Surmoi

l’esprit humain. Selon lui, il existe trois composantes qui : le ça , le surmoi et le moi. Chacun est régi et contrôlé par différents principes. Le ça représente surtout la notion de plaisir et du désir. Ce sont nos pulsions et nos instincts primaires. Cela pourrait se traduire par exemple, retirer du plaisir en faisant mal aux autres. C’est le moi qui impose la retenue au ça et qui le persuade d’être réaliste. Finalement, le surmoi s’allie au moi afin de contrôler le ça puisque c’est le « censeur ».

La topique freudienne du ça, du moi et du surmoi : La révolution opérée par Freud est assez simple : la théorie psychanalytique consiste à détruire, à désintégrer le sujet humain, tel que Descartes puis Kant l’avaient définis, sujet défini comme être doté d’une faculté de représentation, à savoir la Conscience. La conscience dans la philosophie classique était une et unique, d’un seul bloc, sans faille. Freud introduit justement une faille au sein même du sujet humain. Freud a élaboré deux

qui se passe chez l'individus) et le préconscient (pour que certaine chose nous passe dans la conscience). Freud dis sa nous dis absolument rien de comment la personnalité s'est construit . C'est pour cela qu'il y a une deuxième topique (ça, moi, surmoi ) cette deuxième théorie vient apporter une info orthogonale. Il s'interroge bien sur comment l'individus est ce qu'il est et qu'est ce qui se passe . Ça : première instance qui caractérise l'individus, il existe ou émerge dès la naissance. Moi :

philosophes, tels que Alain, Sartre se sont opposés à la thèse freudienne de l’inconscient. Pourtant dans cette dernière, les exigences morales peuvent être comparées au surmoi freudien. Elles représentent des règles morales. Ces exigences font parties de l’éducation, le sujet est contraint de les respecter. Pour Freud, le surmoi est une intériorisation des interdits parentaux, des règles sociales. Cela laisse donc à penser que les exigences morales sont liées à l’inconscient. Pourtant la morale suppose

divisé en trois instances à savoir le ça, le moi et le surmoi. Le ça, est le lieu où se trouvent tous nos désirs, inconsciemment refoulés car ils ne sont pas conformes aux exigences morales et sociales intériorisées par le sujet(le surmoi). Le terme « ça », montre le caractère impersonnel que donne Freud à cette instance. Le moi, est le lieu où de manière inconsciente se déroule le refoulement, le médiateur entre le ça et le surmoi. Enfin, le surmoi reflète l’influence parentale et sociale en chacun

différenciation des parties de l'appareil psychique en systèmes doués de caractère et de fonction différents, et disposés dans un certain ordre. Dans la théorie psychanalytique, la topique révèle les rapports entre les 3 instances du ça, du Moi et du Surmoi, ainsi que l'ensemble des phénomènes qui s'y passent. C'est une métaphore qui permet de spatialiser les lieux psychiques. 1ère topique : Elle date de la science des rêves (accès au dossier "reve"), entre 1900 et 1915. Il y

son autonomie. Prenons l'exemple d'un enfant du point de vue freudien: la théorie veut que le conflit œdipien se résolve partiellement à la fin du stade phallique (c'est-à-dire, vers l'âge de 5 ans), avec l'élaboration progressive du Surmoi. En effet, c'est le Surmoi qui va intérioriser les règles, les interdits, les conventions sociales venus de l'extérieur, c'est-à-dire, de l'autorité parentale et de la société. La tendance « incestueuse » vis-à-vis de l'un des parents et le désir de « parricide »

monde intérieur est erronée. La seule façon de les expliquer est de les décrire isolément ou successivement, alors qu'ils interagissent ensemble de façon simultanée ce qui fait que nos raisonnements s'en trouvent imprécis et incomplets. Avant le surmoi Avant 5 ans, le moi : ce que l'on pense, ce dont on est conscient, se contente de satisfaire le ça : les désirs et les pulsions et de recueillir le maximum de perceptions du monde extérieur tout en veillant à ce que l'un et l'autre n'entrent pas

Expliquez en quoi le Surmoi est l'instance psychique la plus éloignée du Ça Le Surmoi est le censeur du Moi, il est fait des interdits parentaux, sociaux, religieux et de la morale. Il est un idéal du Moi. Le Ça, à l'inverse est le réservoir des pulsions sans aucune censure. EX : Si on passe devant un étal où il y a de jolies pommes rouges qui nous font envie, on est tenté d'en prendre une en passant mais on ne le fait pas, on peut dire que c'est grâce (ou à cause) du Surmoi qui sait qu'on ne

resurgir tout ce qui est refoulé dans sa conscience. Dans cet extrait, Freud fournit également une explication des origines des troubles psychiques qui sont enfouis dans l’inconscient. L’inconscient psychique est composé de trois instances : le ça, le surmoi et le moi. Le ça est proprement l’inconscient. Il est constitué par l’ensemble des pulsions enfouies dans l’inconscient psychique et ne pouvant jamais parvenir à l’inconscient car elles sont bloquées par la morale familiale, religieuse ou encore sociale