Structure des protéines

développement est irréversible. OBSERVATION 100% HL5 : on observe un forte multiplication de l'amibe au stade précédent le limaçon. 75% HL5 : présence d'agrégat et de quelques limaçons dû au développement des cellules dans le milieu riche mais aucune structure montrant l'entrée d'un cycle de développement. Le milieu présente des conditions trop favorables pour le début d'un cycle de développement. 50% HL5 : on observe des formes intermédiaire ainsi que des limaçons. 25% et 0% HL5 : présence de pied, de

d’étudier la mobilité de différents types de protéines sur des gels de migration afin d’en déduire leur poids moléculaire PM, leur structure ou leur identité.  Trois familles de protéines vont être utilisées : des lisoenzymes de la lactacte déshydrogénase (isoLDH), de l’albumine sérique de bovin (BSA) et une protéine inconnue Y à déterminer. Une première manipulation consistera à faire migrer par électrophorèse, de la BSA, des isoLDH, des protéines inconnues Y et un marqueur de taille, tous monomères

à but non lucratif qui constitue une sous-division du Laboratoire européen de biologie moléculaire (European Molecular Biology Laboratory, EMBL). Il propose un certain nombre de bases de données d'acides nucléiques, de séquences protéiques et de structures macromoléculaires. Il est en quelque sorte le pendant européen du National Center for Biotechnology Information (NCBI) américain. Bases de données à l'EBI : Les principales missions de l'European Bioinformatics Institute (EBI) centre sur la construction

Métabolisme des protéines D Séguy Service de nutrition dseguy@univ-lille2.fr Schéma général du métabolisme protéique chez un adulte sain de 70 kg (tiré de « Enseignement de la Nutrition », B. Beaufrère, Collège des enseignants de Nutrition) 1/ 2/ Généralités Structure des protéines 3/ 4/ Digestion et absorption des protéines Synthèse protéique 5/ Dégradation irréversible des AA 6/ 7/ Protéolyse Synthèse des AA non essentiels 8/ Méthodes d’exploration in vivo 9/ Physiologie du Métabolisme

est l’unité vivante de construction et de fonctionnement du corps humain. Elle se nourrit, produit des déchets, se reproduit et communique avec son environnement. Elle détient aussi dans son noyau les informations nécessaires à la vie. 1) Une structure commune Les cellules présentent des formes différentes selon leur localisation et la fonction qu’elles occupent dans l’organisme. Pourtant toutes les cellules ou presque sont construites sur la même organisation et utilisent des biomolécules

principe de la membrane plasmique. ← Compartiments clôt Les fonctions de la membrane plasmique : -régule les transports La cellule maintien des différences de concentration ionique par réceptions et émission d’informations grâce notamment aux protéines transmembranaires (=récépteurs) ( capteurs qui relaient l’info dans la cellule -contrôle les entrées et les sorties : molécules protéiques sub spécialisées molécules de sorties (déchets)

II. 1) 2) 3) 4) 5) Taxonomie et classification La taille La morphologie Coloration de Gram Critères métaboliques : les types trophiques et les galeries API/plaques Biolog Critères génotypiques : ARN 16s III. 1) 2) 3) 4) Structure : la cellule bactérienne La membrane plasmique La paroi ou enveloppe cellulaire bactérienne Le peptidoglycane La membrane externe des bactéries Gram (-) IV. 1) 2) 3) 4) 5) Mécanismes du transport membranaire Mécanisme de transport

synthétisés par la cellule = homéostasie. 3. Communication entre la cellule et son environnement: Elle contient des protéines qui permettent à la cellule de reconnaître des molécules ou des changements dans son environnement et d’y répondre. 4. Soutien structural: le cytosquelette, charpente interne de la cellule, s’appuie sur les protéines membranaires pour maintenir la forme de la cellule. Différentiation = différentes formes des cellules car

modifications de la structure des molécules, lesquelles sont la cause des caractères cellulaires différents. L'environnement peut également modifier les phénotypes, qui en sont donc aussi dépendants.(ex: phénylcétonurie, phénotype arriération mentale évité si la nourriture ne contient pas de phénylalanine, non dégradée chez ces individus, jusqu' à 4 ou 5 ans) 2) Le phénotype dépend majoritairement des protéines On peut relier un phénotype individuel particulier à une modification de la structure d'une protéine

moléculaire, il correspond à la nature et à la composition des protéines synthétisées. B- Le phénotype produit du génotype Au seins de l'ADN, la séquence de nucléotide constituants chaque gène, commande la synthèse d'un peptide, c'est-à-dire un enchainement spécifique d'acide animés (aa). Une protéine est constitué d'un ou plusieurs peptide. La séquence des aa d'un peptide correspond a sa structure primaire. Toutes les protéines des êtres vivants sont formé a partir de 20 types d'aa. (voir