Swot Groupama

TELECOM Stanislas ANDRE - BOUYGUES TELECOM Ibrahim SIDIBE - CARREFOUR Hubert DELAFON - CIGREF Thérèse HIRSCHY - CNAV Jean-Pierre GARLATTI - DASSAULT AVIATION Yves SPIELMANN - EURO DISNEY SCA Jean-Noël PONZEVERA - FAURECIA Florence MIELLE - GROUPAMA SI Annie ROZÉ - GROUPAMA SI Laurence FOUASSIER - GROUPEMENT DES MOUSQUETAIRES - INTERMARCHÉ Didier LAMBALLAIS - INRIA Muriel REDER - LA POSTE Gilles GALINDO - MICHELIN Stéphanie CLEMENTINE - POLE EMPLOI Isabelle PERRIEUX - POLE EMPLOI Etienne DE ROUGÉ - PSA

allons effectuer une analyse PEST et une analyse du modèle des 5 forces de Porter. Ensuite, nous procéderons à une analyse interne de la Wide Gallery. Nous terminerons cette partie en résumant les opportunités et les menaces du marché dans un tableau SWOT. Analyse de PEST Le modèle PEST permet d’analyser les influences de l’environnement pour en retirer les tendances structurelles qui auront un impact sur l’organisation. D’un point de vue général, la seule catégorie qui pourrait avoir un impact

d’organisation et les bénévoles Conclusion PARTIE 4 PARTIE 5 : ETUDE DE CAS SUR LES INTERNATIONAUX DE STRASBOURG CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE L’EVENEMENT 1. Le tournoi 2. L’organisation 3. Les sponsors CHAPITRE 2 : AUDIT 1. Analyse SWOT 1. 1. Forces/Faiblesses 1. 2. Opportunités/Menaces 2. Analyse de la concurrence 3. Analyse du budget : quels leviers utiliser ? 3. 1. L’importance des partenaires 3. 2. Diversifier les recettes CHAPITRE 3 : COMMENT TOUCHER ET FIDELISER

exporteront et importeront d’autant plus. Les entreprises se mettent donc de plus en plus à utiliser ces nouveaux procédés et modifie leur stratégie interne, afin de faire face à la concurrence. A l’aide d’une analyse interne et externe telle que la SWOT Analysis18 (analyse des forces, faiblesses, opportunités et menaces), les groupes hôteliers se rendent petit à petit compte qu’ils doivent se démarquer de leurs concurrents en proposant des services de meilleure qualité ou en se diversifiant. Par exemple

capacités de l'entreprise : moyens humains et financiers, image de marque) et une analyse externe (les ressources requises par chaque segment, la rentabilité de chaque segment, la force de la concurrence, la législation...). Il s'agit en fait d'une analyse SWOT. Le troisième et dernier niveau est celui qui consiste à positionner le produit. En effet le ou les produits de l'entreprise doivent être conçus en fonction des segments qu’ils visent. Ce positionnement est donc la synthèse entre l’identification d’une

fréquemment employés : • les matrices stratégiques. Exemples : BCG (Boston Consulting Group), ADL (Arthur D. Little), Mc Kinsey, Porter, matrices d’innovation valeur comme la matrice BOS (Blue Ocean Strategy) de W. Chan Kim et Renée Mauborgne ; 1. SWOT : Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats. En français : forces, faiblesses, opportunités, menaces. © Groupe Eyrolles 82 Partie II - Vendre la stratégie et l’organisation marketing aux dirigeants et collaborateurs... • les simulations

des marchés, au regard des prestations attendues par l’usager (par exemple, la mise à disposition de tous d’une connexion Internet). 9 3 Les origines de la stratégie Points clefs Appliqué à l’entreprise de manière systématique depuis la matrice SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces) inspirée en 1962 par Ansoff, le concept de stratégie a des origines plus lointaines. Présente dans le domaine militaire, à travers les stratégies d’encerclement ou d’attaque par le flanc par exemple, ou dans

juridiquement en possession des sociétés françaises. De ce fait, les sociétés algériennes ont dû régler les sinistres sans pouvoir utiliser pour ce faire les actifs correspondants. L’accord du 7 mars 2008, entre les sociétés françaises AGF, Aviva, AXA, Groupama et MMA et les sociétés publiques algériennes SAA et CAAR, régularise en droit algérien la situation de fait décrite précédemment : il organise un transfert de portefeuille entre les deux parties signataires à effet rétroactif à compter de 1966

juridiquement en possession des sociétés françaises. De ce fait, les sociétés algériennes ont dû régler les sinistres sans pouvoir utiliser pour ce faire les actifs correspondants. L’accord du 7 mars 2008, entre les sociétés françaises AGF, Aviva, AXA, Groupama et MMA et les sociétés publiques algériennes SAA et CAAR, régularise en droit algérien la situation de fait décrite précédemment : il organise un transfert de portefeuille entre les deux parties signataires à effet rétroactif à compter de 1966