Stratégie De L Oncf

l’administration des attestations de références. Parmi ses clients on cite :                              MINISTERE DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS, AGENCE NATIONAL DE L’ASSURANCE MALADIE -ANAM-, MINISTERE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, ONCF, BANQUE POPULAIRE, DEPARTEMENT DE LA PECHE MARITIME, DIRECTION GENERALE DES IMPOTS, SECRETARIAT D’ETAT CHARGEE DE L’ARTSANAT, MINISTERE DES FINANCES ET DE LA PRIVATISATION, MINISTERE DE L’EQUIPEMENT ET DU TRANSPORT, CDG, OFFICE NATIONAL MAROCAINE DE

sont comme suit : Année Bénéficiaire Projet Montant (Millions Euros) Montant (Millions Dh) 2006 2006 2007 et 2009 ADM Tétouan-Fnideq ADM Imintanoute -PK13 (Marrakech-Agadir) ONCF Taourirt ‬ Nador (Infrastructure) 10,3 29,8 91,7 114 328 1009 2009 ADM Casa-Rabat (3ème voie) 21 Total 152,8 231 1682 COOPERATION FINANCIERE Le montant global des investissements

catégories : - Les sociétés publiques qui sont des sociétés qui bénéficient de la personnalité morale, constituées des grandes entreprises nationales, présentes essentiellement dans le secteur de l’énergie(OCP, par exemple) et celui des transports (ONCF, par exemple). 2 - Les quasi-sociétés publiques qui sont des administrations qui vendent plus de 50% de leur production sur le marché (la poste, par exemple).  Le secteur privé : On distingue également deux catégories : - Les sociétés de capitaux

de maturité logistique…………………………………………….…………… 3. Compétitivité productive versus compétitivité globale ………………………………. II. L’élaboration du contrat programme……………………………………………………. 1. Objectifs et impacts généraux de la nouvelle stratégie…………………………………… 2. Axes de la stratégie………………………………………………………………..…………. III. Prestataires logistiques intégrés……………………………………………….…………… 1.Définition………………………………………………………………………………… 2. Les intervenants du marché de la logistique au Maroc……………………………………… 2.1. Les opérateurs

international, suite à la globalisation de l'économie, exercent de fortes pressions et imposent de nouvelles exigences en matière de management du développement. Le secteur de l'infrastructure constitue l'une des principales composantes de toute stratégie de développement et de mise à niveau de l'économie nationale. A la fois facteur de compétitivité et de développement durable, le développement de l'infrastructure peut, dans le cadre de la libéralisation, attirer des flux d'investissements importants

externe, et depuis ce moment beaucoup d’établissements publics font de l’audit externe. Ces établissements sont l’office national d’électricité (ONE), la commission nationale de la commande publique (CNCP), l’office national des chemins de fer (ONCF), les régies autonomes de distribution d’eau et d’électricité (RADEE), l’office d’exploitation des ports (ODEP), l’office national de l’eau potable (ONEP), l’office régional de mise en valeur agricole (ORMAVS), l’office national des postes et

I- VISION STRATEGIQUE ET INSTRUMENTS DE MISE EN OEUVRE Cette vision s’articulait autour des principaux axes suivants :  Augmentation des potentialités d’accueil des villes et création de nouveaux pôles urbains Dans ce cadre, la stratégie à mettre en œuvre doit assurer l’ouverture à l’urbanisation des extensions urbaines définies par les documents d’urbanisme à travers la réalisation des infrastructures nécessaires. Les réserves foncières publiques

faut souligner l’importance de la consolidation des comptes du secteur public dans l’optimisation financière et fonctionnelle de l’action publique, et sa contribution à une meilleure hiérarchisation des priorités, une plus grande articulation des stratégies publiques et à une amélioration du cadre de performance des politiques publiques indépendamment de la structure publique en charge de leur exécution, avec un retour d’information lisible et pertinent pour le citoyen et pour l’ensemble des utilisateurs

- 18 Des projections de croissance du PIB (jusqu’à 2008) sont à trouver dans : Banque Mondiale: Prêt d’Appui aux Politiques de Développement (DPL) du Secteur Financier (2005) voir Tableau 1 : Indicateurs macro-économiques ; Banque Mondiale, Stratégie de Coopération avec le Maroc (2005) ; Banque Mondiale, Mémorandum Economique de Pays sur la Croissance (2006) 27 croissance économique soutenue. Il en ressort que l’épargne est cruciale à la croissance économique19. La reprise nécessaire de

encourus : ___________________________________ 27 3.5. Taille et croissance du segment vise : __________________________________________ 28 3.6. Probabilité de succès de l’entreprise : __________________________________________ 28 3.7. Les trois stratégies globales de ciblage : ________________________________________ 28 1. BENYASSINE – S4 Groupes A et B 2 INTRODUCTION AU MARKETING Chapitre 4 - LA POLITIQUE DU PRODUIT ___________________________________ 30 LE MARKETING ET LA DEFINITION