Suite récurrente linéaire

et seulement si, ∀x ∈ F, x S et ∀c < S, ∃x ∈ F, c < x. – Toute partie non vide de N admet un plus petit élément. – Toute partie non vide et majorée de N admet un plus grand élément. – Le principe de descente infinie de Fermat : il n’existe pas de suite de N strictement décroissante. – L’axiome d’Archimède : ∀a, b ∈ N∗ , ∃n ∈ N∗ , na > b. Savoir-faire – Identifier la méthode de raisonnement la plus appropriée à utiliser (syllogisme, double implication, contraposée, absurde, récurrence – faible, forte

. . . . . . . . . Propriété de Markov forte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Décomposition d'une trajectoire selon les retours successifs en un point Action sur les mesures, action sur les fonctions : le noyau comme opérateur linéaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.7 Extensions de la notion de chaîne de Markov . . . . . . . . . . . . . 1.7.1 Chaîne de Markov en temps discret et espace quelconque . . . 1.7.2 Chaîne de Markov en temps continu et espace

continuité entre les figures mythologiques, biblique et les êtres vivants les plus frustres, l’artichaut et l’huître à écailles, cousins du chou dont le démon de Socrate fera l’éloge paradoxal dans Les Etats et Empires de la Lune. Ce trajet n’est pas linéaire, mais il se construit comme un vagabondage qui rebondit sur les paradoxes autant que sur les continuités : il oppose la « ladrerie » comme défaut proprement humain contre l’hypothèse de la « plante sensitive », de sorte que dans l’ordre des choses

Lecture linéaire 15Intro : auteur + pièce + contexteSituation du passage : rappeler le quiproquo qui précède cet échange (Angélique pensait que son père lui proposait d’épouser Cléante, mais en fait lui il parlait de Thomas Diafoirus)+ rappeler qui sont les 2 personnages, leur relation, et leurs positions respectives vis-à-vis d’Angélique et de son mariage. Toinette est contre la proposition d’Argan, elle s’oppose directement à lui et très souvent chez Molière, les servantes et servantes sont dans

Le mouvement de ce texte se compose de trois parties :1/L. Argan tyrannique Louison.2/L. Louison recourt à une ruse pour échapper aux coups. 3/L. Louison décrit à Argan le rendez-vous galant entre Angélique et Cléante.Lecture linéaire 1/ Argan demande à Louison de lui faire le rapport de ce qu’elle a vu dans la maison : « Et n’avez-vous rien vu aujourd’hui ? » L’adverbe temporel « aujourd’hui » suggère qu’une telle demande est quotidienne. Ce père paranoiaque, tyrannique et méfiant

remarquables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 4 Théorème de convergence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135 5 Suites récurrentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 9 Limites et fonctions continues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 1 Notions de fonction . . .

commerciales (Noël, Saint-Valentin…) en créant des rayons visuellement attractifs et nous renouvelons régulièrement la vitrine afin d’y exposer les nouveautés et ainsi susciter l’intérêt. Un marchandisage d’organisation est mis en place au niveau des linéaires qui regroupent les différents univers. Nous proposons une carte de fidélité non-nominative qui permet de bénéficier de 20% de réduction sur le 6ème achat effectué. 2.6. L’environnement et la clientèle : Nous admettons que la zone de chalandise

variables économiques ne reproduisent que de loin cette perfection mathématique. Aussi, les termes de « fluctuations » ou « d’oscillations » sont-ils fréquemment utilisés, la dénomination de cycle mettant plutôt en évidence l’idée de mouvements récurrents et réguliers de l’activité. Cependant, dans l’utilisation économique actuelle du terme « cycle » apparaît une composante supplémentaire par rapport aux vocable « fluctuations » : celle de la persistance. Il n’est sans doute pas exagéré de dire

. . . . . . . . . . . . . . . . 6.5 Solutions des exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . Suites réelles 7.1 Notions de base sur les suites . . . . 7.1.1 Langage des suites . . . . . 7.1.2 Sens de variation des suites . 7.1.3 Borne(s) d’une suite . . . . 7.1.4 Opérations sur les suites . . 7.2 Suites usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

• Régression linéaire simple 20.1 20.2 20.3 20.4 20.5 Introduction Mesures de liaison Choix des variables Modèle théorique de la régression simple Ajustement du modèle de régression linéaire sur des données expérimentales 20.6 Étude de la régression linéaire (aspects descriptifs) 20.7 Étude de la régression linéaire (aspects inférentiels) 20.8 Étude d’une valeur prévisionnelle 20.9 Conclusions 352 352 353 354 355 357 359 363 371 375 21 • Régression multiple. Modèle linéaire général 21.1