Tableaux De La Nature Chateaubriand

«les accidents d’un paysage» (page 102) - «fantastiquement» (page 114) - «accordailles» (page 115) - «se marier à l’encontre de quelqu’un» (page 116) - «dissiper de tels prestiges» (page 120). Sa syntaxe est parfois étonnante : «aimait M. de Chateaubriand de ce qu’il avait nommé Victor Hugo un enfant sublime» (page 54) - «“Plût à Dieu qu’il fût mieux traité que lui”, disait M. du Châtelet» (page 57 : style indirect libre là où il faudrait le style direct) - «Naïs fut aimée comme tout jeune homme

l’aristocratie, où il pouvait goûter plus d'esprit tout en n'étant pas dupe, là non plus, du snobisme. Chez la marquise de Saint-Euverte, détaché, par son amour et sa jalousie, de la vie mondaine, il put l'observer en elle-même, « comme une suite de tableaux » : les valets de pied ; les monocles ; la marquise de Cambremer et la vicomtesse de Franquetot écoutant le ‘’Saint-François’’ de Liszt ; Mme de Gallardon, cousine dédaignée des Guermantes ; la princesse des Laumes qui conversa avec lui. Il présenta

père, le général Dumas. Alexandre Dumas est né et a grandi à la campagne ; petit garçon, il passa beaucoup de temps dans la forêt de Retz qu’il parcourait en compagnie du garde-chasse Mocquet dont il dira qu’il lui a tout appris. Cet enfant de la nature connut tôt les joies de la chasse, aima les armes, les chevaux, allait rester un homme sportif, un éternel chasseur. Cependant, en 1811, il entra à l'école de Villers-Cotterêts que dirigeait un abbé Grégoire. Il y resta jusqu'en 1813. Il ne reçut

poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours ..................................................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac :

les rues, les routes… » soulignent l’ampleur de la pauvreté. Le lien entre la pauvreté & la misère évoque la possibilité d’un « moyen simple & peu onéreux » ( : contraste avec le phénomène social §2.). - Tout en créant un effet d’attente sur la nature de sa proposition (§9), Swift justifie le bien-fondé de ses recommandations. Champ

pas être humilié et à monter haut et vite. L’amour le touchait peu comme but et comme tendresse ; né du peuple, il se sentait flatté d’être aimé d’une belle dame et cela lui prouvait sa propre valeur. Julien est le type assez réel de plus d’une nature cachée, souffrante, gauchement refoulée, qui dès l’enfance a rêvé l’excès du bonheur et n’a connu que l’amertume de la misère, et qui ne pouvant être magnanime à l’aise serait féroce au besoin ; c’est l’homme de génie des classes inférieures

poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours ..................................................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac :

l’histoire de Richard le Prémontré est bien proche des contes d’amour libertins dont le XVIII° a raffolé. Le récit de Des Arcis p. 245 - 259 Il commence son récit par une constatation qui ressemble à l’analyse du « vague des passions » tel que Chateaubriand la fera un peu plus tard. Mais elle est tournée contre l’église qui exploite cette fragile « mélancolie » de la jeunesse à son avantage, en l’interprétant comme une vocation. Bref le jeune Richard veut se faire Prémontré. Dans l’ordre il est

fera le plaisir des amateurs de poteries et de statuettes anciennes ; il présente la préhistoire originale souvent mal connue des Antillais eux-mêmes. Dans un deuxième temps, la côte nord caraïbe est un endroit de grand intérêt pour les amateurs de nature et de sérénité. Elle est bordée de falaises, de montagnes et de petites baies aux eaux calmes qui abritent les villages de pêcheurs tels que Le Morne Vert qui dévoile son paysage verdoyant, ses sources chaudes et bien sûr les pitons du Carbet d’où

se cherche elle-même, au lieu de s’occuper à se faire des réussites. Il me paraît que tout acte porte en lui-même sa justification, du moins pour qui a été capable de le commettre, qu’il est doué d’un pouvoir rayonnant que la moindre glose est de nature à affaiblir. Du fait de cette dernière, il cesse même, en quelque sorte, de se produire. Il ne gagne rien à être ainsi distingué. Les héros de Stendhal tombent sous le coup des appréciations de cet auteur, appréciations plus ou moins heureuses, qui