Suffit T Il De Faire Son Devoir Pour Etre Moral

Sujet : Peut-il être juste de désobéir aux lois ? Il est juste de donner à tout le monde se que toutes personnes doit avoir. Tout êtres humains se doit de respecter la justice qui dépend des droits qui leurs a été accordés, qui dépend eux-même de la loi. Il existe la loi morale et la loi juridique. La loi morale, c'est des devoirs inconditionnels qui émanent le peuple. La loi juridique, c'est ce qui visent à faire exister les différentes libertés, malgré leurs limitations. Une loi est universelle

et de la conscience du V .°. M .°. que vous présentez ? Etes vous certain qu’il sera discret, obéissant et fidèle ?» - Au moment du serment qui dit : « Je promets de rester fidèle jusqu’à la mort à tous mes devoirs envers l’humanité, ma famille, mes FF .°. et mes SS .°. et de ne jamais faire défaut en cas de détresse, nécessité, danger ou persécution . » Fidélité : le mot recouvre une valeur pour le moins désuète, fait référence à un concept largement relégué dans le tiroir aux oubliettes.

accorder un droit de mentir Philosophie : Peut-on accorder un droit de mentir ? Qu’est ce qu’un droit ? → “Autorisation, permission, liberté”. → “Qu’on peut faire en toute légalité” = Protégé, garantie par la loi. 2 types de lois : - Morale : Ma conduite est légitime. - Sociale : Agir en toute légalité. Autre signification, nuance : Parfois on dira “être dans son droit”. Souvent, ça donne une autre connotation, on est plutôt dans la revendication. Qu’est-ce qu’un mensonge, qu’est-ce que “mentir” ? → Contraire

Activités de transformation ou production : cadre industriel, intervention de machine, de salarié Activités de services : Banques, courtier, immobilier, entreprise de transport, loisir, entreprise de spectacle Il faut le faire dans le cadre d’une profession habituelle. Cela doit être fait à titre professionnel. Ca indique que l’on en tire des revenus suffisants. C’est fait à son nom et pour son compte (subit les pertes et en tire les bénéfices directement) 2) Distinction avec l’activité artisanale

Une édition électronique réalisée à partir d'un texte d’Émile Durkheim (1911), « Débat sur l’éducation sexuelle. » Extrait du Bulletin de la Société française de philosophie, 11, 1911, pp. 33 à 47. Reproduit in Émile Durkheim, Textes. 2. Religion, morale, anomie, pp. 241 à 251. Paris: Éditions de Minuit, 1975, 508 pp. Collection: Le sens commun. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page :

L A L I B E R T É A - Définition de la liberté I - Liberté et déterminisme De nombreuses expressions populaires proposent des modèles de liberté tirés de la nature. Ainsi pourra-t-on entendre dire qu'on aimerait être libre comme un animal, ou libre comme le vent ou l'air. Sont donc proposés ici des symboles naturels de la liberté : - l'animal, supposé représenter la liberté de par l'absence de contraintes sociales dans le déroulement de sa vie, la spontanéité de son action, et la simplicité

juridiques. - Les juristes, quant à eux, tendent à donner un caractère à la règle de droit (religieuse, morale...). exemple 1 : une épouse pourra-t-elle s'opposer au divorce au motif qu'elle est catholique ? Car lui pourra, mais elle non. exemple 2 : Engage-t-on sa responsabilité lorsqu'on ne se rend pas à un rendez-vous ? exemple 3 : Lorsque l'on promet sur son honneur à faire quelque chose, s'engage-t-on juridiquement ? Plusieurs théories du droit s'affrontent. Nous avons pour tradition

Alexia Devoir de philosophie ACCOMPLIR TOUS CES DESIRS EST-CE UNE BONNE REGLE DE VIE ? Désirer est un sentiment commun à tous, se distinguant du besoin en étant temporel, sans limite et pouvant se déplacer d’objet en objet. Le besoin est nécessaire, le désir quant à lui est contingent. Le cœur pourrait être vu comme un besoin et acheter une paire de talons de marque un désir. Sans le cœur on ne peut vivre, sans la paire de talons, il est possible de marcher, de se déplacer, mais l’idée de

FAMILLE INTRODUCTION La notion de famille Chacun connaît intuitivement le contenu de la notion de famille et pourtant celle-ci demeure particulièrement floue. Très approximativement, on peut la définir comme un groupe de personnes qui peuvent être liées par un fait biologique, un acte juridique ou un comportement social. La difficulté vient du fait que la notion est plurielle : il n’existe pas une mais des familles qui varient selon le temps, le lieu, les individus concernés ou encore les questions

c’est-à-dire les faits d’après ce qui doit être, c’est-à-dire les valeurs. En ce sens on parle de « conscience morale ». Vous voyez donc que la notion de conscience implique deux grands sens qui sont intimement liés : la conscience psychologique ou perceptive et la conscience morale ou évaluative.   La conscience psychologique est la faculté d’être présent à soi et au monde, elle porte sur des faits. Et la conscience morale est la faculté de juger de ce qui doit être, elle porte sur des valeurs.   Alors