l’association stimulus conditionnel (SC)-stimulus inconditionnel (SI) au travers de la répétition de couplage stimulus/réponse → pour Pavlov, la présence du stimulus est la cause du comportement Le conditionnement opérant (pour efficace) : → Thorndike (1911) : la sélection de

visuelles en zones sensibles aux stimuli tactiles. Cela est aussi montrer par l’IRM puisqu’au jour 1 aucune zone ne s’active au stimulus tactile et qu’au fur et à mesure une puis deux zones réagissent au stimulus. Cette capacité d’adaptation est d’autant plus étonnante qu’au sixième jour, alors qu’on a retiré au non-voyant leur masque, le cortex visuel ne répond plus qu’au stimulus visuel. Le cerveau se serait donc réadapté à la nouvelle condition de l’individu. De ce fait on peut dire qu’il n’y a pas

psychologie sociale (Banaji et al. 2001 ; Bornstein et Pittman, 1992 ; voir également Channouf, 2000 ; Channouf et Pichevin, 1998) ont montré que certains effets non conscients de simple exposition disparaissent si le sujet sait qu'il a déjà vu le stimulus préalablement. Cependant nous voulons savoir ce qui se passe dans notre cadre marketing plus écologique. Ainsi, le deuxième but est d'étudier les influences implicites lorsque, sept jours après, on fait croire à l'individu que les marques qu'il doit