Style Bauhaus

prouvent sont : l'utilisation massive de la première personne du singulier dans tous les vers. On remarque la présence de pronom personnel sujet ("je", " j' ") et complément d'objet ("me", " m' "). Egalement, on retrouve l'utilisation des figures de style de répétition : l'anaphore. Au vers 1, le "je" répété deux fois; le vers 5 et le vers 8 "tout à un coup je ris et je larmoie" et "tout e, un coup je sèche et je verdoie"; et enfin au vers 2 et 4 qui comporte un " j' " à l'entame. Louise Labé utilise

Jean Moulin..."), le procédé a fait ses preuves. Il s’agit de donner du rythme au texte en martelant et en scandant la même expression. Sur ce plan là, c’était réussi hier soir. L’anaphore hollandienne était une bonne idée. D’autant que la figure de style assure, par la technique de la reprise, la continuité et la cohérence d’un discours. Elle a certainement joué dans l’image qui se dégage du débat : celle d’un candidat de gauche qui a « présidé » l’entretien. Mais à partir de combien de répétitions

fuite du temps. Les métaphores convergent toutes vers l'idée d'un bonheur parfait. Le champ lexical du voyage se développe à partir de la deuxième strophe, à travers les termes « … » Ce texte traite de l'esclavage. un procédé ou une figure de style des procédés un champ lexical un texte traite de, repose sur l'idée que, Ce texte met en scène un maître et son développe l'idée que, met en valet. scène, offre, présente un enjeu / un Ce texte offre un double enjeu. intérêt … est structuré

critiquer des idées ? À chaque registre correspondent des formes d’écriture particulières. Par exemple, si vous devez faire l’éloge de quelqu’un, il convient d’utiliser un vocabulaire propre à la louange, une ponctuation expressive, des figures de style appropriées, etc. Parfois, des registres différents peuvent être utilisés dans un même texte. Il faut aussi ne pas oublier les textes de votre corpus pour écrire votre texte. Lisez-les très attentivement car ils peuvent vous servir d’illustration

exemple ici : « il s’était arrêté à la gare la plus proche d’Oran, incapable de pousser plus loin l’aventure », une hyperbole à vocation ironique en employant le mot « l’aventure » pour parler d’un voyage en train du vieillard. Par cette figure de style, il souligne le caractère excessif du vieillard en ajoutant une touche d’humour. Le terme « station debout » apporte également un côté absurde au vieil homme et rejoint ainsi l’idée précédente. Le vieillard a choisi de rester dans son lit « avait

   - construction du texte, structure, plan. Sens ?    - temps des verbes + valeurs des temps.    - syntaxe : construction des phrases (longueur, forme, type...)    - lexique : champ lexical dominant → thèmes dominants du texte.    - figures de style → registre du texte. II- Définir la problématique et organiser le plan (30 minutes) Etape 4 : problématique : définir une question. Interrogation générale → singularité du texte ? 2 ou 3 idées essentielles qui se rencontrent dans le texte et pour

: En particulier les trois portraits du lépreux : P 97 : « Il était enveloppé d’une toile…majesté de roi. » P 98 : « Quand ils furent arrivés dans la cahute…et nauséabonde. » P 100 : « Alors le lépreux…dans le ciel. » 1) Stylistique Une figure de style : la comparaison. Objectifs particuliers : • Apprendre ce que sont le comparé, le comparant, l’outil de comparaison et rechercher le point commun entre le comparé et le comparant. • Repérer la thématique des comparants : phénomènes cosmiques, naturels

our le commentaire de la fable… Une fable égayée Une scène de farce : du vers 8 au vers 17, la mise en scène est très théâtrale. Le lexique : « carrefours », « soufflet », « criant », « argent », « vendait », « achat » → une place de marché animée. La thématique lexicale de la farce : « grimaces », « soufflet », « crédules », « dupes ». Les figures de la répétition : les imparfaits à valeur itérative « on essuyait », « on avait », « s’en fâchaient » suggèrent une série

sous-entendus (implicite) Enchevêtrement de mots auxquels on donne un ordre Figures de style : comparaisons métaphores, personnifications… Expression des sentiments Le poème, c’est un grand journal intime de phrases 3ème Un poème, c’est des strophes, des vers et des rimes C’est la description d’un paysage, d’un être Le poème raconte une histoire Le poète suggère au lecteur qui interprète Jeux d’images (figures de style) Libération des idées, des souvenirs, évasion de l’esprit Douce musique, comme

). L'absence de toute autre motivation personnelle est soulignée par la répétition des négations, à la strophe 1 ( « ni » ). Le courage quant à lui est souligné par le vers : « La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans » Quelle figure de style repérez-vous dans la dernière strophe ? Quelle peut être sa fonction, son rôle ? La dernière strophe présente l'anaphore du terme « Vingt et Trois ». Le terme est martelé, comme pour mieux s'ancrer dans la mémoire et le souvenir. On peut aussi hasarder