Symbolique Personnification Des Animaux

sont tirés du livre VII du recueil de La Fontaine, écrit en 1678 : « Les animaux malades de la peste», «La cour du Lion », et « Le Chat, La Belette et Le petit Lapin ». « Les obsèques de la Lionne » appartient au livre VIII. Dans chacun de ces récits, La Fontaine transpose l'univers animalier dans la société des hommes par différents moyens. Tout d'abord, on remarque qu'il choisit généralement des animaux symboliques, qui constituent souvent des stéréotypes traditionnels, soulignés par

également renvoyer à ce qui constitue notre humanité. Lorsque le poète énonce : « la terre est changée en un cachot humide » (v 5), il joue sur plusieurs niveaux : le champ lexical de la pluie, la transformation, « est changée », qui cohabite avec la personnification passive, le champ lexical de la prison, liant pluie et enfermement, Spleen et enfermement et par association, pluie et enfermement.  L’enfermement L’enfermement, ce serait aussi ce sentiment que le Spleen gagne les habitations, les refuges

libre et joyeux ; s’adresse au vers On peut voir ici une forme d’offrande aux vers aux animaux ici la terre oxymore “un mort libre et joyeux” donne une image valorisante santé de la mort => Ces éléments permettent de dire que le Poète accepte et accueille sa mort avec joie Philosophes viveurs, fils de la pourriture, personnification des vers Finalement les “vers” permettent ici un jeu de mots entre les animaux et le lignes de poésie ils sont “vivants” donc ils peuvent laisser une trace de poète

«la partie dans le tout», c’est-à-dire évoquer un objet par une partie (symbolique) de celui-ci. Ex: «les voiles au loin...» Ex: Boire un verre Ex: Manger son assiette LA PERIPHRASE La périphrase est une figure de style qui consiste à remplacer un nom par une phrase entière (poétique ou ironique). Ex: «Le pays du soleil levant» (Japon). Ex: La capitale de la France Ex: Le roi des animaux LA PERSONNIFICATION La personnification consiste à parler d’un objet inanimé comme une personne. Ex: «Les livres

théâtrale car elle met en scène deux animaux (symbolique, allégorique) - Vers hétérométrique : les vers de mètres différents (alexandrin, décasyllabe, octosyllabe) entraînent une diversité. - Variété ; souplesse, plaisir > rimes croisées, plates, embrassées (cf. fiche sur les rimes). Cela fait plus « naturel » et « vivant » - Temps : utilisation du présent de narration, qui rend le récit plus vivant, et de l’imparfait pour les actions longues et durables. - Les animaux sont personnifiés : utilisation

« L’Albatros »Les Fleurs du Mal (1857), [Spleen et Idéal] Charles Baudelaire | T : Nous verrons tout d’abord les deux aspects de l’albatros présentés dans le poème. I Deux aspects de l’albatros T : L’albatros est un animal majestueux dans le ciel, son élément naturel. a) un animal majestueux dans son élément * hypallage c : « vastes oiseaux des mers » i : fait hyperbole en attribuant l’adjectif « vastes » aux « oiseaux » plutôt qu’aux « mers ». -> donne une image valorisante des albatros

v.7, la lumière éblouissante + « nous avons aperçu ») 2) Le toucher : « l’humide gazon », « la bruyère épaisse » 3) L’ouie : sans parler, nous avons écouté, ne poussaient pas un soupir, criait. 3. Un tableau inquiétant : le fantastique *Personnification de la nature De nombreux exemples v.1 et v.10 à 15 : « Les nuages couraient » … « Les chênes (…) endormis et couchés ». * Le silence (voir ci-dessus) ( Silence troublé uniquement par « la girouette en deuil qui criait » * Le contraste obscurité/

Etude du poème 87, « Les métamorphoses du vampire » Charles Baudelaire est un célèbre poète français du XIXème siècle (1821-1867). On l’associe aux mouvements post-romantique et pré-symbolique. Spleenétique, mélancolique, il présente une personnalité très complexe oscillant entre dépression et euphorie. Cette personnalité se retrouve dans les différentes sections de son unique recueil poétique versifié : Les fleurs du mal . Publié en 1857, le

chevaleresque qu'il avait quitté suite à la liaison de Laudine. Plan : 1. symbolique du lion, du serpent et donc du choix d'Yvain. 2. humanité du lion, son aspect chevaleresque, la vassalité. 3. animalerie du lion, son aspect sauvage et non civilisé. 4. lien de l'animal et la situation d'Yvain 5. conclusion Développement : Partie 1 La symbolique du serpent est bien connue, elle fait référence à la religion qui présente cet animal comme le tentateur, l'envoyé du diable. L'auteur joue sur cette représentation

Introduction : La Fontaine aime, dans ses fables, décrire des animaux. Cela lui permet de contourner la censure et d'amuser les enfants. Dans la fable "Le Héron", au livre IX, l'auteur dénonce la fierté des puissants et leur incapacité à choisir de bons gouverneurs. Nous allons voir alors comment La Fontaine critique la cour de Louis XV à travers la personnification du Héron. Plan : I. La satire de la fierté II. Une morale pas comme les autres I. A. La satire - définition de la satire