Te Deum

le Pape. Les curés étaient nommés par les évêques. Le clergé recevait un traitement pour le dédommager de la perte de ses biens, confisqués en 1791 par la Constituante. Pour fêter le retour à la paix religieuse, le Premier Consul fit chanter un Te Deum solennel à Notre-Dame de Paris. Il y assista avec tous ses généraux. Grâce à Bonaparte, la France redevint riche et prospère. Depuis longtemps elle n'avait été aussi bien gouvernée et tous les bons Français en furent vivement reconnaissants au

jamais été entendu en enfer. Tout d'abord les canons abattu environ six mille hommes de chaque côté, le tir au fusil, puis ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui avaient été infestent sa surface. " Après le carnage terrible, Te Deum furent chantés dans chaque camp: les propriétés ont été soigneusement observés - donc d'avis de Voltaire de la «guerre glorieuse." Une autre utilisation très amusant et efficace de l'euphémisme mérite d'être remarqué. Dans le premier chapitre, la

contraire du message biblique (« Aime ton prochain comme toi-même »), c’est-à-dire d’« aller exterminer son prochain ». Dieu ne condamnerait-il donc plus les « meurtriers » ? Après la bataille, c’est encore pire, puisque Voltaire ironise sur le rôle des Te Deum, en utilisant, toujours par prudence face à la censure, une longue périphrase : « on chante à quatre parties une chanson assez longue, composée dans une langue inconnue à tous ceux qui ont combattu, et de plus toute farcie de barbarismes ». Il s’agit

battent, enrôlés de force comme Candide, ils ne font que s'entretuer. La seule justification à la guerre est la religion dont Voltaire fait une satire mordante. Ainsi, lors de la bataille au chapitre trois, les rois Abares et bulgares font chanter des Te deum, c'est à dire des prières remerciant Dieu pour son aide au combat. Durant le conflit marocain les musulmans s'entre-tuaient  « sans qu'on manquât aux cinq prières par jour ordonnées par Mahomet ». L'auteur montre ainsi qu'il ne réprouve pas une religion

autres. De quel droit envoient-ils des hommes à la mort ? Ironie réapparaît L.25, et souligne leur lâcheté puisqu’ils ne vont pas combattre. ⇨ La complicité de l’Eglise apparaît dans la dernière ligne du texte : allusion au chant religieux Te Deum, qui permet de célébrer une victoire. La religion est donc complice du massacre alors qu’elle devrait prêcher la paix. Ce passage nous permet donc de mieux comprendre l’efficacité du conte philosophique associé au thème du voyage : par-delà son

et la violence des religions : l’ autodafé = inquisition( exécution des personnes jugé hérétiques) du chapitre VI , le partage de Cunégonde entre le juifs et le grand inquisiteur au chapitre VIII. Exemples  : 1. quand les rois font chanter le te deum c’est-à-dire un hymne latin chrétien qui remercie dieu, après leurs bataille qui massacrent des milliers d’hommes 2. Quand les chefs religieux sacrifient superstitieusement des innocents : « après le tremblement de terre qui avait détruit les trois

fait de chiffres, victimes= civils. Montre l’absurdité de la guerre en montrnat que personne ne sait pq on combat (nombreuses hyperboles). oxymore « boucherie héroïque », périphrase, euphémisme de viol ». Nombreux pluriel, perte d’identité.chant de te deum ds les 2 camps « droit public » justification de la guerre pr le roi. Découvre la guerre, premier mal du monde. Voltaire manie l’humour, l’antiphrase, la périphrase, tournures superlatives. Soldats présentés comme des animaux. Il traite le sujet

voir le crucifix de grandeur naturel, sculpté par Pierre Cavallini, devant lequel se tenait à genoux sainte Brigitte, et l`inscription suivante placée dans la Basilique: < Pendentis pendente Dei verba accepit aure accipit at verbum corde Brigitta Deum. Anna jubilei MCCCL >, qui rappelle le prodige par lequel le crucifix s`entretenait avec Brigitte. *************** SAINTE BRIGITTE, VEUVE Ste Brigite ou Brigitte, fille de Birgier, prince de sang royal de Suède, naquit vers l`an 1302. Ses parents

quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp, il prit le parti d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d’abord un village voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient

mineur, B. 165 (op. 89, 1890) * Messe en ré majeur pour chœur, solistes et orchestre (version pour orgue existante), B. 153 (op. 86, 1887) * Oratorio Sainte Ludmilla, B. 144 (op. 71, 1886) * Chants Bibliques, B. 189 (op. 99, 1894) * Te Deum, B. 176 (op. 103, 1892) Musique vocale profane * Chants tziganes (tchèque Cikánské melodie), B. 104 (op. 55, 1880) * Duos moraves, B. 107 (tchèque Moravské dvojzpěvy), (op. 20, 29, 32 entre 1875 et 1881) Musique pour piano * Danses slaves