Style De Direction Et Type D Organisation Concerné

SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS » Introduction La sociologie des organisations a connu un développement tardif en France contrairement aux Etats-Unis. Son essor est lié à Michel CROZIER qui fonde au début des années 60, le Centre de Sociologie des Organisations (CSO) et forme, pendant une trentaine d'années, de nombreux chercheurs et des futurs consultants et professionnels des ressources humaines. CROZIER a importé en France les travaux américains de sociologie des organisations. Le but de

qui décrit la manière dont un responsable exerce son pouvoir sur un groupe. Il s’agit bien de la façon de commander, d’exercer l’autorité. Plusieurs intellectuels mettent en place des théories s’appuyant sur l’importance de l’individu dans une organisation de travail dans l’entreprise. Tandis que l’organisation du travail constitue d’un  ensemble d'éléments qui interagissent afin d'améliorer l'efficacité du personnel et de remplir les objectifs d'une entreprise. Dans cette brève introduction, on

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 III – La pratique du management au sein de l’entreprise: un vecteur de pouvoir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 A) Un pouvoir de type pastoral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 B) Une proposition d'enseignement du management qui éviterait les dérives actuelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

LE LEADERSHIP AU SEIN DES ORGANISATIONS : UN REGARD D’AMÉRIQUE1 GUY PELLETIER UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Les études sur l’art de diriger sont nombreuses, diversifiées et la notion de leadership s’inscrit dans cette mouvance. Apparue au siècle dernier, dans les franges de la révolution industrielle et de la constitution de ces nouvelles organisations du travail qui marqueront le XXe siècle, le leadership est associé à la position du leader mais seulement de celui qui est jugé « démocratique ». Cette

Chapitre 1 : La direction de l’organisation Diriger une organisation c’est exercer un pouvoir de décision, la décision entre plusieurs solutions possible pour apporter une réponse satisfaisante à une situation donnée. Décision et processus de décision Niveau de décision Niveau responsabilité Horizon économique Domaine concerné Décisions stratégiques ou politiques Direction générale Long terme Toute l’organisation (objectifs globaux etc..) Décisions tactiques ou logistiques Fonction

Introduction I-les Ecoles traditionnelles de la théorie des organisations : 1) L'Ecole classique 1-1) Le Taylorisme et le management scientifique 1-2) Le courant administratif de Fayol 1-3) La bureaucratie Weberienne 1-4) Etude critique de l'Ecole classique 2) L'Ecole des relations humaines 2-1) E.Mayo : Relations sociales au sein du groupe 2-2) Maslow et la hiérarchie des besoins 2-3) La théorie des deux facteurs de Herzberg 2-4) Douglas MC GREGOR : la théorie X Y 2-5) Les travaux de

| Vocabulaire | Cellule, système Motivation, besoins | Domaines influencés | Gestion des ressources humaines Organisation, markéting | Cerveau Image essentiel | Une organisation intelligente qui traite l’information | Auteurs | H. Simon (1950) | Métaphore | Cybernétique | Vocabulaire | Auto-organisation, connexion. Complexité et connaissances | Domaines influencés | Informatique, systèmes d’information. « Télé-entreprise »

dirigeante qui assure la prise de décision et en contrôle l’application et les résultats. La direction de l’organisation, assurée par les manageurs, ne peut pas se réaliser sans un pouvoir reconnu et avec un style de direction propre à la spécificité de l’organisation. Le management est spécifique à l’organisation dans laquelle il se réalise. La diversité des dirigeants reflète la diversité des organisations. L’artisan boulanger fait du management (sans le savoir et sans formation), comme le PDG d’un

les fondements du management doivent suivre pour un souci de compétitivité. Les structures mises en œuvre par la direction, doivent faciliter la flexibilité de l’organisation et la réactivité des salariés en tant qu’individu et en tant que groupe. Ces deux axes représentent un préalable pour assurer la veille stratégique de toute entité économique. Mais dans toute entreprise, le style de management suivi est le principal catalyseur de la motivation et de l’implication de ses salariés. Le temps

constituent le fer de lance de l’économie en Afrique, aussi leur gestion doit elle être rigoureuse, dynamique et conquérante. Dans cette optique, la GRH constitue l’un des nombreux défis que doit relever le dirigeant d’une PME dans la conduite de son organisation (Holliday, 1995). Au cours des dernières années, on a pu noter parmi les chercheurs des pays industrialisés, une tentative claire à la reconnaissance d’une gestion des RH dans les PME[1]. Dans l’entreprise africaine cependant, l’accent est surtout