Suicide Philosophique

Les œuvres philosophiques, Dans le Mythe de Sisyphe (1942) il se pose des questions qui ont comme point de départ le rapport avec la mort. Son premier essai s’œuvre donc sur le problème du suicide. Puisque sa philosophie est morale, Camus cherche des solutions spirituelles et métaphysiques qui remettent en question « les fondements des choses et des valeurs ». Dans Le Mythe de Sisyphe il affirme dès le début : « Il n’y a qu’un seul problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger si

Auparavant : D'un point de vue étymologique, le mot « secte » vient du latin secta, qui veut dire une voie que l'on suit, un parti, une cause. Le mot secte a d'abord désigné : - soit un ensemble d'individus partageant une même doctrine philosophique ou religieuse - soit un groupe plus ou moins important de fidèles qui se sont détachés de l'enseignement officiel d'une Église et qui ont créé leur propre doctrine. Le mot doctrine définit une croyance, une idéologie, une opinion, une pensée

I- Le non-sens de la vie La vie vaut-elle d'être vécue ? Pour la plupart des hommes, vivre se ramène à « faire les gestes que l'habitude commande ». Mais le suicide soulève la question fondamentale du sens de la vie : « Mourir volontairement suppose qu'on a reconnu, même instinctivement, le caractère dérisoire de cette habitude, l'absence de toute raison profonde de vivre, le caractère insensé de cette agitation quotidienne et l'inutilité de la souffrance ». A. Le sentiment de l'absurde. Pareille

vivante et optimiste. L’homme est condamné mais sa supériorité vient de ce qu’il sait et connaît son destin. Pour Camus, le seul vrai problème est, comme il le dit dès la première ligne de son œuvre : « Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. » Et cela, cette phrase qui tombe comme un couperet est un de celles, marquantes, du livre : « Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie. » L’homme

Accueil Philosophie » Camus » Le Mythe de Sisyphe par Camus Le Mythe de Sisyphe par Camus mythe Sisyphe Suicide et Philosophie : Le Mythe de Sisyphe et la philosophie de l’absurde Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide Selon Camus, le suicide est un signe de manque de force face au “rien”. Car même si la vie est une aventure sans signification absolue, elle toujours vaut la peine. Comme il n’y a rien d’autre que la vie elle-même, la vie devrait être vécue

absurde Dans cette première partie, Camus va essentiellement évoquer la question du suicide. De fait, c’est pour lui la seule question philosophique qui tienne. a. L’absurde et le suicide - «La vie vaut-elle la peine d’être vécue?» - Pourquoi se donne-t-on la mort? - Suicide: rapport à la pensée individuelle => phénomène social - Element déclencheur (goutte d’eau qui fait déborder le vase) => suicide - Suicide = constat d’échec - Refuser un sens à la vie ≠ La vie ne mérite pas d’être vécue b.

.............................................................................................2 L’absurde et le suicide........................................................................................................... 2 Les murs absurdes................................................................................................................. 2 Le suicide philosophique....................................................................................................... 3 La liberté

révolte, la liberté, la passion qui, sous la plume de Camus, ont une résonance particulière. Le non-sens de la vie La vie vaut-elle d'être vécue ? Pour la plupart des hommes, vivre se ramène à « faire les gestes que l'habitude commande ». Mais le suicide soulève la question fondamentale du sens de la vie : « Mourir volontairement suppose qu'on a reconnu, même instinctivement, le caractère dérisoire de cette habitude, l'abscence de toute raison profonde de vivre, le caractère insensé de cette agitation

qualifie une tâche interminable et ardue, qu'il faut toujours recommencer sans jamais en voir la fin ou l’aboutissement. Le mythe de Sisyphe est le premier essai philosophique d’Albert Camus, publié en 1942. Il fait partie du « Cycle de l'absurde », dont nous parlerons en deuxième partie. La notion d’absurde et le rapport entre l’absurde et le suicide forment le sujet de cet essai.  Une fois reconnu le divorce entre son désir raisonnable de compréhension et de bonheur et le silence du monde, l’homme peut-il

pour sortir de l’absurde : Dieu, la religion. C’est comme un refuge. * Mais Camus REFUSE cette voie car pour lui il est impossible de connaitre Dieu, ce n’est pas concret. * La deuxième solution : Le suicide. «  Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux, c’est le suicide ». Mythe de Sisyphe. * Camus REFUSE cette idée car ça ne fait que fuir le problème. Si la vie n’a pas de sens, la mort n’a pas de sens non plus. * Troisième solution (Mythe de Sisyphe) : prendre conscience