Tertiarisation Des Ouvriers

Beaucoup de tableaux statistiques présentent les inégalités en termes de disparités, c’est-à-dire d’écarts de moyennes de revenus entre divers groupes d’une population, par exemple les PCS. Ainsi en 1996, les cadres percevaient 196 % de plus que les ouvriers non qualifiés. 3- Enfin pour étudier la concentration des revenus, on utilise la " courbe de Lorenz ". • La diagonale de la courbe de Lorenz représente une situation d’égalité parfaite : 10 % de la population touchent 10 % du revenu total,

licenciement pèse sur la combativité des travailleurs ; • la réduction des inégalités et l’amélioration du niveau de vie ont entraîné une moindre motivation pour les revendications collectives ; • le développement de la tertiarisation de la société entraîne un recul quantitatif des effectifs ouvriers. Parallèlement on observe une augmentation de la catégorie des employés et une féminisation de la population active qui s’accompagnent d’une moindre tendance à la syndicalisation ; • le déclin du taux de syndicalisation

de la tertiarisation La tertiarisation désigne la montée des activités tertiaires dans l'ensemble de l'économie, donc le fait qu'une fraction croissante du travail humain s'effectue dans ces activités tertiaires. La tertiarisation est la tendance prédominance de la part des l'économie. Elle se mesure à richesses (PIB) ainsi que dans active. à l'augmentation et à la activités tertiaires dans travers la production de l’emploi de la population Définition de la tertiarisation 

le patronat. Le libéralisme de l’époque laisse désormais face à face salariés et employeurs ce qui génère des conditions de travail effroyable et des conflits violents. La première tâche de l’entrepreneur capitaliste est de former ou dresser les ouvriers afin de leur imposer des conditions de travail liées à la production industrielle moderne : assiduité, régularité, obéissance aux ordres et au rythme de travail… II) Classes sociales Dans l’analyse marxiste, les classes sociales sont définies

est composé de toutes les personnes qui ont un lien avec l’Etat-Providence (éducation, santé, retraite…). Le troisième groupe est celui des travailleurs du tertiaire, tous les métiers du service. Enfin le quatrième et dernier groupe est celui des ouvriers, c’est-à-dire tous les travailleurs qui font un travail répétitif, sans qualification requise, qui peut être délocalisé dans un autre pays. De ces quatre groupes, seuls deux voient clairement ce que leur apporte la mondialisation. D’un côté les créateurs

secteurs à forte valeur ajoutée ». En dehors de la mondialisation, on a cité la tertiarisation, l’immigration, le démantèlement des syndicats, la dérégulation… mais l’auteur montre que aucun de ces facteurs ne sera à la hauteur. Pour l’économiste Jean Fourastié la tertiarisation est considérée comme « le grand espoir du XX siècle ». Certains croient que la tertiarisation déqualifie les taches, bien au contraire, la tertiarisation est créatrice d’emplois qualifiés, et destructrice d’emplois non qualifiés…

permit une hausse rapide et exponentiel du niveau de vie des français . II) Les changements se rattachant à la croissance : A) Une réorganisation des tâche et de l’espace géographique : Les mutations au sein de l’emploi , ainsi que la tertiarisation ont entrainé un changement dans la répartition spatiale de la population française . La France fut un grand pays rurale , mais en 1970 , seul 2 millions de paysans subsistent , dans une pays ou les inégalités social se font de plus en plus marquées

peut faire entre développement économique et baisse de la fécondité. On assiste au développement de la famille nucléaire, ainsi qu’à la diminution de la taille des familles. * Les mutations économiques : salarisation, urbanisation, tertiarisation. La tertiarisation : le secteur tertiaire se développe à mesure que le niveau de vie augmente. En effet, les lois d’Engel ont établi qu’à mesure de l’augmentation du revenu, la part des dépenses consacrées aux loisirs, à la culture et aux services est

va de pair ac fierté d’être ouvrier, ac culture propre. b) fin ou renouveau des classes sociales ? regarder cours, synthèse pas satisfaisante. 80’ : + de flexibilité et précarité ds milieu du travail. En même temps : désyndicalisation + recul de la conscience de classe chez les salariés. -> classe ouvrière ou condition ouvrière ? nbre ouvriers diminue, monde ouvrier se diversifie, pratiques sociales de la classe ouvrière st disqualifiées, fierté d’être ouvrier disparue. Conflits deviennent

(salaires, conditions de travail, droits sociaux…) entre ouvriers/employeurs. Grève : légalisée en 1864 Fermeture d’usine et rupture de contrat de travail illégal : 1950. Vagues de grèves depuis 1900  1906, 1936, 1968. Les grèves peuvent s’appuyer sur différents phénomènes sociaux, politiques, juridiques tels que ; les organisations syndicales, les victoires aux élections de groupes… Tout devient sujet à grever. Le mouvement ouvrier a trois rôles : -formateur d’un cadre d’intégration