Stratégies D Implantation Des Firmes

Stratégie générale I – Finalité et objectifs de l’entreprise. 1 – Terminologie. On va distinguer finalité / objectifs / stratégies : La finalité est de nature idéologique et générale, on peut l’assimiler à un but. Les objectifs sont les traductions opérationnelles de la finalité. Les stratégies traduisent les moyens à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs. Il s’agit d’une hiérarchie, la finalité tout en haut, les objectifs au 2ème niveau et tout en bas, les stratégies

niveau des pays développés qu’à celui des pays en voie de développement. Depuis l’ouverture des marchés à la concurrence, avec la chute des barrières douanières et l’effet mondialisation, les entreprises françaises et étrangères repensent leurs stratégies de croissance afin d’acquérir au plus vite une taille critique et se parer contre l’entrée de nouveaux concurrents sur le marché. Si deux entreprises d’un même marché passent sous le contrôle d’un seul groupe, le groupe ainsi constitué affronte

LES TIC : FACTEUR DE DEVELOPPEMENT OU DE DOMINATION PAR LES GRANDES FIRMES MULTINATIONALES ? RESUME Les TIC représentent de nombreux atouts dans l’évolution du monde des affaires et dans le fonctionnement des grandes entreprises. Par ailleurs, les TIC ont permis de produire plus, de communiquer plus et de vendre plus. En contrepartie, grâce au développement des entreprises multinationales par le biais des TIC, celles-ci pourraient à la fois apporter le développement de la société tout en dominant

la Société Française des Teintures Inoffensives pour les Cheveux et qui deviendra en 1939 l’Oréal. L’objectif de ce cas est d’apprécier le management stratégique du groupe au tournant des années 1990, en examinant notamment la question de son implantation dans la zone franche de Dubai dans les Emirats Arabes Unies (EAU) 1. 1. La situation générale du groupe en 1990 En 1990, L'Oréal est une entreprise peu diversifiée : les cosmétiques représentent 85% du chiffre d’affaires (CA), la pharmacie

basant sur vos connaissances et sur les documents 1 et 2, montrez que la multinationalisation des entreprises se justifie par la recherche d’une meilleure compétitivité. Document 1 : Vers la fin des années 1960, des multinationales ont adopté une stratégie fondée sur la délocalisation en vue de tirer parti des coûts de production inférieurs à l’étranger. L’opération consiste concrètement à décomposer le processus productif en différents segments et à délocaliser les segments exigeant une importante

Jacques QUIBEL Ingénieur de l’École nationale supérieure des arts et métiers Diplômé du Centre de perfectionnement dans l’administration des affaires de la Chambre de commerce de Paris Ancien Directeur prospective et stratégie chimie pour le groupe Air Liquide Conseil en management et stratégie d’entreprise 1. 2. 3. 4. 5. Différents types de business plans..................................................... Intérêts du business plan...............................................................

industrielles Ch3. La mondialisation PLAN 1. Le modèle de Porter 2. Les modèles productifs nationaux Chapitre 1 Grilles de lecture de l’environnement économique des entreprises A. La chaîne de la valeur B. Les forces de concurrence C. Les stratégies de base I. Le modèle de Porter 7 Grille de lecture de Porter Configuration de l’environnement sectoriel Forces de concurrence Représentation de l’entreprise Chaîne de la valeur Choix stratégiques possibles Avantage concurrentiel

baissé dans les années 60. Dans ce contexte les firmes américaines et européennes se sont dit que les autres énergies allaient devenir compétitives si le prix du pétrole grimpe. Donc un vaste marché s'ouvre : le nucléaire civil. La Gulf Oil va devenir première du pétrole et du nucléaire. Donc les firmes avaient intérêt augmentation prix du pétrole. Double bénéfice : nucléaire civil + stocks de pétrole pas cher, revendu cher. On est dans des stratégies d'acteurs. Les profits réalisés par ces fimes on

acteurs principaux sont les institutions financières privées. Les deux autres dimensions sont totalement subordonnées : les mouvements de capitaux entre pays dépendent de l'existence d'écarts de rendement fondés sur les anticipations; la gestion des firmes se calque sur la gestion de portefeuille des banques et les actifs industriels sont assimilés à des actifs financiers. L'Etat est réduit à sa plus simple utilité : la consistance du territoire nationale et l'autorité sur celui-ci. Chapitre n°2:

biais de très nombreuses filiales, opérant soit sur une zone géographique déterminée, soit sur le monde entier. L'ensemble des activités d'une multinationale, même les plus stratégiques, peut être délocalisé pour des questions de coût ou de stratégie, ou encore de gestion ou de comptabilité. Il est ainsi souvent avantageux de produire là où la main-d'œuvre est plus faiblement rémunérée à condition qu'elle se montre suffisamment productive, de vendre sur les marchés les plus rentables, et de rechercher