Technoscience

de la bioéthique comme étant « un ensemble de recherches, de discours et de pratiques, généralement pluridisciplinaires, ayant pour objet de clarifier ou de résoudre des questions à portée éthique suscitées par l'avancement et l'application des technosciences médicales. » Cette définition aborde plusieurs thèmes implicites : - Quand la bioéthique vise l'action elle essaie de résoudre des cas de la meilleure façon possible - elle concerne également des questions sur l'application des nouvelles

quelque chose comme une liberté créatrice qui cherche à se manifester au-delà des limites de notre conscience actuelle. La conscience de certains chamanes des villages d’Amazonie n’est pas plus ou moins évoluée que celle d’un occidental bardé de technosciences. Car notre conscience comme la sienne ne perçoivent l’Être que dans sa manifestation mentale. Mais si un nouveau regard de l’Être sur lui-même cherche à émerger comme précédemment le regard mental a émergé au-delà du regard émotionnel ne verrons-nous

robotisés : il reste l’esclave du système technicien, le loisir étant le temps où l’on consomme des produits et des jeux stéréotypés et abrutissants, aux dépens d’activités plus élevées (la philosophie, l’art) susceptibles de menacer le système. La « technoscience » (la science, subordonnée aux impératifs techniques de production), c’est l’instrument par excellence de la médiocrisation des masses, d’un totalitarisme doux (du pain et des jeux, et le peuple est heureux : à quel prix – exploitation sans frein

incompréhensible qui bascule dans la criminalité. - La science-fiction, depuis Jules Verne, nous entraîne dans d'étranges voyages à travers le temps. Les récits des futurologues prennent acte d'une vérité fondamentale, celle de l'évolution des technosciences ou des biotechnologies. Le récit d'anticipation se construit à partir d'un contexte historique, mais pour mieux rendre précaires les frontières entre l'homme et la machine. L'homme est remodelé (thème du « cyborg ») dans cet univers si singulier

nucléaire qui s’étendrait sur des dizaines de générations ou plus ? Et pourtant, le marché mondial touche tout ce qu’il voit, chiffre tout ce qu’il touche, même la couche d’ozone, même la flore, la faune et finalement même l’être humain. Cette technoscience, à travers ses énormes complexes à tous les niveaux géographiques, établit des liens avec des industriels auxquels on demande des comptes sur des risques jusque là ignorés ou quelquefois volontairement cachés dans des cercles d’initiés, mais aussi

dans sa filiation (les donneurs, les parents commanditaires, la mère-porteuse, sans compter les médecins, juristes et assureurs), ce n'est pas seulement le petit Miles qui se trouve privé d'une généalogie cohérente, ce sont tous ses frères en technoscience. Ce qui se fissure d'abord, c'est la prohibition de l'inceste, c'est-à-dire la nécessité de maintenir clairement la différence et la continuité entre les générations. Le deuxième tabou qui disparaît, c'est celui de la complémentarité des sexes

autrefois, la science était définir comme l’aspect théorique et la technique comme l’aspect pratique, à l’époque Moderne, l’on assiste à une fusion deux notions. On ne fait plus de distinction entre science et technique, mais on parle plutôt de technoscience. Cette fusion n’est pas la seule objectivité de la raison. Il y a eu ceux qu’on considère comme les philosophes des Lumières. « Les Lumières, nous dit Kant , c’est la sortie de l’homme de l’état de tutelle

L'accroissement rapide de la population. Les guerres destructrices de l'environnement. III/ Un facteur terrifiant : l'accélération du système international A/ Le mécanisme général Les manifestations de ce phénomène sont la rapidité de la technoscience, la génération du règne de la marchandise, la circulation rapide et multiple d'informations, de marchandises, de personnes, les discours mettant en avant la compétition. B/ Les mécanismes spécifiques relatifs à l'environnement Une machine

- Priorité à la lutte contre la pauvreté - Politiques de redistribution considérées comme contre-productives - Poursuite de l’objectif de croissance rapide dans tous les pays considérés comme compatible avec la contrainte écologique grâce à la technoscience - Modèle du développement durable faible Scénario II Altermondialiste Nouvelles formes de régulation par les États, les organisations internationales et la société civile Nouvelle hiérarchie des normes donnant la priorité aux objectifs sociaux

Bioéthique La bioéthique est une partie de l'éthique qui est apparue, en tant que « champ » ou « discipline » nouvelle, dans le courant des années 1960 et des interrogations au sujet du développement de la biomédecine et des technosciences 1. Si les interrogations éthiques concernant la médecine ne sont pas neuves, la bioéthique se distingue de la déontologie médicale classique, en ce que celle-ci constitue davantage un code éthique fondé par les médecins pour les médecins 1. La bioéthique, au