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1 - Le sujet ♦ Psychologique : Le sujet est celui qui peut se soumettre à lui même des questions. Le sujet se prend lui même pour sujet de réflexion « je pense donc je suis ». Il est le sujet de sa propre réflexion. Le sujet est une pensée capable de se penser plus tout ce qui permet d'avoir cette pensée. René Descartes est un sujet pensant. Freud parle de sujet, il entend le corps en même temps que l'esprit. On a le problème de l'unité du sujet. ♦ Métaphysique de l'esprit : D'après Descartes

) le cogito cartésien Je pense donc je suis le monde extérieur est douteux mais moi, je suis certain de me connaître tel que je suis grâce à ma conscience; cf. malin génie. II- Soit Hume, soit Kant : ainsi, peut-être ne suis-je pas exactement tel que je m'apparais à moi-même à travers ma conscience? Qui nous dit que la conscience bénéficie d'une telle immunité? Il faudrait alors que la conscience soit pure intériorité, ie, que je puisse discerner totalement "avoir conscience de soi" et "du

un sujet, nous interroger et donc réfléchir d'une manière plus poussée. A l'inverse si on lit des livres où les auteurs partagent notre point de vue alors on peut se conforter dans son opinion. Descartes écrivit la très célèbre phrase "cogito ergo sum" (je pense donc je suis). Le livre , qui forme notre pensée, nous fais donc devenir des êtres dôtés d'une intelligence supérieur en quelques sortes. Lire développe aussi nos opinions, qui peuvent s'avérer après la lecture différente de celle que

LE SUJET, Cours Philosophie. * La Conscience Elle permet de juger et de prendre connaissance de nos actes, actions paroles : « Bonne conscience » = morale. « Avoir conscience de… » = idée de connaissance. *la prise de conscience de soie Quand un enfant dit « Je », il prend conscience de lui-même. L’Homme se représente à lui-même, il constate et juge. Conscience spontanée : Il se rapporte immédiatement au monde, au réel il se « sent ». « Je pense donc je suis » Conscience Réfléchie :

l’entoure, et il ne pourrait pas progresser dans la société dans laquelle il vit. En effet, si l’on doute de tout, on a qu’une seule et unique certitude qui ne nous quittera jamais, je suis, j’existe car j’ai des pensées et même un corps : « cogito ergo sum ». Douter de tout, absolument tout, correspondrait à une condamnation de l’homme à ne jamais savoir, une condamnation a laquelle il ne pourrait échapper et qui le poursuivrait toute sa vie. La vie de l’homme n’aurait alors plus aucun sens. Cela suppose

morale est la faculté de juger ou de se représenter la valeur morale de nos actes. La conscience suppose l’usage du « je » par lequel l’homme se découvre lui-même et agit volontairement sur le monde. L’homme pense et sait qu’il pense. Le « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») de Descartes est une certitude indubitable. La conscience surgit lorsque l’enfant dit et pense « je » pour la première fois, c’est un changement radical. Ce surgissement le sépare à jamais du monde mais cette rupture va

Propre de l’Homme. Concept qui apparaît chez Descartes au XVIIème. Il découvre que l’on peut douter de tout, car nos connaissances viennent avant tout de nos sens qui nous trompent. Seule chose certaine => Je continue à penser. « Cogito ergo sum ». Opposition de la part de Descartes => Substance étendue, res extensa et Substance pensante, res cogitans. C'est-à-dire la pensée. Séparation de corps et de l’esprit. De la matière et de l’esprit. Conscience en question. NIETZSCHE : conscience

sens des termes. "Je" : notion de sujet (pensant); désigne l'homme en tant que connaissant. "Etre"; "suis" : exister (être en général : réalité) "conscience" : esprit qui connaît par opposition aux choses à connaître; on peut définir les différents niveaux de la conscience : conscience immédiate; réfléchie (se saisir comme sujet pensant, comme conscience; cf; introspection, faculté de rentrer à l'intérieur de soi pour se connaître). Sorte de savoir immédiat. Mais ici, il s'agit de la conscience

Descartes est un philosophe Français. C’est l’auteur de référence qui cherche à découvrir la possibilité d’une vérité absolument certaine et met le sujet au centre de toutes réflexions. Le Cogito de Descartes «  Je pense donc je suis » est tout simplement l’affirmation que je suis en toute certitude une chose qui pense, un sujet doué de conscience. Quoi que je pense je ne peux nier que je pense, et donc j’existe au moment même où je pense. Méditations métaphysique est une réponse à Gassendi qui

par étudier la complexité de la connaissance de soi comme des choses. 1- ce qui est proche de nous n'est pas forcément mieux connu Réf: Descartes dans le discours de la méthode et méditations métaphysiques dans lequel il disait: “cogito ergo sum" Kant dans critique de la raison pure:" je n'ai donc aucune connaissance de moi tel que je sui, mais je me connais tel que je m'apparais a moi-même. La conscience de soi-même n'est donc pas encore, il s'en faut, une connaissance de soi -même" 2-