Style D Ecriture De Stendhal

LE STYLE, Christine Noille-Clauzade * Cicéron, genèse des trois registres. Simple, médiocre, sublime. Travail des figures pour chaque registre. Médiocre comme mixe de sublime et de simple, son éloquence est « telle qu’on la rapporte de l’école des philosophes ». Simple : « finesse et connaissance du monde qui annonce un sage. » Sublime comme pouvoir de fascination sur les peuples. Registres = genera dicendi = façons de dire. Trois voies d’accès : sage du citoy en, du sophiste et du politique

Stendhal et Flaubert a) L’anecdote (5min) Marghescou propose une réflexion sur la littérature dans son essai Le concept de littérature (1974). Il part d’un modeste fait divers : Hier, sur la Nationale 7, une automobile roulant à cent à l’heure s’est jetée sur un platane. Ses quatre occupants ont été tués. Et montre que ce dernier peut être transformé en un texte littéraire : Hier, sur la Nationale 7, une automobile roulant

également d’autres critères. Le lecteur d’un bon roman cherche à s’identifier au héros afin de se divertir. En effet, il est important pour celui-ci de pouvoir s’identifier au héros pour vivre pleinement le récit. Ainsi, comme dans le roman de Stendhal : La Chartreuse de Parme, le lecteur attend de l’action et un héros au cœur du récit qui brave les dangers afin de retrouver sa bien aimée. Par ailleurs, le lecteur recherche l’exotisme que peut lui apporter le héros à travers ses aventures, ses

réalisme Terme « réalisme » nait en art, années 1850, peintre Courbet et romancier Champfleury. Mais le mot est appliqué aux deux grands romanciers de la génération précédente : Balzac et Stendhal. Le réalisme sous la Monarchie de Juillet Années 1830 : forte tendance « réaliste ». Originalité de Balzac, Stendhal ou George Sand : faire naître leurs intrigues des bouleversements issus de la Révolution française et de tenter de décrypter les nouvelles « espèces » sociales qui sont apparues. L’urbanisation

Le réalisme : Introduction : Définition réalisme: mouvement littéraire, principalement Romanesque, de la seconde moitié du 19ème siècle, dont les précurseurs chez les romantiques furent Balzac et Stendhal. Le “maître” du mouvement, Flaubert, prône le “faire beau” à travers le “faire vrai”. Pour peindre la réalité dans ses composantes sociales, psychologiques et historiques, le romancier s’aide du renfort de l’enquête et de la documentation Tout d’abord, nous allons vous présenter le réalisme

(dans Mensonge romantique et vérité romanesque) à travers la passion qu’il va croire nourrir pour Mathilde de La Mole, une noble courtisée par d’autres, mieux nés que lui, bref, la proie la plus difficile et donc la plus gratifiante. L’ironie de Stendhal est délicieuse pour expliquer la naissance de cette fausse passion qui conduira à de vraies larmes : “Il excitait son imagination plus qu’il n’était emporté par son amour. C’était après s’être perdu en rêveries sur l’élégance de la taille de Mlle

Envoyé par Myvin. L’autobiographie : écriture de soi et sincérité (Jean Philippe Miraux, coll 128) sommaire de l’ouvrage introduction I définition et historique la question des catégories  philosophie de l’autobio  les limites du genres  Jean Starobinski et le style de l’autobiographie  Les différents pactes : le pacte autobio, le pacte référentiel, le pacte de lecture la question des origines  développement de l’individualisme  le rôle de l’humanisme et des lumières II

auparavant comme la base de toute fiction, s'estompent au second plan, avec des orientations différentes pour chaque auteur, voire pour chaque livre. Jean Ricardou le définit ainsi « le roman n'est plus l'écriture d'une aventure, mais l'aventure d'une écriture. » La nouvelle fiction : Les romanciers français se réclamant de ce mouvement littéraire sont principalement Frédérick Tristan (prix Goncourt 1983), Jean Levi, Marc Petit, François Coupry, Hubert Haddad, Francis Berthelot et Georges-Olivier Châteaureynaud

Balzac, Stendhal... et dans la peinture avec Gustave Courbet, Jean-François Millet (dont on parlera ultérieurement) II- Les principes • Décrire le réel, Il ne s’agit pas de copier la réalité mais de la représenter de façon signifiante.• Faire preuve d'objectivité tout en laissant la place à l'imagination et à la sensibilité. Ainsi, chaque écrivain décrit le réel conformément à sa perception du monde • Se baser sur une documentation approfondie • « Faire vrai », par les moyens d'une écriture réaliste

Auteurs et œuvres[modifier] · Stendhal[->0], un père du Réalisme. Honoré de Balzac, un père du Réalisme avec La Femme de trente ans[->1], du Réalisme social avec Splendeurs et misères des courtisanes[->2], Eugénie Grandet[->3] et César Birotteau[->4]. Gustave Flaubert, il a renié le titre de chef de file du Réalisme car il ne se considère pas comme réaliste. Jules Champfleury (Le Réalisme en 13 points). Émile Zola : Au Bonheur des Dames[->5] et Le Roman expérimental[->6]. Guy de Maupassant