Stratégie Generique Sncf

................................ L’avènement du communautaire : vers la régulation d’un chaos nécessaire ? .......................................................... Chapitre 2 – Tous les autres… plus l’enfer ................ La versatilité des stratégies .................................................. L’internationalisation ............................................................ La complexité croissante des organisations...................... L’éloignement des centres de décisions .....

Saint-Étienne : un concept fort et une situation de précurseur 44 5.2 Grenoble : la gestion du stationnement, une « priorité de ville » 45 5.3 Lyon : une campagne complète mais ponctuelle 48 5.4 Paris : élaboration d’une stratégie de communication sur le stationnement Certu - septembre 2003 52 7 6. Synthèse : que faut-il retenir ? 56 6.1 Faire « la politique de l’autruche » 56 6.2 Chercher à donner une image positive à tout prix 57 6.3

entre une entreprise et son client. Une relation de confiance qui finit toujours par apporter des avantages non négligeables aux deux parties. La fidélisation de la clientèle n'est donc pas une affaire de hasard, mais la vraie résultante d'une stratégie globale de la direction de l'entreprise visant à mettre en commun les forces vives à disposition pour plus de loyauté, plus de satisfaction, plus de facilité dans le travail, plus de profit et finalement, la création de plus de valeur pour le client

P. : Structures: il faut étudier les structures de marchés: la CPP, le monopole, l’oligopole, cela renvoi au nombre d’entreprise sur la marché pour combien de consommateurs. La structure de marché influence les comportements Comportements: Stratégie d’entreprise: entente, vente à perte, prix prédateurs, différenciation, barrière à l’entrée.. Les comportements vont à leur tour influencer les performances. Performances: au niveau microéconomique c’est à dire les performances des entreprises

des concurrents. Dans le secteur marchand, le rôle du marketing est de créer de la valeur économique pour l’entreprise en créant de la valeur pour les clients. Marketing : Produit (ex : Redbull) Un produit et un service (Iphone) Un service (SNCF) Des enseignes : Partie politique Une association : SAM L’État Les trois formes du marketing : Du marketing de masse au marketing segmenté * Deux approches opposées * 1920 : « le client peut choisir la couleur de sa voiture à

acteurs de l’environnement. 1.1.1 Le marché en fonction des produits offerts et des biens satisfaits Le marché principal : l’ensemble des produits semblables aux produits étudiés et directement aux concurrents (marché de l’informatique). Le marché générique : l’ensemble des produits satisfaisant le même besoin. Le marché du substitut : l’ensemble des produits différents du marché principal mais satisfaisant les mêmes besoins. Le marché complémentaire : l’ensemble des produits auxquels recourt le marché

les choix de media planning et qui joue un rôle de mandataire dans les procédures d’achat d’espaces publicitaires. Pour l’UDECAM : « Les agences medias accompagnent les annonceurs et leurs marques dans la conception et la mise en place de leurs stratégies de moyens ». Elle prend en charge l’optimisation de l’usage des budgets alloués aux campagnes publicitaires. Ses missions sont, selon l’UDECAM : Elaborer un planning stratégique de moyens Concevoir et réaliser le conseil et l’achat des medias

du service considéré (ici, le transport). Le secteur du transport regroupe les entreprises de transport, et recouvre donc aussi des activités qui ne sont pas du transport, exercées par des entreprises du transport à titre secondaire. Par exemple, la SNCF assure elle-même l’entretien des voies (pour le compte du maître d’ouvrage, RFF), activité ressortissant à une autre rubrique de la nomenclature. Pour autant, une part de l’activité marchande de transport échappe au secteur du transport : celle exercée

ou interministérielle. b) Programme. Programme : un programme regroupe les crédits destinés à un ensemble cohérent d’actions relevant d’un même ministère. Le montant des crédits du programme est limitatif. Lui sont associés une stratégie, des objectifs précis, ainsi que des résultats attendus. Un responsable de programme est nommément désigné. C’est le 2ème niveau de l’architecture budgétaire. On associe dans chaque programme des objectifs précis qui sont définis en fonction

57 57 58 60 64 64 66 69 2 LE FONCTIONNEMENT D’UNE STRUCTURE DE CONSEIL Le cadre d’exercice de l’activité 1. Le conseil comme activité salariée 2. Le conseil comme activité individuelle autonome 3. La création d’une société Le choix de la stratégie 1. Ajuster la structure de conseil à son environnement 2. Utiliser ses atouts internes L’organisation du cabinet de conseil 1. Structure générale 2. Le cabinet de conseil : une adhocratie ? Le management des consultants 1. Des travailleurs « pas