Synesthesie Serpent

métaphysique (âme angoissé car il ne croit pas en Dieu). - La synesthésie baudelairienne :LA POESIE DE BAUDELAIRE est un travail sur la sensorialité de son écriture. Il a cette manière de faire interagir les 5 sens : le gout, le touché, la vue, l’ouïe, l’odorat  au sein de ses textes. Il fait communiquer les sens entre eux : c’est ce qu’on appelle la synesthésie baudelairienne.La synesthésie baudelairienne repose sur l'alliance de plusieurs perceptions sensorielles. Plus simplement

« l’idéal » tout en échappant au spleen . Parfaite inconnue qui va être l’incarnation mère de la beauté selon Baudelaire , qui va meme jusqu’à l’associer à une œuvre d’art à travers le vers «  agile et noble avec sa jambe de statue » ·   Poème « un serpent qui danse » , poète fait l’éloge du mouvement de la femme , et de son corps « que j’aime voir , chère indolente , de ton corps si beau » -poème «  a celle qui est trop gaie » , le poète théâtralise , la femme en la comparant à la nature « ta tête

vivants.Apollon avait en effet accordé a Orphée une multitude de dons,dont celui de sa lyre. Apollon rappelons le,est le dieu de la beauté de la poésie et de la création harmonieuses .Orphée avait une femme splendide,Eurydice qui fût piqué par un serpent et mourra.Orphée voulu la retrouver,il alla au royaume d'hadés,les enfers,la porte étant gardé par cerbère,il utilisa sa lyre et passa, Les dieux face a cet exploit décidèrent de libérer Eurydice a condition qu'il ne se retourne que lorsqu'ils serait

d’une rapide esquisse tracée au fusain : « son torse si mince sur ses hanches si larges » ; les allitérations en [s] repérées tantôt se retrouvent ici pour évoquer, peut-être, les mouvements sinueux du serpent (on ne peut s’empêcher de penser à cet autre poème des Fleurs du Mal, intitulé « le serpent qui danse »). La même description synthétique des formes aguichantes de cette femme sensuelle se retrouve dans le rythme ternaire « sa taille longue, son dos creux et sa gorge pointue », ce qui indique

Les Fleurs du Mal – Charles BaudelairePlan :1. Des thèmes récurrents2. Le spleen3. L’image de la femme4. L’écriture poétique5. Typiquement baudelairien6. La structure de l’œuvre 1. Des thèmes récurrents · Le spleen · les sources de dégoût et la tristesse · Le vin · La fuite dans l’ivresse · La fuite du temps · Les saisons

d’une rapide esquisse tracée au fusain : « son torse si mince sur ses hanches si larges » ; les allitérations en [s] repérées tantôt se retrouvent ici pour évoquer, peut-être, les mouvements sinueux du serpent (on ne peut s’empêcher de penser à cet autre poème des Fleurs du Mal, intitulé « le serpent qui danse »). La même description synthétique des formes aguichantes de cette femme sensuelle se retrouve dans le rythme ternaire « sa taille longue, son dos creux et sa gorge pointue », ce qui indique

et amoureux, érotique ou humoristique. Ce poème chante les yeux d'une femme mais qui ne se limite pas qu'au sens physique (la lumière : «ailes couvrant le monde de lumière») mais aussi la morale (l'innocence) -Baudelaire, les fleurs du mal, Le serpent qui danse : le corps devient le médiateur du voyage, évasion, exotisme .. 3) Evasion par le rêve, l'imagination, la transfiguration du réel ou la fantaisie Le mot poésie vient du verbe grec poien qui signifie "produire", "créer" : le poète c'est

sensorialité plus que sensualité. « Ces gouttes d'eau », ce désigne elle même, existence corporelle à part liquide? Séduisant et effrayant. « losange sonore » alliance surprennante car losange forme géo qui ne peut pas avoir de qualificatif auditif, synesthésie(consiste à lier 2 sens), normalement pas possible pr humain sauf être ultra sensibles. Ex cher Baudelaire, les correspondance « un parfum vert ». Les 2 mots st reliés par les sonoritées. Losanges évoquent des vitraux, moyenâgeux et sacré. Vers

« graisse sous la peau », « tout ce corps remue », « large croupe ». · Transformation de la femme en éléphant Souvenir de Baudelaire dans le « Serpent qui danse » ( Les Fleurs du Mal , 1858) · A la différence de Baudelaire qui suggérait la sensualité et l’idéal, Rimbaud met en valeur la maladresse du mouvement. · Rejets et des contre-rejets Mime la disharmonie

sein de ce poème, à la fois on se perd dans la sensualité de Marie évoquée par la beauté du paysage, la synesthésie des sens, l’attirance charnelle qu’elle évoque chez l’auteur mais aussi dans l’invitation exprimée tel un bercement. A travers le mouvement onduleux du poème alternant heptasyllabe et pita syllabe tels les rythmes sémillants des « Djinns » hugolien, le poète, charmeur de serpent cherche à séduire le lecteur. Typique du voyage baudelairien, le poème prend forme dans l’évocation et