Taylorisation

abandonnés et remplacés par un nouveau type d’organisation du travail. Cependant, dans un grand nombre d’entreprises, des caractéristiques majeures du tayloro-fordisme subsistent encore aujourd’hui. Au contraire, une autre tendance se dégage même : la taylorisation de nouveaux secteurs d’activité. Tout d’abord, le système tayloro-fordiste n’a pas complètement disparu du secteur industriel : aujourd’hui, près d’un ouvrier sur cinq travaille à la chaîne. Une importante division du travail persiste. La division

automobile, chimie, pharmacie, construction électrique. - intensification des naissances - boum des marchés financiers, surtout à Wall-Street. - naissance de la production et de la consommation de masse avec le développement du fordisme et taylorisation. 2. Les causes similaires aux crises capitalistes du 19e siècle et du début 20e siècle - la crise américaine est due dabord à une distorsion entre production et consommation. - la prospérité des années 20 est caractérisée par un accroissement

La structure organique connaît un environnement incertain avec de nombreuses innovations et une forte concurrence. 2. Structure mécanique Structure organique Degré de division du travail Fort Faible Mode d’organisation du travail Taylorisation Flexibilisation du travail Type de coordination du travail Supervisation directe Ajustement mutuel 3. Photo de gauche : structure organique et ajustement mutuel Photo de droite : structure mécaniste et supervisation directe Document 6

plus se dépasser pour de nouveaux records. Pour justifier son résonnement il prend pour exemple que le corps de l’homme qui, lors des compétions sportives, s’apparente aux fonctions de la machine dans le processus de production initié par « la taylorisation » du sport. Michel Bernard montre également que la société culpabilise les non-sportifs et valorise les sportifs. Alain Ehrenberg met en avant que le dopage fausse l’idéal sportif car l’homme se dépasse par l’utilisation de produits, il rejoint

fordisme, par l’accent mis sur la gestion de l’espace et sur la mécanisation, et du fayolisme, par l’intérêt prêté à l’organisation administrative et à la discipline. C. 1945/73 : l’âge d’or de l’OS en France. 1. Taylorisation généralisée et fordisme. Le processus de taylorisation se généralise à l’ensemble du processus de production. Les goulets d’étranglement que constituent des segments du processus de production non rationalisés se font de moins en moins nombreux. Le bon déroulement de la

tout, la main d’œuvre directe et la main d’œuvre indirecte, la surveillance et le transport. Si, en plus, la sécurité est accrue et les conditions de travail améliorées, il a bien fait son travail de chef. 3.2.) Les tentatives de taylorisation des houillères Cette spécificité du travail dans la mine est remarquée par ceux qui tentent d’y introduire le taylorisme. Un texte officiel fait de telles recommandations. Après 1918, la France est confrontée à un manque de main d’œuvre

sans qualification et un avec. 3. Condition de travail qui s’améliore Identité ouvrier sur le travail : dépendant d’un patron ( embauche licenciement ), travail usine manuel et pénible. Travail dur. Différence entre qualifié, apprenti avec la taylorisation. Femme moins payé et considé que l’homme Identité ouvrière hors travail : condition vie précaire, habitat modeste, promotion rare voir innexisant -> enfants deviennent ouvrier après l’école primaire. Culture ouvriere : vêtement ( casquette), lieux

fonctions, à de nouvelles organisations plus flexibles permettant le développement des compétences individuelles, et créer des opportunités pour un meilleur équilibre entre le travail et la vie hors travail. Mais elles peuvent parfois induire une taylorisation accrue de certaines tâches, une surveillance sophistiquée des salariés, et augmentation des risques de stress au travail. Les technologies et les outils permettent de traiter toujours plus d'information, et plus rapidement. Il s'ensuit une charge

syndicats vont obtenir le droit d’exister (assurance, chômage…) les états imposent ces assurances. Fin 19ème, les salaires réels augmentent et les budgets ouvriers sont un peu moins serrés. Modification d’insatisfaction : le travail à la chaine, = la taylorisation. Ce n’est que dans les années 1930 que les états contraignent les patrons à accepter les syndicats. De 1920 à la fin des années 30, crise éco et menaces chomage. 2. Débats idéologiques et luttes sociales 2. 1 le libéralisme (1800) la

industries : automobile, construction mécanique, électrique, chimie, pharmacie etc. De nouvelles méthodes apparaissent dans la production : - La standardisation qui permet la production massive en série, a provoqué la baisse des prix. - La taylorisation ou travail à la chaîne, est une méthode d’organisation du travail visant à diminuer le temps de production mais qui réduit l’ouvrier en machine humaine. - De nombreuses concentrations industrielles s’effectuent, donnant naissance à des trusts