Sur Quel Monopole Repose Le Pouvoir D Etat

générale : Première partie : Théorie générale du pouvoir Le terme « pouvoir » vient du latin potestas qui signifie la capacité à agir. C’est donc l’aptitude d’une personne ; d’un groupe de personne ; d’une institution à exercer une compétence. Cette notion de pouvoir renvoit à la notion de puissance c’est-à-dire que ce que l’on appelle pouvoir politique renvoit à une dialectique, celle du commandement et de l’obéissance : en effet le pouvoir quel qu’il soit fait toujours allusion à cette capacité

~ Péjoratif (Attention à l’amalgame !) 2.3 Politique pour la science politique POLITIQUE Tout ce qui se rapporte au POUVOIR ! (sans aucune connotation positive ou négative) POUVOIR = Tout (sous diverses formes) ce qui assure un ordre commun des conduites dans une société 3. LES ACTEURS POLITIQUES |POUVOIR |TYPE D’ACTEURS |CATEGORIE MACRO | |Occupation

contemporain détient le monopole de la violence légitime : Pour Max Weber ce qui définit un groupement politique est le moyen spécifique qui lui est propre : la violence physique. Cette violence fonde le groupement politique, l’Etat : « tout Etat est fondé sur la violence » disait Trotski. Sans elle il n’y aurait pas d’Etat et on tomberait dans « l’anarchie » c'est-à-dire dans un état de trouble, de désordre. De tout temps la violence physique a été considérée comme le moyen normal du pouvoir dans les groupements

définir les notions suivantes : État, Nation et Nationalisme. Il faut parler de l’État car on ne peut pas dissocier Nation et Nationalisme de la dimension étatique. Max Weber définissait l’État comme étant « une entreprise politique de caractère institutionnel dont la direction administrative revendique avec succès dans l'application de ses règlements le monopole de la contrainte physique légitime sur un territoire donné». C'est une autorité coercitive qui a le monopole de la violence légitime à l'intérieur

l'État entendu « pour le pays même qui est sous une telle domination ». En droit international, un État souverain est vu comme délimité par des frontières territoriales établies, à l'intérieur desquelles ses lois s'appliquent à une population permanente, et comme constitué d’institutions par lesquelles il exerce une autorité et un pouvoir effectif. La légitimité de cette autorité devant en principe reposer – au moins pour les États se disant démocratiques – sur la souveraineté du peuple ou de la nation

constitutionnel ( Etat ) 2) Les moyens du droit constitutionnel 3) Comment fonctionne-t-il ? ( présentation d’une typologie des régimes politique ) Chap 1 : Le cadre du droit constitutionnel. Section 1 : La notion d’Etat. L’Etat c’est une personne morale de droit public qui est territorial et souveraine. L’Etat se définie par la fusion de trois éléments. · Un pouvoir ( qui s’exerce sur : ) · Un territoire · Une population L’élément le plus important étant le pouvoir . I Un pouvoir souverain 

La distinction Etat unitaire Etat fédéral Introduction Définitions : • Distinction : « action de distinguer, de séparer des personnes ou des choses, de faire une différence entre elles » (Larousse). • Etat : Etat = « personnification juridique d’une nation : c’est le sujet et le support de l’autorité publique ». Doc. 5. Déf. Classique Etat : « conclusion historique d’une nation, qui a été une nation avant d’être un Etat, et qui, sous la forme Etat, ne cesse pas d’être une nation ». « … c’est

états faibles. Il convient de s'intéresser ici dans cet exposé à la notion de l'état. Selon le sociologue Max Weber l'état »est une organisation politique qui gouverne dans un territoire donné et capable de mobiliser les pouvoirs coercitifs afin de s'imposer. »Il possède le monopole de la violence légitime. Selon la définition de Weber, l'état a pour rôle de définir les règles du jeu pour toute els autres sphères sociales dans un territoire donné. Il s'agit d'une organisation qui est différenciée des

politique fait référence à la manière dont le pouvoir est organisé et exercé au sein d'une entité politique donnée. Cela renvoie donc à la forme institutionnelle du pouvoir mais aussi à la pratique découlant de cette forme institutionnelle. Cela dépasse l'étude constitutionnelle (qui analyse les structures formelles d'un État) mais n'est pas non plus à confondre avec l'étude des systèmes politiques (c'est-à-dire l'étude des acteurs et des actions). L'exercice du pouvoir est très important car tout en ayant

politique que nous appelons aujourd'hui « État », ou l'influence que l'on exerce sur cette direction. ». Cette première partie est donc dédiée à la définition et au mode de fonctionnement de l’Etat. A l’aide de nombreux exemples historiques, Weber va éclaircir sur un certain nombre de points cette définition, en s’intéressant à son « moyen » d’action (sa légitimité par conséquent sa domination), son monopole dans l’intervention coercitive (« l’Etat détient le monopole de la violence légitime ») ainsi qu’en