Syndrome de malabsorption

2004 suite à des chutes (13). Les chutes engendrent également des fractures dans 5% des cas dont la plus grave est la fracture de l’extrémité supérieure du fémur (< 1%) (14). Du point de vue fonctionnel une des complications les plus graves est le syndrome post chute qui peut entraîner notamment une restriction des activités habituelles par peur de retomber chez 16 à 26% des personnes âgées (15). Selon l’HAS ces conséquences de la chute justifient une démarche de prévention systématique selon 4 phases

telles que le béribéri, le scorbut ont pratiquement disparu en Occident, on rencontre néanmoins des déficits d’apport polyvitaminiques chez certaines personnes âgées, les sujets alcooliques chroniques ou dans le cadre de pathologies liées à des malabsorptions et dans des situations spécifiques comme le végétalisme. Des déficits modérés d’apports en micronutriments, source de déséquilibres sont aussi à l’origine de divers troubles de gravité variable. Ils ne sont pas toujours aisés à mettre en évidence

biliaire ou de la fonction des sels biliaires dans l'intestin diminue l'absorption des vitamines liposolubles (malabsorption). Les syndromes de malabsorption peuvent aboutir à des carences en vitamines liposolubles. La sprue nostras par exemple, caractérisée par une diminution de la surface intestinale par hypersensibilité à une protéine du blé, le gluten, peut aboutir à une malabsorption de la vitamine D, avec finalement baisse de l'absorption de calcium dans le tractus gastro-intestinal. Hormis

e – m a n u e l p r at i q u e IRIS ISP IV K.U.Leuven LCR LZD M. MDR MNT MonoR MR OMS PAS PC PCR PI PO PolyR PTA PZA RIB RMN RMP RX T3 T4 TBC TSH UA UCL UGent ULB ULg UNION UR VIH VRGT VS VUB WIV XDR Immune reconstitution inflammatory syndrome (syndrome de reconstitution immunitaire) Institut Scientifique de Santé Publique Intraveineux Katholieke Universiteit Leuven Liquide céphalorachidien Linézolide Mycobacterium Multidrug resistance (= MR) Mycobactérie non tuberculeuse Monorésistance Multirésistance

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 La maladie respiratoire chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Le syndrome de malabsorption . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Le syndrome anémie infectieuse ou dermatite gangréneuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 ● Les autres affections bactériennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ischémiques : 75 à 325mg/j, si douleur alors 10-15mg/kg/j et 3g/j max et si fièvre 60mg/kg/j. Mais rapport bénéfice-risque moyen car beaucoup d'effets indésirables: troubles digestifs, allergie, accroissement risque hémorragique, toxicité rénale, syndrome de Reye, surdosage entraînant des vertiges... contre indications chez femmes enceintes ou en cas de virose ou d'ulcère gastroduodénal. Il faut établir une surveillance : attention aux hémorragies, allergie, gastralgie et aux signes de surdosage

famille hétérogène d'anticorps dirigés contre des phospholipides anioniques (cardiolipine, phosphatidylserine) ou neutres (phosphatidylethanolamine) et/ou des protéines plasmatiques liant ces PL comme la b2 GPI et la prothrombine. Définition du syndrome des anticorps antiphospholipides selon Harris. Association d’une manifestation clinique parmi - thrombose veineuse - thrombose artérielle - pertes foetale répétées Avec une anomalie biologique (au moins une) parmi - anticoagulant circulant

allergique, urticaire, œdème de Quincke, éruption cutanée, prurit ; - rares : troubles de la pigmentation (ardoisée des ongles et des muqueuses), exacerbation d’un psoriasis, alopécie ; - exceptionnels : dermite exfoliatrice, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, photosensibilité. • Neurologiques : - fréquents : céphalées, étourdissement ; - très rares : convulsions, neuropathies. • Visuels : - fréquents : troubles de l’accomodation, vision floue ; - rare (et si traitement prolongé) :

entérale est également recommandée lors d’une chimiothérapie intensive, comme par exemple pour les cancers de la sphère ORL ou du tube digestif, qui empêche le patient de se nourrir normalement. La nutrition entérale est également utilisée en cas de malabsorption intestinale, de retard de croissance, d’anorexie, de pathologies digestives inflammatoires, etc. En fait, dans tous ces cas, on remarque que la nutrition entérale est utilisée pour prévenir la dénutrition ou pour remettre en forme un patient

Mélanges nutritifs industriels 131 1. Formules élémentaires 131 2. Formules semi-élémentaires 131 3. Formules polymériques 132 IV. Indications de la nutrition entérale 133 1. Pathologies digestives avec réduction des capacités 133 1.1 Syndrome du grêle court 134 1.2 Mucoviscidose 134 1.3 Maladies inflammatoires de l’intestin 135 2. Anomalies du temps oro-œsophagien 135 2.1 Alimentation orale impossible ou insuffisante 135 2.2 Atteinte de la muqueuse 135 2.3 Immaturité