Stupidité

qu'il ne s'installe comme médecin en France, ce roman écrit dans un ton familier, usant forces argots, se caractérisait par son personnage en quête d'un sens qu'il ne trouvera jamais, et par le dégoût et la colère que fit partager l'auteur sur la stupidité et l'hypocrisie de la société. 1/Bardamu => Anti héros Traditionnellement un anti héros est considérer comme demi dieu, surhomme ou tout simplement courageux mais Bardamu est représentée tout au contraire comme lâche ou quelqu’un de banale.

qu'aient été les faits, l'agent n'était ni monstrueux ni démoniaque, et la seule caractéristique décelable dans son passé 25 comme dans son comportement durant le procès et l'interrogatoire de police était un fait négatif : ce n'était pas de la stupidité mais une curieuse et authentique inaptitude à penser. nfonctionnait dans son rôle de grand criminel de guerre aussi bien que sous le régime nazi ; il n'avait pas la moindre difficulté à accepter un système de règles abso­ lument différent. Il savait

Pour faire, il s’offre les services de maîtres, qui lui apprennent des savoirs inutiles ou qu’il ne comprend pas, comme le Maître de philosophie qui lui apprend a prononcé les voyelles. Il se fait même entourloupé par un noble qui profite de sa stupidité pour charmer une marquise. Egalement dans Le Misanthrope, Molière se moque de l’hypocrisie de l’aristocratie. Mais la propagande des dramaturges ne se fait pas que sur la société. En effet, dans Rinocéros, Ionesco dénonce la montée du nazisme en

attaques sont décrites de manières banales malgré leur atrocité. (ch. 3) II. Le mal moral Comme je l'ai dis dans l'introduction, la guerre se situe dans les deux côtés du Mal, elle est autant un Mal physique, qu'un Mal moral. On y observe la stupidité des soldats, conditionnés par la guerre, qui sont devenus sans états-d'âmes et qui n'ont aucuns regrets à massacrer de pauvres innocents. L'absurdité de la guerre se ressent lorsque les soldats en sont au point de fusiller l'un des leurs, qui est

sauce », « mure », « manger ») ainsi que de quelques figures de style (l.7 : périphrase : « ouvertures sur le divin ». C'est un compliment mais la suite met encore plus la Femme en position inférieure (« elle n'y comprendra goutte » : synonyme de stupidité)). 3) Les clichés de l'évasion Tous les clichés de l'évasion sont présents : il parle ainsi de "départ ivre vers la mer", de pays chauds, de soleil, de luxuriance. Il insiste aussi sur le vice de la femme, partir. L'évasion c'est aussi l'appel

L'abbé de Saint Yves supposait que vue que L' Ingénu n'étant pas né en France il ne pouvait pas avoir « le sens commun ». C'est à dire, qu'il ne pouvait ni penser ni se conduire. Le huron n'est en quelque sorte, qu'un sauvage. Voltaire montre ici la stupidité de cet abbé qui veux instruire un huron afin de le convertir mais qui le considère comme un sous homme.

des différentes institutions. | 1966 | RITT Martin | éu | Hombre Film montrant un blanc indianisé, élevé par les Apaches, John RUSSEL, surnommé Hombre, en butte au racisme primaire. Ses actes et sa mort sont une gifle à l’intolérance et à la stupidité. Beau rôle pour Paul NEWMAN. | | | | | Tous les films pro-indiens mettent en scène des relations amicales et sentimentales entre le héros et la tribu en question. John Ford va réaliser une demi douzaine de films que l’on peut considéré comme

virulence le pouvoir absolu et ses liens avec la religion. Peut-être plus que le thème, c’est la manière qui caractérise l’engagement de l’auteur. Cette ironie mordante trahit l’indignation, l’intelligence blessée devant tant de mauvaise foi et de stupidité. Cette ironie est l’arme de la raison militante. C’est elle qui peut entraîner le lecteur à réagir en lui montrant avec humour la déraison des puissants. ________________________________________ Notes i Gengis Khan, né Temüjin, (v.1162 - 1227)

riche voisin nommé Rodolphe Boulanger, attiré par sa beauté : c’est une liaison passionnée. Emma est souvent indiscrète, si bien que tous les habitants jasent à son sujet. Charles, cependant, ne soupçonne rien. Son adoration pour sa femme et sa stupidité se combinent pour le rendre sourd à tous les ragots. Sa réputation professionnelle subit un coup dur quand, poussé par Homais et par Emma, il tente une opération chirurgicale pour traiter un homme pied-bot d’Hippolyte, le garçon d’écurie de l’auberge

intervient. Le récit s'interrompt donc pour que le narrateur puisse commenter la scène. Il va inciter le lecteur à le croire en utilisant des adjectifs mélioratifs pour définir ce qu'est un homme bon. L’adverbe « toujours » insiste aussi sur la stupidité qu'aurait quelqu'un qui ne le croit pas. Ensuite l'accumulation et l'anaphore de « contre » toutes les 2 insisté sur son questionnement. Cette insistance rend le récit presque ironique et donne l'impression que le narrateur ne pense pas ce qu'il