Surmoi

humain. Psychiatrie : partie de la médecine spécialisée dans l’étude et la guérison des maladies mentales (psychose). - Structure du psychisme : (moi ≠ ça ≠ surmoi) : Moi : instance du psychisme qui joue le rôle d’un médiateur entre le ça, le surmoi, et le monde extérieur. Surmoi : instance du psychisme qui incarne la loi et interdit sa transgression : il joue le rôle de censeur et de modèle/idéal. Ça : pôle pulsionnel de la personnalité, le

nous inculquant des règles qui sont censées profiter à notre bien-être. Ces valeurs morales, Freud les appelle le Surmoi. Le surmoi entre en contradiction avec le Ça, qui représente l’inconscient. Le Surmoi et le Ça sont en confrontation permanente dans le système psychique de l’homme. Le Ça voudrait une application maximale et sans contrainte de tous les désirs alors que le Surmoi veut une restriction quasi-totale de ceux-ci. La notion d’inconscient met donc en place une confrontation entre les

des parties de l'appareil psychique, en systèmes doués de caractère et de fonction différents, et disposés dans un certain ordre. Dans la théorie psychanalytique, la topique révèle les rapports entre les 3 instances psychiques du ça, du Moi et du Surmoi, ainsi que l'ensemble des phénomènes qui s'y passent. C'est une métaphore qui permet de spatialiser les lieux psychiques. 1ère topique : Elle date de la science des rêves, entre 1900 et 1915. Il y a alors trois systèmes, l'Inconscient

en 1920, et est complétée en 1923 On désigne les systèmes de cette topique par des instances qui vont avoir des fonctions spécifiques à l’intérieur de la personnalité. Elle décrit quatre grandes instances psychiques : * Ca  * Moi * Surmoi * Idéal du Moi Les deux dernières instances sont souvent regroupées sous le nom d’ « instances idéales ». Chacune de ces instances ne sont absolument pas superposables aux espaces précédents. En effet, certaines de ces instances peuvent être

humaine le Ça, l’instance psychique représentant le principe du plaisir pulsionnel naturel chez l’homme, est régulé par le Moi, l’instance psychique basé sur le principe de réalité afin de garder un équilibre avec la troisième instance psychique, le Surmoi, dicté par les mœurs et normes rigides à suivre. Ces malaises sont pour lui le reflet d’une contradiction entre les normes sociales et la nature de l’homme beaucoup moins rationnelle que l’époque Victorienne le prétendait. 4) Quelle critique le

à jour par Eric Berne et en même temps l’un des piliers de la théorie : il sert d’ailleurs de logo aux analystes transactionnels. C’est un concept impressionnant a plusieurs titres : son originalité (il ne se confond pas avec le ça, le moi et le surmoi de la psychanalyse et aucune autre théorie n’a pensé un équivalent), sa puissance (il concerne à la fois l’intérieur et l’extérieur de soi), sa pertinence (il permet notamment une connaissance de soi très fine), son efficacité (c’est un outil de diagnostic

Concrètement on voit apparaître des attitudes d’agression et de culpabilité. A l’adolescence, il y a apparition de trois aspects généraux représentant des changements : * Découverte de la génitalité : représente un conflit au niveau inconscient entre le surmoi et le ca. * Aspect psychique : autonomisation de l’adolescent par le passage du stade familial protégé à une socialisation. Incitation pulsionnelle et désorganisation du moi favorisant l’expression par une réaction pouvant être le délit.

pour la conscience, elle se voit refoulée dans l'inconscient. Le refoulement est donc un processus qui vise à mettre à l'écart des pulsions qui ne peuvent être acceptées, c'est à dire tolérées par la structure consciente. C'est principalement le "surmoi", qui en général représente la fonction de jugement, qui décide en quelques sortes de ce qui peut être présenté à la conscience. C’est exactement le mécanisme de défense qu’utilise Monsieur F -Le poids des paroles utilisées dans un diagnostic , comme

l’accès à la conscience serait source de souffrance ou de déplaisir , soit la censure du surmoi ( terme über ich en allemand , introduit par Freud en 1923 ) , cela désigne une partie de la personne qui interdit la prise de conscience de nos désirs .Le surmoi correspond au déclin du complexe d’Œdipe, se complexe désigne en psychanalyse , l’attachement amoureux du jeune enfant à l’égard du parent de sexe opposé. Le surmoi joue un rôle important dans la formation de la personnalité, il est le résultat de

dynamique intrapsychique Le Ça : Il va pousser une personne à agir avec impulsion, sans réfléchir. Le moi : C’est un médiateur qui va essayer de tenir compte des «deux côtés» (des exigences qui sont contradictoires l’une à l’autre) Le Surmoi : C’est le juge du moi et de la conscience morale. (normes morales et sociales qu’une personne a assimiler au cour de sa vie) Le conscient: C’est le contraire de l’inconscient. C’est ce dont une personne est consciente ; tout ce qui provient de