Synesthésies Harmonie Du Soir

596. 45. Ibid., p. 578-579; cf. p. 616. 46. Pl. I, p. 669. Voir D. Vouga, Baudelaire et Joseph de Maistre, Corti, 1957. 47. Cf. le Baudelaire de Cl. Pichois et J. Ziegler, p. 318 et suiv. 48. Voir, dans Pl. I, les notes à Tout entière, Harmonie du soir, Le Flacon; cf. l'étude précitée de F. Leakey, et le Baudelaire de Cl. Pichois et J. Ziegler, p. 322-323. 49. P. 253. 50. Cl. Pichois, J. Ziegler, Baudelaire, p. 337. 51. Voir Gr. Robb, Baudelaire lecteur de Balzac, ouvr. cité, p. 15, et,

C'est l'esthétisation maximale qui prévaut dans ce type de communication publicitaire. On extrait le parfum du réel, et avec lui le spectateur-consommateur, pour les injecter dans un monde artificiel. Or, suivant les lois du phénomène appelé synesthésie, le "sentir bon" peut être traduit ou en tout cas suggéré, par le "être beau", d'où généralement une recherche esthétique dans la conception des publicités pour parfums: «Très fréquemment, on joue l'esthétisme pur […] : les sensations se répondent:

une anthologie de poésie moderne qui prend le nom de Parnasse contemporain. Le mot désigne tout de suite ces poètes qui se reconnaissent dans leur réaction contre le Romantisme. D'abord groupés autour de Théophile Gautier, il se réunissent le samedi soir chez Leconte de Lisle ou José-Maria de Hérédia : Banville, Villiers de l’Isle-Adam, Sully Prudhomme, François Coppée apparaissent comme les plus représentatifs. À l'épanchement personnel, les Parnassiens opposent un souci d'impersonnalité qui leur

volontaire (du côté de la « laideur », du vivant). Romantisme dans le domaine privé d’abord. Pavillons gothiques très demandés. Puis dans le domaine public : Charles Barry, Parlement de Londres, 1836-1867 Le 1er a proposé un style néo-gothique en harmonie avec Westminster qui est juste à côté et gotique. Plan totalement dissymétrique. La structure du bâtiment n’est absolument pas gothique néanmoins. Elle est classique. Vocabulaire gothique sur une structure classique. Décorateur Puigin. Chambre

monotone1- Les deux tercets : rupture énonciative qui généralise l’eloge1er tercetMon cœur ilnosPassage de la 1er pers à la 3eme persIntègre le lecteurVers 9 à 12Doux rien n’est plus douxChoses funèbresBienfaits du mauvais tempsL’atmosphère morbide est en harmonie avec le poèteVers 10frimasPremiers froids de l’hiverConfusion entre le cœur du poète et le paysageVers 11Reine de nos climatsblafardesTon lyrique :Aspect maladif et mortifèreVers 12Que l’aspect permanent de vos pales ténèbresOxymore : entre lumière

....................................... 2.1. Physiologie de la vision colorée .............................................. 2.2. Unicité de percept et pathologies............................................. 2.3. Modalités trans-sensorielles, synesthésies et métaphores ....... Section 3. Les effets biologiques non visuels de la couleur ...................... 3.1. Rappel historique..................................................................... 3.2. Effets physiologiques de la couleur......

Roland), il connaîtra au cours du récit trois autres identités successives, Freddie Howard de Luz, Pedro Mac Evoy et Jimmy Pedro Stern, sans jamais être sûr que l’une de ces identités soit la bonne. « Je ne suis rien. Rien qu’une silhouette claire, ce soir-là à la terrasse d’un café » sont les premiers mots du livre. Le titre, qui annonce déjà le climat nocturne et inquiétant du récit, renvoie à un recueil de poèmes de Perec paru en 1973, La Boutique obscure. Le roman s’achève sur une nouvelle adresse

universelle |Incarne universellement la catégorie (Sony, Kodak, Levi’s) | |Marque aspirationnelle : |Soutient les aspirations du consommateur à une image de soir plus | |La marque statut = valorisation personnelle |valorisante (Max Mara, Audi) | |La marque drapeau = rejoindre des valeurs collectives |

bruit des cors du chasse, du vent, des cloches et des chants. Les verbes “écouter” et “entendre” reviennent plusieurs fois: “Et j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cris”, “J’entendis une voix / qui chantait”, écrit-il dans “Vendémiaire”. Les harmonies imitatives présentes dans les poèmes soulignent cette écoute. On a le vers “Les poules dans la cours caquettent” dans “Aubade chantée à Laetare un an passé”, ou les sonorités fricatives en “s”, “z” et “f” traduisent le souffle puissant du vent sur

tôt dans sa Réponse à la Némésis (1831, voir texte complémentaire p. 303), Lamartine s’en prend ici implicitement à l’inspiration de ses deux premiers grands recueils poétiques qui avaient fait sa renommée : les Méditations poétiques (1820) et les Harmonies poétiques et religieuses (1830). C’est au thème personnel et à son traitement dans les registres lyrique et surtout élégiaque que vont bien sûr ses principaux reproches. Les comparaisons 148 • Chapitre 3 • La poésie Références bibliographiques