Taylorisme Et Communication Interne

le choix de leurs partenaires. Les premiers industriels accordaient leur confiance en fonction de la vertu, de l’origine, du caractère. Même dans les entreprises modernes les managers viennent de milieux sociaux très proches, pour une meilleure communication et une perception commune : homosocialité selon Rosabeth Moss Kanter. De plus en plus d’éthique et de valeurs dans le monde des affaires actuel (voir RSE). Les consommateurs attendent des entreprises qu’elles soient responsables 3. Le contrôle

 Sommaire Introduction  3 I. Aperçu historique sur la gestion du personnel dans une organisation 4 1. L’école classique 4 a) Le Taylorisme et le management scientifique : 5 b) Ford et le modèle Fordiste de production :(Fordisme)  (1863-1947) 6 c) Le courant administratif de Fayol : 8 d) La bureaucratie Wébérienne : 8 2. L’école des relations humaines : 10 a) E.Mayo : Relations sociales au sein du groupe 10 b) Maslow et la hiérarchie des besoins : 11 c) La théorie des deux

en vue de réaliser des objectifs prédéfinis. On peut inscrire le management dans le processus de pilotage d’une organisation (indicateurs de gestion). Il y a eu une évolution du contenu et des formes de pilotage depuis le début du 20ème siècle (Taylorisme, Fordisme…, crash de 1929 avec la question de l’homme dans l’entreprise en découlant). Cette évolution a entrainée différentes définitions relevant d’approches classiques qui ont et continuent de servir de référence souvent négatives aux approches

enquêtes ont confirmé que l'implication est liée au concept d'appropriation. S'approprier un travail, c'est lui donner un sens, pouvoir le négocier et le modifier. Sans appropriation aucune organisation ne peut fonctionner. Attention dans l'absolu, le taylorisme ne conduit pas nécessairement à des résultats moins bons qu'une organisation plus participative. Il n'existe pas un modèle meilleur que les autres susceptible d'être copié. S'il est possible de s'inspirer les organisations qui ont le mieux réussi

emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail : du taylorisme/fordisme aux NMOT sous la pression de l’automatisation, et changement de qualifications : élévation du niveau de formation (initiale et continue), importance de la maîtrise de l’information, individualisation des compétences ; aspects positifs (post-taylorisme) et négatifs (néo-tatlorisme) B conséquences du fait d’une évolution du rôle social du travail (progrès technique

technologique[modifier | modifier le code] Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Les travaux de Friedmann, Naville et Touraine[modifier | modifier le code] Ces auteurs vont faire une violente critique du Taylorisme et du Fordisme qui selon eux détruisent les compétences professionnelles. Friedmann rédige plusieurs ouvrages dont Le travail en miettes (1956) et étudie les grandes industries de montage aux Etats-Unis, des secteurs administratifs ainsi que

décision................................................................9 III. La théorie des jeux…………………………………..……….………………………….10 IV. L’école socio- technique.................................................................11 V. Le néo-taylorisme...........................................................................12 VI. La pensée Japonaise …………………………….………………………………..……13 VII. Les organisations capitalistes Asiatiques…………………………………….…15 VIII. Les entreprises libres……………………………………………………………

entretiens d'embauche, il faut trouver l'emploi qui convient le mieux au salariés et qui le rend plus productif. La dimension syndicale est importante dans la mise en place du taylorisme aux USA : les hommes issus de l'immigration ne savent pas travailler et en France, le contexte est différent : dans l'automobile le taylorisme est le moyen de lutter contre le syndicalisme (les compagnons à l'époque) des ouvriers qualifiés a qui ont enlève le pouvoir. En 1914/18, changement : les hommes sont au front

-l'émergence de la science économique(des méthodes financiéres) : Adam Smith,philosophe écossais de XVIIIeme siécle définit les causes de la richesse comme: -''la division du travail:Les racines de l'idée de ''la meilleure façon de produire''de Taylorisme ce qui vise à optimaliser la capacité de production par l'organisation scientifque du travail. -''l'accumulation du capital:L'idée fondamentale du capitalisme ce qui vise à maintenir un capital en le grandissant par des entreprises comme le

rapport aux intrants ou aux ressources utilisées pour obtenir ces extrants. L’amélioration de la qualité de vie au travail La QVT se définit comme le processus par lequel tous les membres d’une organisation, par l’intermédiaire de réseaux de communication ouverts et adéquats, prennent part dans une certaine mesure aux décisions qui touchent leur emploi en particulier et leur milieu de travail en général, ce qui se traduit par une plus grande participation de chacun dans le cadre de ses fonctions