Taux de refinancement

servent à : piloter les taux d'intérêt, gérer la situation de liquidité sur le marché monétaire, et indiquer l'orientation de la politique monétaire. Elles peuvent être divisées en quatre catégories : les opérations principales de refinancement consistent en des opérations de cession temporaire destinées à fournir des liquidités de manière régulière, avec une fréquence hebdomadaire et une échéance d'une semaine ; les opérations de refinancement à plus long terme consistent

placements à vue ( 1 200 Milliards € M3 : M2 + SICAV (Société d'Investissement à Capital Variable)/placement à court terme ( 1 720 Milliards € L’IMPACT DE LA QUANTITE DE MONNAIE SUR L’ECONOMIE › EFFETS POSITIFS (on parle d’offre de monnaie) : avec des taux d’intérêts faibles ( crédit facile (plus d’emprunt) qui renforce l’offre de la monnaie. Moyen de relance par la consommation et l’investissement. Aboutissement sur le développement de l’économie. › EFFETS NEGATIFS : demande de l’offre trop importante

elle est directement prélevée sur ces flux et s’impute sur les sommes versées aux investisseurs. La rémunération n’entre pas, le plus souvent, dans la garantie, et il convient alors de s’assurer que le différentiel entre le taux d’intérêt versé par les créances débiteurs et le taux d’intérêt payé aux porteurs de parts et suffisant pour couvrir les commissions dues aux différents intervenants. b- Les risques spécifiques du portefeuille de créances: Les risques spécifiques du portefeuille

mesurables. Il s’agit en général de variables de prix (taux d’intérêt ou de taux de change) ou de quantité (agrégat de monnaie ou de crédit). Les objectifs opérationnels sont ceux sur lesquels l’autorité monétaire agissent au quotidien afin d’atteindre les objectifs intermédiaires et finals. Ils ont la particularité d’être plus sensibles aux instruments que les objectifs intermédiaires. Par rapport à la variable de prix, il peut s’agir du taux interbancaire. Par rapport à la variable de quantité,

LA DETERMINATION DE L’ARCHITECTURE DU MARCHE HYPOTHECAIRE DE L’UEMOA SOMMAIRE PAGES EXECUTIVE SUMMARY.................................................................................. 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION CONCEPTUELLE DES INSTRUMENTS DE REFINANCEMENT DE L’ARCHITECTURE DU MARCHE HYPOTHECAIRE ....... 11 1. 2. INTRODUCTION ................................................................................... 12 PRINCIPES GENERAUX, ACTEURS, ET PARTICULARITES ......................... 12 2.1. 2.2

n°2006-19 du 2 mai 2006 ; - Vu la loi n° 2009-64 du 12 août 2009, portant promulgation du code de prestation des services financiers aux non résidents ; - Vu la circulaire n°87-47 du 23 décembre 1987 relative aux modalités d’octroi, de contrôle et de refinancement des crédits, telle que modifiée et complétée par les textes subséquents ; - Vu la circulaire n° 2002-05 du 6 mai 2002 relative à la réserve obligatoire telle que modifiée et complétée par les textes subséquents ; - Vu la délibération du Conseil

|Refinancement 900 € | Bilan B3 : |ACTIF |PASSIF | |Crédit 100 € |Dépôts 1000 € | |Refinancement 900 € |

sanctions profondément réaménagé. La Concertation Mise en place des deux organes suivants : Le Conseil National de la Monnaie et de l'Épargne qui est consulté sur les orientations de la politique monétaire et du crédit et les mesures concernant les taux d’intérêt et les règles prudentielles. Le Comité des Établissements de Crédit qui se prononce sur des les questions relatives à l'activité des établissements de crédit. Il peut également être consulté par le Gouverneur sur les aspects techniques

banques disposent de suffisamment de liquidités pour faire face aux demandes de retrait d’argent liquide. - L’institution financière peut ensuite connaître des difficultés en période d’inversion des taux : les taux à court terme qui rémunèrent l’épargne deviennent plus élevés que les taux à long terme (taux des prêts accordés aux clients). Mais cette situation est exceptionnelle et passagère. - L’institution court également le risque que certains emprunteurs ne remboursent pas leurs prêts (risque de

commune ; * la fixation des taux d'intérêts ; * la gestion et du contrôle des réserves de change, et de la dette extérieure ; * la législation bancaire et financière des États membres de l'Union ; * l'assistance aux États membres de l'Union dans leurs relations avec les institutions financières et monétaires internationales. Grâce à un accord monétaire avec la France, le franc CFA BCEAO a été convertible avec le franc français jusqu'en fin 1999, par un taux fixe (révisable) garanti