Strategie Argumentative Don Juan

peut­être pas encore bien sûres du pouvoir de leurs charmes ; et  voilà   ce   qui   fait   que   comme   vous   dites,   j'en   ai   eu   quelques­ unes. » Nous pouvons trouver d’autres justifications du libertinage par Clitandre. Nous  pouvons d’ailleurs y apprécier la cohérence argumentative qui soutient la thèse selon  laquelle   la   raison   justifie   le   libertinage.   Et   nous   pouvons   remarquer  que   cet  éloge  spirituel de la chair matérielle fait ainsi naître l'espace du fantasme dans l'implicite et  le non dit.

résolutions se prennent dès septembre ! L’année de seconde laisse le temps pour chaque élève qui le désire de se forger une culture littéraire utile à maints égards. 1. Qu’est-ce qu’écrire ? Vaste question pour laquelle nous nous bornerons à donner quelques pistes… Ecrire ne se réduit pas à exprimer quelque chose, c’est aussi l’art de signifier, rendre sensible une idée parfois abstraite, faire ressentir des émotions, pousser à agir, faire rêver. Ecrire présuppose un lecteur. Ecrire n’est

intégrale de parties de devoir. Un outil dynamique Loin de se cantonner à la correction, déjà essentielle, de toutes les activités proposées dans le livre de l’élève, cet ouvrage comporte de nombreuses ouvertures destinées à enrichir le cours, donner d’autres idées de séquences, croiser les textes et images d’une même séquence avec d’autres documents, former un corpus de type bac à partir de quelques textes étudiés en lecture analytique, etc. Dans la partie I, une série de prolongements met chaque

siècle met à nu les instincts et la crudité du désir qui gouvernent les actes. La séquence vise à montrer comment cette veine s’affirme avec le roman satirique (textes 1 et 2). L’identité du personnage risque de se perdre dans ses modèles illusoires. Don Quichotte de Cervantès qui présente un personnage perdu dans ses illusions et qui confronte en permanence l’idéal à la réalité, demeure le modèle romanesque majeur, celui qui fonde le roman moderne (texte 4) et qui perdure dans la peinture de la

siècle met à nu les instincts et la crudité du désir qui gouvernent les actes. La séquence vise à montrer comment cette veine s’affirme avec le roman satirique (textes 1 et 2). L’identité du personnage risque de se perdre dans ses modèles illusoires. Don Quichotte de Cervantès qui présente un personnage perdu dans ses illusions et qui confronte en permanence l’idéal à la réalité, demeure le modèle romanesque majeur, celui qui fonde le roman moderne (texte 4) et qui perdure dans la peinture de la

moyens de leur élaboration, les procédés mis en oeuvre pour convaincre et persuader. La rhétorique n’a donc de sens que dans une situation de communication qui fait appel à la raison d’un auditoire défini. Elle utilise à ce titre une stratégie argumentative qui exploite toutes les ressources du langage. [D’après :www.rabac.com] L’éloquence peut être considérée comme la partie de la rhétorique, définie comme la science de bien parler. L’éloquence se répartit en 3 principaux types de discours

s’adoucissent, la brutalité guerrière se tempère du souci d’épargner l’adversaire vaincu (voir l’extrait de la Vie de Saint Louis, p. 25-26), l’éthique et les rituels chevaleresques se mêlent d’éléments religieux qui se fondent en eux au point de donner naissance à des ordres religieux et guerriers (Templiers et Hospitaliers). Mais ce sont surtout deux désastres guerriers qui précipitèrent la chute de l’idéal chevaleresque de la vaillance guerrière : la défaite d’Azincourt (où est décimée la fine

la prise de parole Nous avons choisi de proposer des séquences compatibles à la réalité des classes, à savoir : peu chronophages et favorisant la prise de parole en autonomie. Les problématiques des unités sont propres à susciter la curiosité et à donner envie d’entrer dans la séquence. Pour construire une expression personnelle authentique plusieurs moments sont proposés. Dès la page d’ouverture d’unité, des dialogues enregistrés, permettent de familiariser les élèves avec des expressions idiomatiques

l'habileté à la galanterie dont il suit bien le code (doublement galant dans sa réponse à la reine lors de la rencontre au bal). «Chef-d'œuvre de la nature» (page 7), seigneur le plus brillant de son temps, aristocrate de très haut rang, c'est un don Juan irrésistible aux nombreuses bonnes fortunes («Pensez-vous que vos résolutions tiennent contre un homme qui vous adore et qui est assez heureux pour vous plaire?» [page 8]). Ambitieux et calculateur, il espère un mariage glorieux avec la reine Élisabeth

l'habileté à la galanterie dont il suit bien le code (doublement galant dans sa réponse à la reine lors de la rencontre au bal). «Chef-d'œuvre de la nature» (page 7), seigneur le plus brillant de son temps, aristocrate de très haut rang, c'est un don Juan irrésistible aux nombreuses bonnes fortunes («Pensez-vous que vos résolutions tiennent contre un homme qui vous adore et qui est assez heureux pour vous plaire?» [page 8]). Ambitieux et calculateur, il espère un mariage glorieux avec la reine Élisabeth