Temporel et spirituel

que l’empereur soit mauvais et dès lors l’obéissance ne doit pas être absolue. Enfin les chrétiens apportent leurs soutiens à l’empire mais par leurs prières qui leurs permettent de chasser les mauvais démons, ils se consacrent donc à un combat spirituel pour le bien de Rome et des Romain B_ La conversion de l’Empire au christianisme La reconnaissance du christianisme se fait en plusieurs étapes: _ 313 av JC l’empereur Constantin établit la liberté religieuse au profil des chrétiens _

point de vue éthique, le temps perdu est le temps vide stérile, et improductif quand aux valeurs existentielles directrices. Perdre son temps, n'est-ce pas tomber dans une frivolité stérile, sans conséquences sur le futur ni sur l'enrichissement spirituel du moi ? N'est-il pas un présent fugitif et disparaissant sans effets sur l'avenir et sans créativité réelle ? La question ne renvoit-elle pas à une évaluation existentielle, au souverain bien des stoïciens ou au devoir kantien, bref aux valeurs

croyances et préjugés dans ce refus et enfin nous chercherons à savoir si l'animal n'est qu'instinct. La conscience, est-elle le propre de l'homme ? On dit en effet que l'homme est un être conscient mais qu'est-ce qu'être conscient ? Dans l'Énergie Spirituelle, Bergson commence par expliquer la difficulté qu'il y a à définir la conscience : « qui dit esprit dit, avant tout, conscience. Mais qu'est-ce que la conscience ? Vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment

Caractérisation du texte genre du texte : poème forme dans l’extrait : - homostrophie (6 dizains) - octosyllabes - rimes : croisées (x4) puis suivies (x2) et enfin embrassées (x4) sens général : définition du rôle du poète : - un guide spirituel, un prophète - un visionnaire impressions de lecture : le texte est rythmé (tout s’enchaîne vite, les vers sont courts et « rapides ») le rythme est régulier (homométrie, homostrophie) le poète parle

la justice (coupable puni ; innocent absous) (§ 1). S’agissant de la souveraineté à l’extérieur, le roi va affirmer son emprise face aux d’autres puissances de l’époque. L’un est à la fois spirituel et temporel (Pape), l’autre est uniquement temporelle même si elle revendique une dimension spirituelle c’est la puissance de l’empereur romain germanique, celui qui prétend continuer l’Empire de Charlemagne, celui qui a fait partir de XII siècle va se faire appeler César (Kaiser) (§ 2). § 1 :

précédent. Il est important de savoir que cette sécularisation est en réalité beaucoup plus ancienne. Pendant plusieurs siècles précédant la Révolution cette séparation n’existait pas et n’était pas envisagée. En effet, l’imbrication étroite du spirituel et du temporel de l’époque Carolingienne en est un bon exemple. La société Française est christianisée en profondeur, l’Eglise apparait comme un véritable pilier du pouvoir, elle est complètement intégrée dans les structures de l’administration. Au Xème

capétien c'est Hugues CAPET. Charles X est le dernier roi sacré à Reims au XIXème s. le sacre au moment où Pépin le met en place n’a pas l’entière signification politique du XVIIIème s. Lorsque Pépin ajoute le sacre, celui-ci ne fait pas le bras droit temporel du christ. Mais ce sacre qui est une investiture politique est un rite religieux. Entre 653 et 654, Pépin est sacré par le pape Etienne II à Saint Denis. Ce sacre se double d’une interdiction ; Pépin interdit de proclamer un roi en dehors des Pépinides

dénominations religieuses a imposé l’alliance de la croyance avec la liberté. En Europe, le phénomène frappant, en dehors d’exceptions périphériques – l’Irlande, la Pologne, la Grèce – c’est l’accélération de la débandade des Eglises et des magistères spirituels. Il n’y a plus d’autorité religieuse en Europe mais une vaste émancipation des gens mêmes qui se réclament de la croyance, par rapport à la cléricature dans son ensemble. De très nombreux jeunes sont désormais élevés en dehors de toute référence

survivre. Dès le Moyen-âge, il y a 2 crises pour le Christianisme : Schisme : Orthodoxes (qui suivent l'église grecque) et catholiques (qui suivent le Pape). Le Pape qui dispose de la puissance spirituelle, chef religieux, affronte l'Empereur qui dispose de la puissance temporelle : il y a conflit entre les deux. Au XVIe siècle, le monde catholique va subir une grave crise puisque l'unité religieuse de l'occident vole en éclat. Le XVIe siècle est marqué par un phénomène de décomposition

allons donc l’analyser en détail en faisant un lien avec l’Eglise et l’Etat romain. Selon Saint Augustin, les notions « cité terrestre » et « cité céleste » peuvent être remplacées par les notions de « pouvoir temporel » et de « pouvoir spirituel ». Ces deux pouvoirs coexistent ; ils ne demeurent pas sur le même plan et ne gouvernent pas au même degré. Augustin théorise l’idée de deux cités : la cité céleste est gérée par Dieu, qui dispose de l’Eglise (en tant qu'institution)