Te Deum

formule fulgurante "boucherie héroïque" = oxymore => Opinion de Voltaire sur la guerre = massacre sanglant et inutile qui démystifie la notion d'héroïsme II Une peinture pathétique des massacres A) Un bref trait de satire (l.14 a 16) "Te deum" => action de grâce pour remercier Dieu Les 2 rois le font chacun dans leur camp => chacun se croit victorieux - chauvinisme des rois Satire, critique : collusion (réunion d'intérêt - péjoratif en gen.) des chefs d'armées et de église qui bénit les

comme des objets, elles sont chooséifiées. c) Les critiques des justifications de la guerre -critique religieuse : l'attitude est ridicule car chaque camps remercient le même Dieu pour le massacre accomplit ("les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp") -critique juridique : La guerre est légitimée par les lois ("les lois du droit public") + chiasme ("c'était un village abare que les Bulgares avaient brûlé / il appartenait à des Bulgares, et des héros abares") = montre la réciprocité

plus attaquée du conte, l’Eglise subit au moins trois types de critiques. Tout d’abord, elle n’est pas opposée à la logique guerrière des Etats belligérants, puisqu’au moment du massacre des armées bulgare et abare (III), les rois font chanter des Te Deum dans leurs camps. De plus, s’appuyant sur la crédulité des gens simples, l’Eglise se sert de puissantes organisations comme l’Inquisition (VI) pour garder un pouvoir entretenu par la superstition. Intolérante, elle tâche d’éliminer les tenants d’autres

et en même temps de surnaturel) se heurte à « infernale » puis à « meurtriers ». Ces tyrans se disent pleins de ferveur religieuse. En effet, ils font « bénir » leurs drapeaux et « invoquent Dieu solennellement ». Dans Candide, ils entonnent un Te Deum chacun de leur côté. On relève ici le champ lexical du religieux, mais Voltaire stigmatise un dévoiement. Lorsque l’Église bénit la guerre, elle n’est plus catholique, (c’est-à-dire universelle) en sacrifiant certains de ses enfants. Elle contredit

côtés, consonnance identiq.: «barbare». * L.29-30 («droit public») = doit homme: Lumières. +Droit public: «droit international régissant fonctionnemt entre états»: bafoué. * Attaq. recherche soutien religieux. Relig° complice infamie. «Te deum»: 2 côtés +ridicule: qui a gagné ? * Critiq. certains intellectuel: L.11-12(«philosoph.»): manq. courage devant réalité. Bilan: Cette épisode du périple de Candide est intéressant pr = raisons. C'est d'abords un épisode strictemt narratif

usages et lois qui semblent inacceptable, inhumain. On peut dire qu'on a lieu à une aberration, une preuve de la folie de rois privés de raison. On observe ensuite une dénonciation du rôle de l'Église qui justifie la guerre. On a une allusion aux «  Te Deum » qui est une preuve que l'Église accepte la guerre (légitime). Mais aussi une contradiction intolérable avec l'un des dix commandements: on tue son prochain. Ce qui est un paradoxe scandaleux car une homme chrétien a de droit de faire la guerre. En

Institution la plus attaquée du conte, l’Eglise subit au moins trois types de critiques. Tout d’abord, elle n’est pas opposée à la logique guerrière des Etats, puisqu’au moment du massacre des armées bulgare et abare (III), les rois font chanter des Te Deum dans leurs camps. De plus, s’appuyant sur la crédulité des gens simples, l’Eglise se sert de puissantes organisations comme l’Inquisition (VI) pour garder un pouvoir entretenu par la superstition. Intolérante, elle tâche d’éliminer les tenants d’autres

ne sera pas une réussite. Berlioz, qui est aussi critique et écrivain à ses heures, entreprend des tournées de concerts en Belgique, en Allemagne, à Prague et enRussie où il est vivement félicité. Ses dernières grandes oeuvres à succès sont le 'Te Deum', 'L' Enfance du Christ' et 'Béatrice et Bénédicte' qu'il écrit en 1862, année de la mort de sa compagne Maria Recio, qu'il avait épousé en 1854. Il meurt quinze ans plus tard d'une congestion cérébrale. The title of the movie is scary movie. It

moquerie. Par ailleurs, outre l’ironie, Voltaire décide de mettre en avant les absurdités de la guerre. Dans un premier temps, il insiste sur les similitudes entre les deux armées, par exemple en disant que « les deux rois faisaient chanter des Te Deum ». Ensuite, il montre que les raisons du combat ne sont autres que des ripostes non fondées entre les deux clans puisque Candide arrive dans un village bulgare que « les héros abares [avaient] traité de même ». En dernier lieu, il aborde, par l’emploi

discours du narrateur. II) Le pillage Voltaire joue sur un effet de contraste violent dans la 1er phrase du second paragraphe qui constitue la transition. En effet, elle garde la tonalité ironique à l’égard des rois ( Ils font chanter les « Te Deum », aucun n’a gagné , la guerre n’aura servit à rien) puis le registre suivant est celui du pathétique avec une bascule dans l’épouvante. A) La gradation d’horreur Plus le paragraphe avance plus les visions sont violentes : Le corps est