Surveiller et punir

 Le regard, nouvel outil de contrôle par le "tout dévoiler : le voyeurisme dans Surveiller et punir de Michel Foucault Pour Foucault la discipline passe par un regard normalisateur extérieur à l'individu cible, c'est en étant conscient du poids de ce regard que l'individu va se discipliner, c'est à dire se normaliser. Comme on l'a vu plus haut pourtant, le regard est aujourd'hui recherché, il n'est plus fui, chacun se montre et regarde son voisin. Le motif du regard dans la discipline va alors

bagne. Bentham conçoit alors un système où il ne s’agit pas seulement de punir ou de surveiller, mais plutôt permettre la réforme de l’individu en changeant sa manière de vivre pour pouvoir se réinsérer dans la société. Bentham au-delà de cette utilisation pense que ce système est adaptable aux écoles, aux hôpitaux et même aux réunions politiques. Le philosophe Michel Foucault dans son ouvrage Surveiller ou punir reprend ce concept deux siècles plus tard. Pour Foucault, la

l’honnêteté, l’indépendance, la curiosité d’esprit, la persévérance, l’obéissance. Principes d’éducation : lui faire confiance, le récompenser chaque fois qu’il fait bien et le punir lorsqu’il fait mal, l’encadrer avec souplesse, avoir une discipline stricte, lui laisser beaucoup de liberté, lui donner l’exemple, surveiller le plus possible ce qu’il fait, lui laisser beaucoup de responsabilités, le préserver des mauvaises fréquentations, adapter ses principes en fonction de chaque enfant. |

aussi 5.1 Bibliographie 5.2 Filmographie 5.3 Articles connexes 5.4 Liens externes Objectifs [modifier] Actuellement [modifier] Les fonctions des prisons varient selon les époques et les sociétés. La plupart du temps, il s'agit : de punir une personne convaincue d'une faute d'une certaine gravité ; de protéger la société des personnes dangereuses ; de décourager les gens de commettre des actes interdits par la loi ; de forcer le détenu à faire pénitence et des études ou un activité

problématique dans le cas des adultes, qui sont censés être responsables de leurs actes (exemple courant : la ceinture de sécurité). Pourquoi punit-on ? Quel est le rapport à la liberté : ne reconnaît-on celle-ci que pour avoir le droit d'inculper et de punir (Nietzsche) ? On peut faire jouer les sens de pourquoi : quelle est la cause ? quelle est la justification (raison) ? quel est le but, conscient ou inconscient ? L'énoncé comporte deux dimensions : 1. Quels sont les motifs de la punition, ce qui peut

partout et leur évolution) « Surveiller et punir » : (1975) : Il travaille sur la prison et la discipline. Il fait une histoire des prisons et montre les formes de son apparition jusqu'à aujourd’hui Comment est on passé de l’exécution public à l’enfermement par exemple (Nous intéresse ici car il y parle du dvp de la discipline (lien avec les armées et dans l’ens de la société) « Le soldat est devenu quelque chose qui se fabrique… » (Foucault, Surveiller et punir, p. 161) La discipline n’est

philosophique. Cette question du fondement n’interroge pas la règle de droit en tant que règle de droit mais les buts que poursuit la règle de droit. Réponses possibles : On peut punir parce que c’est utile, utilité sociale, parce que c’est juste retour des choses. Mais cette interrogation est essentielle, car le droit de punir de l’Etat est l’une des plus grandes menaces pour nos libertés. * Le système pénal qui nous régit repose donc sur des choix philosophiques. Exemple de la présomption

française en 1914 1.2 L’invention de la discipline •Michel Foucault (1926-1984) •Philosophe français •Histoire de la folie à l’âge classique, 1961 •Histoire de la sexualité, trois tomes parus entre 1976 et 1984 •Surveiller et punir, 1975 Foucault, Surveiller et Punir, 1975 « Le soldat est devenu quelque chose qui se fabrique » La discipline : façonner le corps et les esprits Imposer des règles et des techniques: « La discipline est une anatomie politique du détail ». Naissance du soldat

ne fait qu’encourir une sanction fiscal, administrative, et bien ce n’est pas une sanction « pénal », par exemple : la nullité, les D-I. Il ne faut pas cependant, penser que parce qu’elles ne sont pas des sanctions pénales elles ne cherchent pas à punir. Au contraire, on à retirer au droit pénal le monopole de la sanction. Avant, c’était le droit pénal qui avait le monopole de la sanction. Par exemple, si l’on ne paie pas les impôts l’administration va imposer des sanctions fiscales comme une amende

un premier texte extrait de l'ouvrage Des délits et des peines de 1764, Cesare Beccaria critique le système de son époque et exprime la nécessité de changements. Le deuxième texte est un extrait tiré de Surveiller et punir de Michel Foucault dans lequel l'auteur analyse la place de la prison dans la justice criminelle. Quant au troisième texte, tiré du livre Pour en finir avec la prison, Alain Brossat dénonce et critique