Succession apostolique

I – Le pouvoir royal A / L'absolutisme de droit divin selon Bossuet "Politique tirée des propres paroles de l'Ecriture Sainte", Bossuet 1675 B / L'impossibilité de modifier les Lois fondamentales Arrêt du Conseil de régence concernant la succession de la couronne, juillet 1717 C / Les prétentions politiques des Cours souveraines Extrait du discours du chancelier Maupeou sur le droit de remontrance des cours souveraines (décembre 1770) Extraits de la séance dite de la "flagellation", 3 mars

la même manière. Le testament c’est un acte unilatéral par lequel un homme sentant sa mort prochaine entend se mettre en paix avec Dieu et dans un but répartie avec équité son bien terrestre. Le testament est régit par le droit canonique et les successions sont toutes entières régit par des règles canoniques et c’est la raison pour laquelle des tas de règles diffèrent mais où le mariage s’opère de la même manière. On va distinguer dans deux chapitres les sources du droit profane et les sources du

l’action de Dieu envers ceux qui le reconnaissent et le craignent. Ces écrits sont le plus souvent faits par des écclèiastiques. Ils sont concis et portés dans les registres paroissiaux. D’autres sources sont les déclarations devant un notaire apostolique ou royal. Il existe aussi des livres des morts nés où l’on consigne la motivation des parents : il indique leur nom, leur domicile, les personnes qui apportent le corps et ont été témoins du miracle. Il précise aussi les conditions d’exposition

sacerdotale, il peut donner les sacrements aux fidèles et notamment dire la messe. Au sein du diocèse c'est l'évêque qui nomme le Clergé. Il y a en France un concordat = accord entre le Vatican et le reste. Le roi nomme évêque et le pape donne son mandat apostolique (autorisation). b. Fonction du Clergé. c'est le service du culte : - 7 sacrements = baptême, eucharistie, confirmation, la pénitence, mariage, extrême onction et l'ordre (l'ordination). - les funérailles. La tenue de l'état civil : c'est

roi en criant toujours « fiat ». En revanche, au 18ème ce moment et moins important : l’élection est alors silencieuse. Le cérémonial n’a pas changé, mais cette idée est devenue secondaire. En aucun cas l’élection n’interfère sur les règles de successions. B. LES ONCTIONS Le roi change d’habits, il revêt vêtements liturgiques : la dalmatique symbolise l’abandon par le roi de son état laïque. Le roi, évêque du dehors, acquiert ce statut à part grâce aux onctions : il n’est plus un simple

Liégeois bénédictin, ami de Bernard qui deviendra cistercien. * Apologie du choix monastique, voie spirituelle par excellence. * L’idéal monastique ne doit pas être altéré : solitude, désert, pauvreté, ascèse… * Idéal évangélique et apostolique. * Contre le relâchement de Cluny. L’ordre de Cluny n’est pas en question. Ce sont les hommes qui le composent qui posent problème : excès, turpitude dans les vêtements, les repas et le silence. L’ordre devrait exclure le désordre. * Retour

présent à l'esprit que Jésus-Christ a voulu que l'efficacité de notre action pour entraîner vers Lui ceux qui nous entourent, dépende d'ordinaire de notre vie intérieure. Jésus-Christ a mis la sainteté comme condition de l'efficacité de l'activité apostolique; ou plutôt Il a mis comme condition l'effort de notre fidélité, car, sur terre, nous ne serons jamais saints. Cela semble incroyable, mais Dieu et les hommes attendent de nous une fidélité sans palliatifs, sans euphémismes, qui aille jusqu'à ses

Mattieu 19.6 « Ils ne sont plus 2 mais une seule chair. Que l’Homme donc ne sépare pas ce que dieu à uni ». La sanctification des unions mixtes. Premier épitre aux corinthiens 7.12.14 Premier épitre a Timothée 2.11.15 Les textes pseudo-apostoliques 3 Principalement : La didaché (= doctrine des 12 apôtres) : l’intégralité de ce texte a été découvert en 1873 à Constantinople. Il est question de discipline religieuse, de liturgie et quelques règles précisant la façon dont il faut accomplir

violemment en apprenant l’outrage fait à Louise Strozzi par Salviati, qui renforce encore la haine de la famille républicaine des Strozzi contre le tyran qu’est Alexandre. Scène 2 : Le lendemain matin (ou plusieurs jours après?), le commisaire apostolique Valori et Lorenzo interrogent le jeune peintre Tebaldeo, et constatent que le patriotisme républicain des Florentins n'est pas mort. Lorenzo invite Tebaldeo à exécuter pour lui, le lendemain, un portrait. Scène 3 : Le soir (ou plus tard), chez

lié. - l’inventaire détaillé du fief devant le vassal 40jours plus tard: la montrée (oral et désignation du doigt), puis aveu et dénombrement (au XIIIème, inventaire écrit où le vassal reconnait son fief pour éviter toute contestation). Seule la succession de cet ensemble assure la validité du rite. La relation ainsi contractée entraîne des obligations réciproques: contrat synallagmatique. è Les devoirs du seigneur: Il doit essentiellement 2 choses: protection et entretien. - Entretien: il doit