Tangente hyperbolique

les optima de Pareto consiste à suivre les valeurs prises par les taux marginaux de substitution entre les biens. La principale propriété analytique des optima de Pareto peut s’énoncer comme suit : Si les courbes des différences des agents sont hyperboliques, pour qu’un état réalisable soit un optimum de Pareto, il faut qu’en cet état le taux marginal de substitution entre deux biens quelconque soit le même pour tous les agents. Formellement, supposons qu’un état x=(x1… ;xi ;… ; xm) Si x est un optimum

;:=/ « Symboles d’égalité et symboles d’inégalité » (page 53) Math3 ~ « Symbole d’angle (∠) » (page 53) Trig SCT « Fonctions trigonométriques et trigonométriques inverses » (page 47) Trig 123 !@# « Fonctions hyperboliques et hyperboliques inverses » (page 47) Advance :! « Autres Fonctions » (page 48) Advance PN « Arrangement (nPr) et Combinaison (nCr) » (page 52) Advance NM< hin Advance r Advance 5%(^ Advance 7 « Fonction Gamma

suite de figures . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Une image strictement auto-similaire . . . . . . . 3.3 Les arbres de Pythagore . . . . . . . . . . . . . . 3.4 Dans la peau d’un chercheur . . . . . . . . . . . . 3.5 Une courbe continue sans tangente . . . . . . . . 3.6 Dimension des boˆ ıtes . . . . . . . . . . . . . . . . 3.7 Calcul d’aires et de longueurs de figures fractales 3.8 Programmer l’ensemble de Mandelbrot . . . . . . 3.9 G´n´rer des fractales ` l’aide des IFS . . . . . . . e e a

non-saturation (monotonicité) et la préférence pour la diversité. Exercice : Un consommateur a pour fonction d’utilité : U = x11/4 x23/4 Déterminer l’équation de la courbe d’indifférence correspondant à une utilité de 8. soit une fonction hyperbolique 1.2.5 Taux marginal de substitution (Tms) 1.2.5.1 Définition Le Tms 1,2 est la quantité de bien 1 que l’individu est disposé à abandonner pour accroître la consommation du bien 2 d’une unité (ou plutôt d’une quantité aussi petite que

ellipses Semestre 2 – 2011 28 HAROUY Gabriel 250 PSR dans le ciel, par rapport aux étoiles beaucoup plus éloignées. On en déduit alors l'angle entre la terre, l'étoile, et le soleil, et connaissant la distance terre-soleil, et assimilant la tangente à l'angle, on trouve la distance de cette étoile. On a alors définit le parsec (parallaxe-seconde) comme étant un angle de 1' d'arc. Il vaut alors 200 000 UA, ou 4,3 al. Cette méthode est valable pour des étoiles distantes de moins de 500 al. La

de l’ellipse 4 .2 Loi des aires et paramètres de l’ellipse 4 .3 Lois de Kepler (ellipse) 4 .4 Equation horaire 5. ENERGIES 6. ORBITES ET CONDITIONS INITIALES 6 .1 Paramètres de la conique 6.2 Orbite elliptique 6.3 Orbite parabolique ou hyperbolique 6.4 Energies, vitesse de libération (parabolique) et type d’orbite 7. SYNTHESE 137 139 143 143 143 145 145 147 149 149 149 153 155 155 157 La vitesse V0 croît Terre V0 r0 Cercle XI XI. CHANGEMENT DE REFERENTIEL

Théorie des Ensembles. Applications : injective, surjective et bijective. Relations d’équivalences, Relations d’Ordres. Les nombres complexes. Fonctions Réelles d’une variable réelle. Fonctions inverse des fonctions trigonométriques. Fonctions hyperboliques. Développement limité. II - Algèbre : Rappels : Lois de décomposition internes, groupes, anneaux et corps. Espaces vectoriels. Bases et dimensions finies. Applications linéaires, noyau, image. Matrice d’une application linéaire. U Phys 1 Mécanique

champ électrostatique est la configuration générale des vecteurs représentatifs du champ électrostatique : on parle de carte de champ électrostatique. Une carte de champ est constituée de « lignes de champ ». Les lignes de champ sont les courbes tangentes en chacun de leurs points au vecteur champ électrostatique. Les lignes de champ : - divergent à partir d’une charge positive et convergent vers une charge négative, - ne se referment pas sur elles-mêmes, - ne se coupent pas sauf en un point de champ

. . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonctions trigonométriques inverses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonctions connexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonctions hyperboliques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Exponentielles, logarithmes, puissances et racines . . . . . . . . . . . . . . . . Fonctions exponentielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d'ordre économique, on ajoute aux fonctions d'utilité la propriété de continuité pour permettre l'application du calcul différentiel. ◊ Lorsqu'une relation de préférence présente toutes ces conditions, les courbes d'indifférence sont de type hyperbolique. © Les textes édités sur ce site sont la propriété de leur auteur. Ch. Bialès P. 6 09/12/12 C'est le cas usuel et en particulier celui des fonctions d'utilité de type Cobb-Douglas (U = x* yavec &gt; 0 et &gt; 0 ; dans ce cas, TMS = y