Taylorisme Fordisme Comparaison

des rémunérations bute sur ses propres exigences : Elle réclame, pour asseoir une politique d'envergure nationale, de connaître parfaitement les différentes formes de rétributions, au niveau local, et de les traduire de manière à en permettre la comparaison. - Le recrutement systématique de jeunes diplômés a pour premier effet de bloquer les possibilités de promotion interne, et semble susceptible d'entraîner une opposition jeunes/ vieux qui n'a rien d'efficace. - L'association de la mobilité fonctionnelle

théorie des avantages comparatifs : Selon David Riccardo , dans un contexte de libre-échange, si un pays se spécialise dans la production pour laquelle sa productivité est la plus forte (ou la moins faible) par comparaison avec ses partenaires, il accroît sa richesse nationale. On dit que pour cette production, il détient un avantage comparatif. En contrepartie, il devra acheter les biens qu'il ne produit plus. Selon cette théorie, chaque pays a intérêt à

lors du développement de l‟industrie. 3.1. Taylorisme et fordisme Les idées de rationalisation dans le travail se sont surtout développées au début du XXe siècle avec : Taylor : Organisation Scientifique du Travail en 1911 Henry Ford : travail à la chaîne et standardisation en 1913 Harris et Wilson : quantité économique entre 1913 et 1924 Fayol : Principes de direction et de gestion en 1916 Gantt : principes d‟ordonnancement en 1917 3.1.1. Taylorisme Taylor a inventé cette organisation au début

expériences, aussi bien intellectuelles – «ethnophilosophie» – que politiques – «démocratie africaine» –, ont été déclarées incommensurables 9, au motif que l’on ne saurait trouver des arguments ou des moyens rationnels pouvant légitimer une quelconque comparaison avec des expériences semblables, du moins similaires, réalisées ailleurs, en Occident en particulier. Le paradoxe historiciste paraît évident: l’affirmation de la différence se trouve niée par cette indifférence au monde, par cet effort de réduire

dans les activités productives David Ricardo (1817): spécialisation des tâches → La pensée économique classique a ainsi largement influencé le courant rationnel de la théorie des organisations (Taylor, Ford, Fayol, Weber) 2- F.W. Taylor et le taylorisme Ingénieur américain, publie en 1911 « Les Principes de la direction scientifique », prônant une révolution de l’état d’esprit des directions d’entreprises et des ouvriers: « Dans son essence, le système de direction scientifique implique une révolution

le taylorisme touche également le management de l’entreprise au sens large. Reprenant les théories libérales, Taylor soutient que chaque individu en donnant le meilleur de lui-même concourt au bien général de toute l’entreprise. Dès 1908, Henry Ford voit tout le bénéfice que l'industrie automobile peut tirer de l'application de ces théories. La Ford T naît ainsi d'un concept industriel : la fabrication en grande série. Jusqu'en 1927, quinze millions de Ford T seront produites. Le taylorisme connaît

moyens et toutes les méthodes visant la rationalité et la productivité dans l'entreprise. C'est d'ailleurs pendant cette période que la comptabilité industrielle a fait son apparition, que les courants de pensée du productivisme tels que le taylorisme et le fordisme ont fleuri (division du travail, chronométrage des opérations manuelles de production, travail à la chaîne, etc.). Au départ, le concept de contrôle de gestion a vu le jour dans les grandes entreprises américaines fabricant du matériel militaire

moyens et toutes les méthodes visant la rationalité et la productivité dans l'entreprise. C'est d'ailleurs pendant cette période que la comptabilité industrielle a fait son apparition, que les courants de pensée du productivisme tels que le taylorisme et le fordisme ont fleuri (division du travail, chronométrage des opérations manuelles de production, travail à la chaîne, etc.). Au départ, le concept de contrôle de gestion a vu le jour dans les grandes entreprises américaines fabricant du matériel

|Extraits des |choisis |personnages de fiction |- La négation |- S'interroger sur la | |L'horreur de la |chapitres |- Débat autour de la lecture|peuvent représenter des |- La comparaison, la métaphore |condition humaine | |guerre |1 , 2 et 7 |- Rédaction d'une lettre, |questions humaines |- Lexique de la peur, du doute |- Avoir de la curiosité | |(5 heures) |

productivité et l’hypercompétition sont les objectifs prioritaires des organisations. Pour atteindre ces objectifs et rester dans le marché voir arriver à conquérir le leadership de son marché, les organisations ont dû quitter le monde du taylorisme, fordisme, de Chandler ou même du Toyotisme qui était pourtant une révolution, pour se muer en entreprises de demain. Les organisations les plus « intelligentes » ont développé de nouvelles manières de concevoir le travail, nous dénombrons deux axes :