Stratégie Distribution Mcdonalds

marketing 1) Formulation des objectifs 2) Cibles, sources de volume, positionnement 3) Analyse du marketing mix A) Variable Produit B) Variable prix C) Variable distribution D) Force de vente E) Variable promotion des ventes F) Variable communication III. Préconisations et recommandations IV. Sommaire des annexes Conclusion

.......................................................................................... 8 IV. Les objectifs .................................................................................................................... 9 V. La stratégie de Nutella ...................................................................................................... 12 A. La cible ...................................................................................................................

STRATEGIE ET ORGANISATION DES ENTREPRISES INTRODUCTION : éléments de présentation de la stratégie d’entreprise 1. la stratégie fondée sur le modèle de l’économie industrielle. Le modèle « SCP » (structure comportement performance) exogènes et extérieures à l’entreprise impactant la structure Si la structure est en adéquation avec le comportement alors la performance sera élevée Théorie de la contingence

comportement du consommateur en B to C Le comportement du consommateur en B to B IV. La démarche de différenciation : p.22-p. Segmentation Ciblage Positionnement Le marketing mix : Les 7P +S de la proposition Marketing V. Le choix des canaux de distribution  VI. La communication Marketing et la vente  I. INTRODUCTION ENJEUX : se différencier pour pouvoir vendre grâce à la démarche marketing. Il s’agit de susciter l’impulsion d’achat et non de créer le besoin Faire croire au client que

et désirs au moyen de la création et de l'échange avec autrui de produits et services de valeur. Définition managériale: Le marketing consiste à planifier et mettre en œuvre le (processus) l'élaboration, la tarification, la communication, et la distribution d'une idée, d'un produit ou d'un service en vue d'un échange mutuellement satisfaisant pour les organisations comme les individus. Science et art: de choisir ses marchés-cibles et d'attirer, de conserver, de développer une clientèle en créant

fait très attention à son image de marque !). 2 Cohérence des éléments de l’offre ⇨ On se place du côté de l’entreprise. Les éléments de l’offre doivent être cohérents avec son positionnement : le produit (ou service), le prix, la distribution et la communication ( Cohérence entre les 4P = produit, prix, place et promotion (Ex : C’est pas sorcier, produit d’abord à 2€ puis à 3,20€ pour plus de cohérence et profit plus élevé !) 3 Réalisme économique Optimisation des ressources

Hanna Ropers TC 2ème année Groupe 4 Marketing Stratégie Starbucks 10/04/2012 Starbucks est une chaîne multinationale de cafés connu dans le monde entier. Elle s’est implantée en France dans les années 2000 avec une stratégie qui n’a pas bien fonctionné. Il n’y a donc ici pas de question à se poser à partir de la situation actuelle de l’entreprise. Simplement, le but étant d’analyser la situation actuelle et le positionnement de la marque Starbucks

souvent plus attractifs que ceux proposés par les petits producteurs ont ainsi conquis peu à peu le territoire national. Cependant leur installation a profondément changé les habitudes alimentaires. Ces chaînes de distribution ont, au fil du temps, imposé, pour des raisons de coût de distribution, un lissage des diversités alimentaires tout en obligeant les producteurs à augmenter la quantité de l’offre. Alors les producteurs ont du s’adapter. L’agriculture est devenu extensive, la production alimentaire

de faire projeter des films américains dans les salles de cinéma françaises. En effet, les américains ont très tôt compris, l’influence de la publicité et de l’image sur les modes de consommation. Ils en ont ainsi fait un élément central de leur stratégie de conquête des marchés. Les firmes multinationales s’appuient sur les spots télévisés pour promouvoir leurs produits dans le monde entier et leur efficacité a fait ses preuves depuis longtemps. Cette culture populaire est héritière de l'Europe

successivement abordé au travers de l’hypothèse fiscale, de l’hypothèse de signalisation, de la stratégie anti-OPA, de l’hypothèse de création de valeur et de l’hypothèse d’agence. Version : octobre 2002 LES MOTIVATIONS DES RACHATS D’ACTIONS : Une synthèse de la littérature Monique CALVI-REVEYRON et Philippe PROTIN Alors que les rachats d'actions constituent aux Etats-Unis une forme de distribution de fonds aux actionnaires largement répandue, ils restèrent en France extrêmement rares jusqu'en