Témoin

nous savons que la franchise intervient fortement dans un jugement et c’est pour cela que celle-ci n’est pas louable, elle est abstraite et il est difficile de reconnaître la véracité de cette franchise. Même si cette personne, en l’occurrence le témoin, doit la vérité qu’au juge dans ce cas là. La loi est aussi un moyen pour les personnes sincère et franche de réparer leurs erreurs, quand celle-ci peut l’être en fonction de la gravité de l’erreur commise. C’est à ce moment là que cette faute ne

Est-il vrai, Monsieur, que vous lui avez donné parole d'être son mari? DOM JUAN, bas, à Mathurine: Pouvez-vous avoir cette pensée? CHARLOTTE: Vous voyez qu'al le soutient. DOM JUAN, bas, à Charlotte: Laissez-la faire. MATHURINE: Vous êtes témoin comme al l'assure. DOM JUAN, bas, à Mathurine: Laissez-la dire. CHARLOTTE: Non, non: il faut savoir la vérité. MATHURINE: Il est question de juger ça. CHARLOTTE: Oui, Mathurine, je veux que Monsieur vous montre votre bec jaune. MATHURINE:

solliciter certains actes. AU niveau des obligations : obligation d’adresse declarée. Comme elle est partie civile : si elle est interrogée, ce qu’elle dit, qu’à titre de simple renseignement, ce n’est pas un témoignage. Prestation de serment : pour le temoin. La victime, la csq, si PACPC : constit de partie civile abusive. Question 6 cadre juridique : instruction donc référence à commission rogatoire. Le JI a 2 casquettes : juge et enquéteur. Donc prérogatives doubles. Concernant les pouvoirs d’instruction

l’expérience concentrationnaire : c’est la retranscription de la difficulté à raconter, c’est l’évocation de la tentation de l’oubli et du silence. Parce que l’oubli peut aussi être une forme de soulagement pour le survivant, c’est un danger qui guette le témoin, et qui apporte un nouvel éclairage sur le silence au sujet des camps au lendemain de la deuxième guerre mondiale. La parole ou le livre ne sont pas forcément des délivrances : ils semblent être, au contraire, un retour vers la souffrance.

particulière. L’histoire suivante, proposée par l’auteur, permet de distinguer les universalistes des particularistes. "Vous êtes dans une voiture conduite par un ami. Il heurte un piéton et vous savez qu’il roulait en excès de vitesse. Vous êtes le seul témoin interrogé au procès. Pensez -vous que votre ami peut vous demander de témoigner qu’il roulait au-dessus de la vitesse autorisée ?". Un Universaliste répond "oui", car il considère que les règles s'appliquent indépendamment des cas particuliers, celui

moyens cette mémoire individuelle se convertie-t-elle en mémoire collective ? Dans un premier temps nous allons étudier la situation des survivants juifs après la Shoah, ensuite l’avènement du témoin dans le procès Eichmann. Et enfin sa comparaison avec d'autres procès. Le document « L’avènement du témoin »,écrit par A. Wieviorka en 2001, tiré du livre « La mémoire de la Shoah », est un texte représentant le regard d'une historienne sur le traitement des victimes du génocide et celui des responsables

sur la mort de ce dernier s'aperçoit que c'était un menteur, un voleur et un infidèle. Elle voudrait la preuve noir sur blanc que son mari est mort mais Méphistophélès lui dit que seuls des témoignages peuvent l'affirmer. Du coup il avance un autre témoin qui pourrait confirmer ses dires: Faust. Méphistophélès donne rendez-vous aux femmes dans le jardin de Marthe. XI. Une rue: Méphistophélès met Faust au courant de son plan. Il devra faire un faux témoignage pour confirmer que le mari repose à

norme pénale par les citoyens, c’est à dire l’intégration des interdits sociaux dans l’esprit de chacun. Cette intériorisation favorise les phénomènes d’observation spontanée de la loi, c’est à dire l’obéissance réflexe à la loi. Ainsi, lorsque le témoin d’un accident porte spontanément assistance à la victime, il ne songe pas qu’il obéit au commandemment de l’article 223-6 al 2 du code pénal. Il agit par réflexe. De même ; lorsque les parents nourrissent et entretiennent leurs enfants, ils ne songent

responsabilité en n’en répondant plus et de manifester la vérité en vous laissant la responsabilité de la recevoir à travers le mensonge ou la fiction. » Derrida constate : « C’est une fiction de témoignage plutôt qu’un témoignage dans lequel le témoin jure de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. » Pourtant, les évènements décrits par l’auteur sont authentiques, comme le confirme Blanchot lui-même dans une lettre qu’il a écrite à Derrida. Ce dernier en rapporte un fragment. « 20

 Un monde urbain qui s’affirme (XIème-XIIIème siècles) I. les causes du renouveau urbain. Au Moyen âge, le monde des villes est très minoritaire. Il est difficile d’évaluer avec exactitude le nombre de citadins par manque de sources. Toutefois, la période qui s’étend du XIème au XIIIème siècle apparaît comme un moment majeur dans l’histoire urbaine car de nouvelles formes d’organisation politique, sociale et économique se mettent en place. L’Occident devient alors le